Archives 20242024 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre -
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Cette année, la Ronde de Ramonville a modifié légèrement sa date pour se retrouver en deuxième week-end de décembre. Cela n'a eu aucune incidence sur l'affluence des coureurs malgré la concurrence de la Corrida de Noël non loin. 2000 ici et 3000 là-bas. Toutes deux ont arrêté leur inscription bien avant le jour fatidique de la course. C'est dire l'engouement actuel des coureurs de la région à vouloir prendre un dossard. La Ronde de Ramonville pour sa onzième édition grandit encore un peu plus. Les organisateurs de l'ACC ont choisi de rajouter une épreuve de 5km en lever de rideau. Et de fait, la barre des 2000 dossards en tout, avec les enfants donc, a largement été franchie. Jusqu'où cela ira? Seul l'avenir nous le dira. En tout cas sur le bord du canal du Midi c'était la grande affluence et la météo pas forcément idéale, des passages de pluie, un peu de vent de temps à autre et une température proche des 6°C a fait le reste. C'est vraiment un grand rendez-vous, comme un incontournable pour certains en recherche d'un dernier chrono avant les fêtes. Côté performance justement, et comme à l'habitude, il y a toujours quelques pointures qui s'inscrivent et avec l'évolution du matériel, cela va aussi de plus en plus vite. Cette année sur le 5km, ce sont Florian Ciliberti en 15'32'' et Louise Bailly en 16'58'' qui ont été les plus véloces. Sur le 10km avec donc près de 1300 partants, Arthur Faroux a mené de bout en bout et finit en 30'49'' malgré le vent et la pluie qui se sont invités sur la fin... Laura Clément en un peu plus de 37' a été un long moment sous la pression du retour de Manon Taurin mais elle gagne de belle manière !
Bon le trail des Oufs a trouvé sa place dans le calendrier. C'est désormais une certitude. Une vérité. Et les dossards s'arrachent sur le site du chronométrage et le plein est fait bien avant la date de la course. Aussi une nouvelle fois, ce sont plus de 1000 coureurs qui se sont retrouvés du côté de Montastruc la Conseillère. Pas sous une météo de folie, on est bien d'accord. Mais qu'est-ce qu'un trail à notre époque si il n'y pleut pas un petit peu ou si il n'y fait pas un poil froid. Les organisateurs de Cap Montas avaient une fois mis les petits plats dans les grands avec comme parrain de luxe, Mbark El Moraribity le champion du désert que l'on ne présente plus. Mainte fois vainqueur du Marathon des Sables, entre autres. Rappelons que les bénéfices de l'épreuve sont reversés en partie à Hôpital Sourires. Côté compétition, cette fois encore Mylène Bacon a été la plus rapide sur le 11km. Elle est une habituée des lieux désormais. Tom Toussaint s'impose lui en masculins. Sur le 22km Niels Oger n'a laissé aucune chance à la concurrence et Marion Van de Steene inscrit son nom au palmarès !
Cette année, le Trail de Gruissan a changé de nom pour devenir le Gruissan Kinetik Trail. Mais cette année le Trail a aussi changé d'organisateurs avec la mise en retrait du couple Ferrasse, même si ils étaient toujours là pour aider bien sûr, et deux nouveaux couples aux commandes, Benoît et Erwan et leurs épouses Calire et Audrée... Mais les distances, elles, étaient toujours les mêmes avec un 18 et un 12km le samedi et un 50 et un 25km et quelques marches d'appui. Et la grande incertitude du weed-end était la force du vent. Comme souvent, il souffle toujours très fort dans la Clape, mais pour ces 7 et 8 décembre, une vigilance orange était de mise et tout le monde suivait forcément avec une attention grimpante le passage ou non au rouge, qui aurait été synonyme d'annulation. Mais les rafales à plus de 120km/h n'ont pas fait peur aux courageux traileurs et les 1500 inscris en tout, quota maximal autorisé par le Massif, étaient bien aux départs. Sur le 18km, ils étaient 500 environ et Arnaud Capelotar a été royal. Il survole les cailloux et s'impose en 1h22'. Louise Andrieux est première féminine. Sur le 12km, la Ronde des Chevriers, Gatean Sanchez, le roi de Fontfroide, l'emporte et Maéva Tota en féminines... Sur le 50km, épreuve phare du week-end, malgré un vent qui s'est encore renforcé le dimanche matin, c'est bien Fabien Beaufils qui l'emporte en 4h04'43'' (1600m de D+). Il a su contenir le départ rapide d'Arnaud Bellaîla, le Toulousain, qui finira finalement quatrième, et prendre la poudre d'escampette dans la deuxième partie de course. Chez ces dames, Audrey Manauté est la grande lauréate. Mais la bataille fut rude avec Stéphanie Pivotto et Lucie Barras, non loin toutes les deux. Enfin sur le 25km, dernière épreuve à prendre son envol (10h30 le dimanche matin, Las Caladas) Lucas Wilbot sera finalement le plus rapide. Tommy Maurin aura bien tout tenté mais en vain. Justine Jacquot est bien la première femme. Enfin pour être complet, on notera que c'est l'équipe Toto et Nono qui l'emporte.. et sans conteste possible avec presque 20' d'avance ! Bientôt ce sera la 20ème édition de cette classique hivernale et on en parle déjà....
