On a tendance à dire que dans les trails, la différence se fait sur des petits détails de rien du tout. Du côté de Baziège, rien n'est laissé au hasard et le moindre détail a son importance. Ainsi le traileur qui a eu la bonne idée de prendre son dossard ce week-end au TBZ est choyé, c'est le moins que l'on puisse dire. Petits cadeaux, pot de remise et parcours sur mesure remis au goût du jour année après année. Joan l'organisateur en chef se satisfait de ses plus de 1200 inscriptions même si il estimait volontiers que le Marathon de Toulouse de la semaine suivante lui avait sûrement pris quelques éléments. Mais la fête fut belle. Et les batailles rudes dans presque toutes les distances sous quelques rayons bien automnales. Sur le long on retiendra le mano à mano entre Lionel Villeneuve et Grégory Be qui finissent ensemble alors que Mila Andreew s'adjuge cette distance chez les filles. Sur le 14,5km ce sont Emmanuelle Moillard et Ezgu Yilmaz qui inscrivent leurs noms au palmarès. En fin sur le court de 8,5km, Basile Desmolin et Nadège De Gracia remportent la mise !
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05/11/23 Le TBZ, le trail qu'il ne faut pas rater !
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le TBZ est béni des Dieux. Après cinq jours de pluie et de météo exécrable dans la région (et même ailleurs) l'éclaircie est donc venue en ce premier dimanche de novembre. Résultats des courses, un beau soleil, un peu de boue mais pas trop et puis tout de même pas mal de vent. Une météo quasi idéale donc pour un traileur. Aussi pour cette sixième édition, le Trail de Baziège nous prouve une nouvelle fois, si l'on en doutait encore, que c'est la course toulousaine de référence de l'automne. Plus de 1000 dossards distribués, des parcours joueurs et pas si évidents aux portes de la ville rose et puis une ambiance vraiment familiale pour couronner le tout. Le quota de participants a de nouveau été atteint et Joan Grenet et toute son équipe d'organisation ne peuvent que se réjouir. Le succès est là et ne se dément pas. On notera aussi toute l'application et la passion que met l'organisateur en personne pour maintenir l'actualité sur son épreuve (nota : son petit bébé) tout du long de l'année. On ne s'ennuie jamais sur le mur du TBZ et les traileurs apprécient volontiers. Bref une histoire d'amour qui perdure. Cette année, au niveau des résultats, on retiendra que sur le 14km, ce sont des habitués qui l'emportent. Mylène Bacon et Eric Rivals. Sur le 21km, Nicolas Miquel ne l'emporte pas cette fois et laisse la place de leader à Baptiste Coatantiec. Sur la petite distance de 8,5km, ce sont Cyril Roques et Emmanuelle Moillard qui inscrivent leurs noms au palmarès ! Enfin Sophie Pourcel, décidément très en forme, gagne elle le 21km.
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Cinq ans déjà. Cinq ans que dans la tête d'un certain Joan Grenet a germé l'idée d'organiser une épreuve du côté de chez lui à Bazièges. Cinq ans de Trail de Baziège. Cinq ans de succès qui ne se dément pas. Là-bas tout est bien calé, bien carré et aussi tellement décontracté. On ne s'y trompe jamais et on y revient à coup sûr. Aussi ce n'est pas un hasard si les quotas mis en place par l'organisation sont chaque fois atteint. Trois distances, un marche et quasiment à chaque fois 300 concurrents ou quasiment. Et le plein est fait. On approche les 1000 dossards. L'ambiance est au top. Avec des parcours modifiés à quelques mètres près pour satisfaire au mieux les passionnés, avec des cadeaux et de l'attention. Bref c'est devenu un petit temple du trail. Aux portes de Toulouse. Et juste en cinq années. Pour 2022 en tout cas, le soleil était bien de la partie. La pluie tombée dans la semaine n'a pas eu trop d'impact sur le terrain. C'est allé donc très vite.... Sur le 21km par exemple, on a retrouvé les deux copains qui étaient la veille sur le 25km du Gruissan Poli Trail. Cette fois c'est Eric Rivals qui l'emporte devant Nicolas Miquel à quelques secondes. L'inverse du samedi ou un équilibre souhaité. Chez les féminines, Isabelle Perrenot est seule devant. Sur le 14km, ce sont deux habituées qui s'imposent. Mylène Bacon et Arnaud Bellaïla. Enfin sur la courte distance, Grégory Bé était de la fête tout comme Nathalie Bordes Durrieu !