Cette année, le trail du Pastel, ou du moins ses organisateurs, ont eu un peu peur. En effet avec l'apparition du Marathon de Toulouse dans le calendrier, en date du 10 novembre donc, ils ont été obligés assez vite de revoir leur copie. De fait, si on avait l'habitude que l'épreuve balmanaise se déroule le 11 novembre, il aura fallu attendre quinze jours de plus pour la retrouver. Et le moins que l'on puisse dire c'est que cela n'a absolument rien changé. Le succès fut une nouvelle fois au rendez-vous. 1500 dossards distribués en tout et une météo meilleure que l'an dernier où une petite pluie s'était invitée, on s'en souvient. Là température idéale et grand soleil pour lancer les départs (entre 16h et 17h) même si la nuit enveloppait très vite cela pour la plupart des coureurs obligés de vite sortir la frontale. La Tribu Orange a donc de nouveau sévi. Les concurrents étaient unanimes pour reconnaître la qualité d'organisation avec des parcours urbains, certes, mais avec quelques touches de campagne assez dépaysantes. Pour ce qui est de la compétition proprement dite, avec la saison des cross qui a débuté et la proximité toulousaine, il y a toujours un beau niveau dans l'ensemble. Ainsi Nicolas Miquel,tenant du titre, et de retour après une période de maladie tenace, remporte de nouveau le 25km. Venu en voisin, il avouait ne pas pouvoir manquer ce rendez-vous qui lui tient à coeur. Chez les dames, c'est Savina Picotto qui double aussi la mise sur cette distance. Sur le 17km Yann Bouler et Claude Canevese l'emportent sans souci alors q'en duo sur cette distance, on retrouve les triathlètes Mahon Alban et Erwann Lejean alors que Mylène Bacon et Emmanuelle Moillard, deuxième au scratch, gagnent bien sûr en féminines. Enfin sur la plus courte des distances, le 12km, ce sont Jérémy Teyssier et Marie-gabrielle Armstrong qui inscrivent leur nom au palmarès !
En deux ans, on peut dire que le trail de la Marcaoue à Saint-André est ancré. 150 partants sur les courses plus des marcheurs et pas mal d'enfants, ça fait une belle journée dans le Savès. Alain et Anaïs peuvent être fiers de leur organisation qui faisait l'unanimité ce matin auprès des coureurs rencontrés. Il faut dire que la météo était de la partie et que le circuit était donc super agréable à courir. Un peu de boue sans trop et un panorama magnifique ont rendu le parcours plaisant pour tous. Sur la course de 14,5 km, seul Antoine FAUCHART, le Saint-Gaudinois passe sous l'heure (57'43") pour remporter l'épreuve devant Mattéo BLESZ d'Urdens et Matthieu CASADESSUS de l'AC Auch. Sabine VIGAN de Frégouville l'emporte chez les filles avec Morgane BRAJON de la SA Condom et Mailys CHOISY de Samatan comme poursuiveuses. Sur le 9 km, Jérôme BUC et Claire PERUSIN DEFFES sont les plus rapides. S'en est suivi la course enfants avec un ou deux tours du village en fonction de l'âge et des énormes sourires des participants.
Lévignac est lié au trail, cela ne fait plus aucun doute. On se souvient tous encore du Forest Trail qui a illuminé certaines nuits un peu particulières, et bien depuis quelques années c'est le Forest Run qui a pris le relais. De jour cette fois. Et avec un grand soleil cette année. Aussi les 500 dossards sont partis comme des petits pains et les organisateurs ont dû vite fermer les inscriptions. La rançon du succès. Il est vrai que les parcours proposés de 13 ou 23km ont vraiment de quoi plaire. Sur le petite distance, Lucia Vicente et Vincent Mercadal ont été les plus rapides et sur la grande, ce sont Sandrine Da Cunha et Jean Munier qui se sont faits remarquer. La suite dès l'année prochaine pour une nouvelle édition. Trempée ou ensoleillée? On verra bien.
Ce fut donc une année record du côté de la Teulatoise. Avec un beau soleil hivernal retrouvé, avec aussi une course enfants le matin en grande nouveauté et avec une bande de bénévoles, tous teulatois hyper motivés, le record de participations a été explosé. Presque 300 en tout si on compte tout le monde. Du jamais vu. Et encore les organisateurs avaient décidé de stopper l'hémorragie quelques heures avant la fermeture des inscriptions pour pouvoir gérer tout ce monde et surtout trouver de la place pour les parkings. Teulat reste un tout petit village. Aussi après les crêpes et le jus de fruit du matinée, les grands de l'après-midi ont eu droit au traditionnel pâté et à la bière locale (la Tanis) et bien sûr à l'aligot pour ceux qui prolongaient en soirée... Côté résultats, cette année sur un parcours bien glissant et un peu raccourci à cause des travaux à la digue, c'est Adrien Guiomar qui l'emporte en 37'16'' chez les hommes et Anaëlle Sztienberg en féminine. On notera aussi que les premiers teulatois, Céline Depasse et Vincent Cousinié sont les mêmes que l'an passé !
Le Trail des Farfadets, c'est toujours, en plus, d'une course, un grand spectacle médiéval au départ de Sarrant. Ce magnifique village gerspos se transforme, le temps d'une soirée et se téléporte au XIXe siècle. Torches, forgerons, farfadets donc sont partout. Le départ passe sous la Tour-Porte et zigzague dans les ruelles étroites du village avant de partir sur les chemins où, de spectacle en spectacle, de ravitaillement en ravitaillement. Pour cette 5e édition, la météo était parfaite après quelques années de boue et de pluie. Chacun à l'arrivée était enchanté du parcours concocté par Xavier Hanicotte et son équipe 
L'édition 2023 de la Boucle des Coteaux avait vu une certaine baisse de la participation, suite à un week-end bien rempli sur le calendrier des courses. Le cru 2024 consacrait un quasi retour à la normale avec environ 400 adultes engagés... De quoi redonner le sourire aux Zinzins du bitume, toujours prêts à offrir leur terrain de jeu préféré. Un joli tour sur route, mêlant une portion de chemin de terre et surtout, les célèbres côtes ayant bâties la réputation de l'épreuve de Saint-Loup Cammas, permettant aussi d'apprécier de belles vues sur la plaine toulousaine en contrebas. Côté météo, il faisait un peu frais, mais cela restait très correct pour courir dans de bonnes conditions. Le soleil en prime ! Côté sportif, sur le 5km, on retrouve Clémence Mouysset en vainqueur en 23'20'', et Hugo Foltète, qui signe un chrono de 17'55''. Sur le 11km, Jean-Philippe Bosch s'impose en 40'21'' et Prisca Dejean l' emporté chez les dames, en 49'54''. Enfin, sur la course en relais, le duo des "Michel' s" s'est montré le plus rapide, avec une victoire signée en 39'09'' pour Maxime et Théo. 
Dans l'idéal, qu'est qui pourrait faire que cette Boucle du Confluent soit encore mieux? On a beau se creuser les méninges, difficile d'y rajouter quelque chose. La recette est juste parfaite. Cette année, il y avait le soleil et la fraîcheur d'une matinée estivale. Idéal donc pour courir et aller vite. Cette année, le quota des 1200 dossards (400 sur le 5 et 800 sur le 10) a été rapidement atteint. Bien avant le jour de la course. C'est une habitude. Et si on rajoute les deux cents enfants au bas mot, on a un nombre parfait. Ni trop peu mais ni trop comme ça pourrait le cas sinon et peut-être perdre en convivialité. Cette année, on a eu droit à une bagarre aux avant-postes et à une remise des prix particulièrement emballée. Cette année, mais comme toutes les autres années en fait, il y a la petite touche des gars du PAC, les gens en rouge et blanc qui allient passion et professionnalisme et qui ne laissent personne sur le carreau. Entre bonne humeur et grande famille. Bref il n'y a pas grand chose à rajouter. Ah si, bien sûr, côté performance car, ça change toujours d'une année sur l'autre, c'est Saber Hara, inconnu par ici, qui l'emporte sur le 10km. Le seul à descendre sous les 32'. Mais la star du jour, cela reste bien sûr Mélody Julien qui a doublé 5 et 10km et qui donc, fort logiquement, remporte les deux. 34' sur le 10 pour être précis. Enfin sur le court, c'est Alan Piton qui impose sa vitesse. Sa sœur Anaïs finissant elle troisième sur le 10 et son père Hervé, jamais très loin... L'an prochain paraît il quelques dossards de plus seront attribués sur le 5km...