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Le froid est revenu mais avec lui les courageux qui aiment courir sur les sentiers malgré les conditions. Aussi le Trail de Baziège, plus connu désormais sous le diminutif de TBZ, a enfin pu se dérouler sans encombre. Tout d'abord reporté l'an dernier une première fois puis annulé toujours à cause du COVID et encore une fois reporté, il a donc attendu comme beaucoup que la situation sanitaire soit plus propice pour pouvoir se dérouler. C'était donc la quatrième édition et le plein était fait avec 900 coureurs au total sur les trois distances proposées, le jeu des reports de dossards oeuvrant en ce sens. Pour autant, Joan Grenet, l'enthousiaste organisateur et tout son équipe, n'ont pas chômé durant cette période d'accalmie forcée. Le souci du petit détail est le leimotoiv de notre homme passionné et aussi bien les parcours tracés avec le coeur que l'accueil des coureurs reçus comme des rois, rien n'est laissé au hasard. Joan a déjà expliqué qu'il mettait sur pied en janvier prochain une toute nouvelle épreuve qui devrait, par son originalité, attirer les foules... Mais pour l'heure, revenons au TBZ. Sur la petite distance, Jean-Pho Pereira continue sur sa lancée de victoires et l'emporte avec quelques secondes d'avance. Nelly Guibbert est lauréate chez les filles. Sur le 14km, on a pu revoir une Mylène Bacon bien fringante, de passage donc pour quelues jours dans la région. Bien sûr elle a toujours la forme et finit même sixième au général. Devant c'est Grégory Bé qui est allé le plus vite. Sur le long de 20km enfin, Arnaud Bellaîla confirme qu'il a retrouvé de bonnes sensations et l'emporte assez nettement. Isabelle Perrenot, pour être complet, gagne chez les féminines sur cette distance !
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Le vent d’automne n’a pas soulevé que les feuilles courantes, dimanche à Baziège, il a aussi tantôt pousser et copieusement gêner la progression des 500 coureurs répartis sur les trois courses proposées du TBZ, 21 km, 15 km, 9 km et randonnée pédestre. Joan Grenet et l’association de gymnastique baziégeoise peuvent s’enorgueillir d’avoir organisé avec un succès probant la troisième édition de l’épreuve. Mise à l’honneur parce qu’inscrite au challenge Lévy, le 15 km a attiré tous les compétiteurs en lice désirant s’affirmer au classement général du challenge. Grégory Bé n’a laissé aucune chance à ses poursuivants et s’est imposé avec une petite minute d’avance sur le triathlète Hugo Charton et David Laroche. Sophie Pourcel domine la compétition en reléguant ses deux premières rivales Julie Robert et Julie Fiorelli à plus de vingt minutes. Le gratin de la discipline s’est plutôt aligné sur le 20 km. Stéphane Cavalca prévoyait partager sa matinée dominicale en tête de course avec son complice Nicolas Miquel. Mais Fabrice Bélot est venu jouer le trouble fête en contestant leur leadership. Stéphane prend don seul la direction des opérations en s’échappant à mi course. Derrière lui, Nicolas saura garder l’avantage sur Fabrice. Considérablement enquiquinée par le vent, Mylène Bacon n’a guère forcé sur son talent. L’irréductible championne, 9ème au scratch surclasse ses adversaires Lucile Resplandy et Romane Rey comptées à plus de trente minutes. Sur le petit 9 km, Nicolas Le Hir, Terence Dubois et Laurent Tudeau. Emile Le Hir, Chloé Delvingt et Marie Anne Delvingt forment les deux podiums masculin et féminin. Nombreux, les coureurs ont tous été accueillis dans la grande salle où de délicieux mets servis ont pu compenser les efforts fournis
Les premières photos et vidéos du Trail de Baziège dans la foulée. Les résultats sont en rubrique "résultats" !
04/11/18 Le Trail de Baziège surfe sur la vague du succès !
Gorilles dans la brume. D’un rouge élégant, reléguant son principal concurrent à près de quatre minutes, Stéphane Cavalca n’a laissé aucune chance à ses adversaires dimanche matin sur les coteaux de Baziège. Le sociétaire du club de Portet sur Garonne, en recherche de vitesse après une saison d’entrainement sur les versants ariégeois, n’a pas semblé fournir le moindre effort pour avaler les quatre belles bosses requises du tracé du 15,5 km. La seconde édition du TBZ, organisée par l’AGVB chapeautée par Joan Grenet s’est disputée à couteaux tirés dans un brouillard tenace que les mêmes couteaux n’ont pas coupé. Quatre petits degrés au départ, ils étaient pourtant plus de 800 participants répartis sur les trois épreuves : 15,5 km, 8,7 km ou marche forcée. Sur la plus longue distance, Stéphane devance Florian Monnereau et Florian Cavailles. Mylène Bacon, intouchable, 7ème au scratch, sera entourée sur le podium d’Isabelle Vernay et de Julie Fiorelli. Sur le 8,7 km, riverain de l’épreuve, non licencié, Etienne Pousse, 25 ans, s’est montré le plus rapide devant Laurent Tudeau et Nicolas Hans. Accrochée en début de course par Laurie Lescure, la favorite Sophie Pourcet parvient néanmoins à imposer son allure dominatrice à sa rivale. Anne Claire Avérous est troisième.
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La passion. Tout part d'une passion d'un homme pour cette discipline qu'est le trail. Et puis le projet sort des tiroirs, il y a plus d'un an déjà. Et puis jour après jour, l'épreuve prend forme. Par petites touches, par bouche à oreille, par conseils pris ici ou là et finalement le résultat est à la hauteur des attentes. Magnifique. Un succès énorme pour une première édition. Presque 600 dossards pour un coup d'essai. Joan Grenet et toute son équipe de la Gym de Baziège a réussi son pari. En proposant deux parcours bucoliques, difficiles mais pas impossibles, en mettant les petits plats dans les grands pour recevoir au mieux les coureurs de nature, ils sont mis dans le mille. Ils ont fait mouche comme on dit. Et dire qu'ils avaient peur, il y a un mois à peine, de ne pas avoir assez de monde au départ. La date était donc idéale et les coureurs ont répondu présents récompensant au passages des heures et des heures de boulot et donc, bien sûr, surtout énormément de passion. Côté résultats, Nicolas Miquel et Mylène Bacon, tous deux du Team Irun, s'imposent sans surprise sur le 14km. Même si Sylvain Bargues donnait du fil à retordre au premier nommé. Sur la petite distance, on notera la grosse performance de Brieuc Morguen, inconnu dans le coin, qui est parti comme une balle et qui ne sera jamais revu. Il finit avec deux minutes d'avance sur son premier poursuivant. Chez les féminines, Myriam Chartrel, toujours souriante, s'impose devant Charlyne Diaz pas loin. On reviendra aussi que c'était l'avant-dernière animation de Michel Hortala qui sera du côté d'Auch en fin d'année pour sa toute dernière prestation. Séquence émotion donc !