Et voilà, l'Aussonnaise vient de naître. Et sans aucun doute possible, les organisateurs n'auraient jamais pu s'attendre à une première envolée aussi réussie. En effet aussi bien du côté des inscriptions où l'affluence fut telle qu'il a fallu stopper bien avant le jour J (400 dossards en tout) que du côté de la météo avec un beau soleil d'automne et une fraîcheur hivernale, tout était donc réunie. Difficile donc de rêver mieux. Si l'on rajouté ce petit parcours bucolique fort sympathique qui fait tout le charme de cet Aussonne non loin de Toulouse. Deux distances étaient proposées pour une course nature bien plaisante. Sur le 5km, Medhi Berrouigat et Morgane Rigaud ont été les plus rapides et sur le 10km, ce sont Gabriel Guillermin et Flavie De Meerleer qui inscrivent leurs noms à cette première édition. Vivement donc la deuxième, qu'on voit la progression de l'Aussonnaise !
Une brume épaisse s'est installée dans les hauteurs de Sorèze. L'humidité est palpable et même si l'on ne monte pas très haut dans cette partie de la Montagne Noire, 700m à tout casser, l'ambiance revêt toujours ce petit coté féerique. Les organisateurs du Déspérado Trail, qui remettent donc le couvert en novembre avec cet Oritrail, ont vraiment de la chance d'avoir un tel terrain de jeu. Au gré des saisons, ces petites montagnes aux pentes si abruptes changent sans arrêt d'aspect, de couleur. Un vrai paradis pour traileurs. Cette fois il furent plus de 570 encore, sans compter les marcheurs, à partir à l'assaut du Berniquaut. 300 su le 10km où Florian Pech et Julie Poutier dicteront leur loi. Le reste sur cette nouvelle distance de 21km avec plus de 1200m de D+ tout de même. Là c'est Corentin Cambonie qui aura eu le dernier mot après une belle bataille face à Clément Lopez. Fannie Estivlas remporte en féminines ce 21km.
Il fallait être motivé pour se rendre à Montgailhard ce samedi soir avec la météo annoncée. Pluie et froid. Nuit pour en rajouter une couche. Certains ne s'y sont pas risqués préférant certainement rester au chaud à la maison. Mais les traileurs, on le sait, aiment bien les conditions pas faciles. Aussi ils étaient tout de même pas loin de 250 à avoir répondu à l'appel du Sport Nature Montgailhard, qui on le sait, organise également un trail en journée vers le mois de juin. 80 individuels et un peu plus d'équipes de deux. Avec le brouillard et les glissades à gogo, on peut dire que Julien Durand a vraiment été très costaud. 2h28' pour venir à bout des 27km et plus de dix minutes d'avance sur le deuxième, Laurent Fernandez. Carine Lopez est première féminine en 19ème place au général. Par équipes, ce sont les Flibustiers des Garrigous qui l'emportent. Mais bien sûr c'est le casse-dalle d'après course qui restait dans ces conditions le plus important...
C'est dans le petit village de Saurat dans l'Ariège que ça se passait. Et le moins que l'on puisse dire c'est que la passion de l'organisateur a su insuffler la volonté à sa petite équipe d'organisation de mettre que pied quelque chose de magnifique et de familial à la fois. Ce sont donc près de 400 dossards qui auront été distribués pour une première. Répartis assez équitablement sur un 13km et un 34km qui faisait office de "gros morceau" avec ses 2200m de D+. Mais on avait averti avant, les sentiers proposés étaient très peu fréquentés et permettaient de découvrir certains reculés et peut-être inédits. Que du bonheur ! Sur la petite distance, Benjamin Bellamy, presqu'à la maison s'impose et c'est Carlotta Finn qui l'emporte en féminines. Sur le long, et bien Elliot Philippon bien sûr ne laisse que peu de chance à son dauphin du jour, Pierre Burnel. Et chez ces dames, Clémentine Bellet, venue de Grenoble a dicté sa loi. La météo était pas si mauvaise, même si dans les hauteurs la fraîcheur et le brouillard nous rappelaient que nous sommes bien proches de ;l'hiver.
C'est toujours un rendez-vous très attendu à Toulouse. Les Bacchantes font la part belle aux moustaches mais surtout, surtout oeuvrent pour une bonne cause, la recherche contre le cancer de la prostate. Aussi c'est avec un réel plaisir que l'on constate à chaque fois l'engouement que peut avoir un tel événement. Bien sûr le week-end était très chargé dans le département et bien sûr beaucoup de monde pensait peut-être déjà au marathon de Toulouse avec toutes ces distances proposées... Mais la fête fut tout de même belle et le récolte imposante. Côté résultats, même si cela n'a que peu d'importance en cette matinée de novembre, on retiendra toutefois que Marie-Line Frandin et Ghislain Cathala ont été les plus rapides sur le 8km !
Samedi 26 septembre ont eu lieu les premières foulées bessinoises à Bessens.