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Le moins que l'on puisse dire, c'est que le TBZ est béni des Dieux. Après cinq jours de pluie et de météo exécrable dans la région (et même ailleurs) l'éclaircie est donc venue en ce premier dimanche de novembre. Résultats des courses, un beau soleil, un peu de boue mais pas trop et puis tout de même pas mal de vent. Une météo quasi idéale donc pour un traileur. Aussi pour cette sixième édition, le Trail de Baziège nous prouve une nouvelle fois, si l'on en doutait encore, que c'est la course toulousaine de référence de l'automne. Plus de 1000 dossards distribués, des parcours joueurs et pas si évidents aux portes de la ville rose et puis une ambiance vraiment familiale pour couronner le tout. Le quota de participants a de nouveau été atteint et Joan Grenet et toute son équipe d'organisation ne peuvent que se réjouir. Le succès est là et ne se dément pas. On notera aussi toute l'application et la passion que met l'organisateur en personne pour maintenir l'actualité sur son épreuve (nota : son petit bébé) tout du long de l'année. On ne s'ennuie jamais sur le mur du TBZ et les traileurs apprécient volontiers. Bref une histoire d'amour qui perdure. Cette année, au niveau des résultats, on retiendra que sur le 14km, ce sont des habitués qui l'emportent. Mylène Bacon et Eric Rivals. Sur le 21km, Nicolas Miquel ne l'emporte pas cette fois et laisse la place de leader à Baptiste Coatantiec. Sur la petite distance de 8,5km, ce sont Cyril Roques et Emmanuelle Moillard qui inscrivent leurs noms au palmarès ! Enfin Sophie Pourcel, décidément très en forme, gagne elle le 21km.
Cinq ans déjà. Cinq ans que dans la tête d'un certain Joan Grenet a germé l'idée d'organiser une épreuve du côté de chez lui à Bazièges. Cinq ans de Trail de Baziège. Cinq ans de succès qui ne se dément pas. Là-bas tout est bien calé, bien carré et aussi tellement décontracté. On ne s'y trompe jamais et on y revient à coup sûr. Aussi ce n'est pas un hasard si les quotas mis en place par l'organisation sont chaque fois atteint. Trois distances, un marche et quasiment à chaque fois 300 concurrents ou quasiment. Et le plein est fait. On approche les 1000 dossards. L'ambiance est au top. Avec des parcours modifiés à quelques mètres près pour satisfaire au mieux les passionnés, avec des cadeaux et de l'attention. Bref c'est devenu un petit temple du trail. Aux portes de Toulouse. Et juste en cinq années. Pour 2022 en tout cas, le soleil était bien de la partie. La pluie tombée dans la semaine n'a pas eu trop d'impact sur le terrain. C'est allé donc très vite.... Sur le 21km par exemple, on a retrouvé les deux copains qui étaient la veille sur le 25km du Gruissan Poli Trail. Cette fois c'est Eric Rivals qui l'emporte devant Nicolas Miquel à quelques secondes. L'inverse du samedi ou un équilibre souhaité. Chez les féminines, Isabelle Perrenot est seule devant. Sur le 14km, ce sont deux habituées qui s'imposent. Mylène Bacon et Arnaud Bellaïla. Enfin sur la courte distance, Grégory Bé était de la fête tout comme Nathalie Bordes Durrieu !
Le froid est revenu mais avec lui les courageux qui aiment courir sur les sentiers malgré les conditions. Aussi le Trail de Baziège, plus connu désormais sous le diminutif de TBZ, a enfin pu se dérouler sans encombre. Tout d'abord reporté l'an dernier une première fois puis annulé toujours à cause du COVID et encore une fois reporté, il a donc attendu comme beaucoup que la situation sanitaire soit plus propice pour pouvoir se dérouler. C'était donc la quatrième édition et le plein était fait avec 900 coureurs au total sur les trois distances proposées, le jeu des reports de dossards oeuvrant en ce sens. Pour autant, Joan Grenet, l'enthousiaste organisateur et tout son équipe, n'ont pas chômé durant cette période d'accalmie forcée. Le souci du petit détail est le leimotoiv de notre homme passionné et aussi bien les parcours tracés avec le coeur que l'accueil des coureurs reçus comme des rois, rien n'est laissé au hasard. Joan a déjà expliqué qu'il mettait sur pied en janvier prochain une toute nouvelle épreuve qui devrait, par son originalité, attirer les foules... Mais pour l'heure, revenons au TBZ. Sur la petite distance, Jean-Pho Pereira continue sur sa lancée de victoires et l'emporte avec quelques secondes d'avance. Nelly Guibbert est lauréate chez les filles. Sur le 14km, on a pu revoir une Mylène Bacon bien fringante, de passage donc pour quelues jours dans la région. Bien sûr elle a toujours la forme et finit même sixième au général. Devant c'est Grégory Bé qui est allé le plus vite. Sur le long de 20km enfin, Arnaud Bellaîla confirme qu'il a retrouvé de bonnes sensations et l'emporte assez nettement. Isabelle Perrenot, pour être complet, gagne chez les féminines sur cette distance !
Le vent d’automne n’a pas soulevé que les feuilles courantes, dimanche à Baziège, il a aussi tantôt pousser et copieusement gêner la progression des 500 coureurs répartis sur les trois courses proposées du TBZ, 21 km, 15 km, 9 km et randonnée pédestre. Joan Grenet et l’association de gymnastique baziégeoise peuvent s’enorgueillir d’avoir organisé avec un succès probant la troisième édition de l’épreuve. 
Gorilles dans la brume. D’un rouge élégant, reléguant son principal concurrent à près de quatre minutes, Stéphane Cavalca n’a laissé aucune chance à ses adversaires dimanche matin sur les coteaux de Baziège. Le sociétaire du club de Portet sur Garonne, en recherche de vitesse après une saison d’entrainement sur les versants ariégeois, n’a pas semblé fournir le moindre effort pour avaler les quatre belles bosses requises du tracé du 15,5 km. La seconde édition du TBZ, organisée par l’AGVB chapeautée par Joan Grenet s’est disputée à couteaux tirés dans un brouillard tenace que les mêmes couteaux n’ont pas coupé. Quatre petits degrés au départ, ils étaient pourtant plus de 800 participants répartis sur les trois épreuves : 15,5 km, 8,7 km ou marche forcée. Sur la plus longue distance, Stéphane devance Florian Monnereau et Florian Cavailles. Mylène Bacon, intouchable, 7ème au scratch, sera entourée sur le podium d’Isabelle Vernay et de Julie Fiorelli. Sur le 8,7 km, riverain de l’épreuve, non licencié, Etienne Pousse, 25 ans, s’est montré le plus rapide devant Laurent Tudeau et Nicolas Hans. Accrochée en début de course par Laurie Lescure, la favorite Sophie Pourcet parvient néanmoins à imposer son allure dominatrice à sa rivale. Anne Claire Avérous est troisième.
La passion. Tout part d'une passion d'un homme pour cette discipline qu'est le trail. Et puis le projet sort des tiroirs, il y a plus d'un an déjà. Et puis jour après jour, l'épreuve prend forme. Par petites touches, par bouche à oreille, par conseils pris ici ou là et finalement le résultat est à la hauteur des attentes. Magnifique. Un succès énorme pour une première édition. Presque 600 dossards pour un coup d'essai. Joan Grenet et toute son équipe de la Gym de Baziège a réussi son pari. En proposant deux parcours bucoliques, difficiles mais pas impossibles, en mettant les petits plats dans les grands pour recevoir au mieux les coureurs de nature, ils sont mis dans le mille. Ils ont fait mouche comme on dit. Et dire qu'ils avaient peur, il y a un mois à peine, de ne pas avoir assez de monde au départ. La date était donc idéale et les coureurs ont répondu présents récompensant au passages des heures et des heures de boulot et donc, bien sûr, surtout énormément de passion. Côté résultats, Nicolas Miquel et Mylène Bacon, tous deux du Team Irun, s'imposent sans surprise sur le 14km. Même si Sylvain Bargues donnait du fil à retordre au premier nommé. Sur la petite distance, on notera la grosse performance de Brieuc Morguen, inconnu dans le coin, qui est parti comme une balle et qui ne sera jamais revu. Il finit avec deux minutes d'avance sur son premier poursuivant. Chez les féminines, Myriam Chartrel, toujours souriante, s'impose devant Charlyne Diaz pas loin. On reviendra aussi que c'était l'avant-dernière animation de Michel Hortala qui sera du côté d'Auch en fin d'année pour sa toute dernière prestation. Séquence émotion donc !