Archives 20112011 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre -
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C'est sous une pluie fine mais ininterrompue que s'est déroulée la toute dernière course de l'année : la fameuse Corrida d'Auch. Un peu moins de monde que d'habitude donc avec moins de 350 participants inscrits sur le 8km mais la météo ne jouait pas cette fois en faveur des organisateurs. Une minute de silence était faite avant le départ en mémoire de Serge Lévy. D'entrée Richard Hobby, pressenti comme le favori par beaucoup après un super chrono récent sur semi, prenait les commandes. Il fera ainsi trois kilomètres en tête et puis dans sa foulée les jeunes pouces que sont Nicolas Fernandez et David Gosse se refont la cerise. Nicolas Fernandez du Team I-Run l'emporte donc une nouvelle 
fois cette année, bouclant les 8km très glissants (il sera même victime d'une chute !) en 24'20". David Gosse finit avec lui, quasi au sprint, mais tous deux devancent donc Richard, troisième... Aurélien Lescure est plus loin et Saïd Jandari, ex-champion de France de montagne, cinquième. Houria Fréchou l'emporte chez les féminines devant sa copine, Nawal Pinna.
Pour tout vous dire, j'étais en train de vous écrire quelques lignes pour vous souhaiter de joyeuses fêtes et une bonne année, comme c'est la tradition durant cette période... Et puis de retour d'un entrainement, mon téléphone a commencé à sonner. Une fois. Deux fois et puis cela n'a plus arrêté. La nouvelle a stoppé net ma journée. Serge Lévy s'en est allé. Dans la nuit de vendredi à samedi. Une bataille de trop contre sa terrible maladie. Cela faisait tellement longtemps qu'elle avait pris place à ses côtés... Presque trois ans. Malgré tout la vaillance et la détermination que l'on connait à Serge, le corps n'a pas supporté d'aller plus loin. Son corps n'a pas voulu de cette course de plus... Je n'ai jamais cotoyé quelqu'un de plus enthousiaste que Serge dans toute ma vie. Toujours souriant, toujours prêt à un défi de plus, toujours très réceptif aussi... Et c'est surtout cela que je retiendrai de lui. Serge a toujours répondu sans attendre à toutes mes sollicitations, toutes mes questions... Je me suis toujours demandé comment il faisait pour arriver à se rendre aussi disponible malgré un emploi du temps aussi chargé. Sans doute a-t-il toujours su bien s'entourer. A cette heure, je pense surtout à ce grand vide qu'il va laisser dans le monde de la course à pied. Il fut, comme il amait à le dire en plaisantant, le premier abonné de Running Mag. Il a aussi accepté d'écrire la préface du livre que je viens de sortir et que je venais tout juste de lui remettre. C'était en début de mois... Je me souviens aussi des équipes que nous formions en fin d'année pour participer au relais des Côteaux, des trajets en voiture avec lui et des discussions que nous avions. Serge était un être intelligent et passionné. C'est un ami que je perds aujourd'hui. Et je ne peux m'empêcher de pleurer en essayant de retenir ce flot de souvenirs des moments passés en sa compagnie. Putain de maladie...qui est toujours la plus forte au bout du compte ! De toute façon, Serge, c'est juste un au-revoir... On se retrouvera, c'est sûr, au paradis des passionnés de course à pied. Car de passionné, tu fus et tu resteras la premier d'entre nous. Tu as tellement oeuvré et fait pour notre sport. Adieu Serge et à bientôt ! 
De l'avis général, une très belle 5e édition du Trail de l'Igue et une superbe prestation de l'équipe d'ASN Tour-de-Faure autour de Dominique Gardes et Laurent Lagarrigue. Temps frais au départ des 2 courses (10 et 11 h) avec un brouillard tenace enveloppant la vallée du Lot et les abords du causse, le soleil ne daignant se montrer qu'après les arrivées en fin de matinée, mais il ne faisait pas très froid pour autant, en tout cas bien moins que l'an dernier ou le givre avait accompagné les coureurs du début jusqu'à la fin. ce trail-là est vraiment beau ! Avec des montées et des descentes bien senties et en primes quelques passages
très techniques. On adore, même si ça fait mal aux jambes ! De plus, les parcours avaient été modifiés par rapport aux années précédentes, ce qui a rajouté au plaisir de la découverte.
C’est dans l’opacité d’un brouillard tenace que s’est déroulé l’édition 2011 de la Ronde du Feu à Ramonville. Avec un calendrier un peu creux pour cette fin d’année, cette course faisait donc office de dernière chance pour beaucoup pour venir titiller des rêves de chrono. Avec un 10km labélisé FFA et qualificatif pour les championnats de France, autant vous dire qu’ils seront nombreux, quasiment le millier, à venir se mesurer à ce circuit réputé rapide mais pourtant pas si évident que ça. En mise en bouche de cette matinée, un 5km était aussi proposé avec quelques 220 partants, et Matthieu Laporte s’y imposera plutôt aisément chez les hommes en 15min08s, de même pour Aurélie Gauliard (19° au scratch) chez les féminines avec un chrono en dessous des 17 minutes !
aux airs de revanche, entre la prometteuse Nawal Pina et l’infatigable Houria Frechou tournera à l’avantage de cette dernière pour une vingtaine de secondes. Des airs donc de revanche de 2010 où Nawal avait battu Houria (invaincue ici depuis 2006). Cette année, elle franchiront toutes les 2 la ligne en moins de 37minutes et Houria récupérera son bien finalement délaissé l'espace d'une année. En tous cas, un circuit résolument rapide même si de l’avis de beaucoup, le léger mais long faux plat montant du 7ème km a fait serrer les dents à plus d’un. Mais, de l’avis de tous, l’organisation fut encore une fois sans faille grâce au sérieux de l’Amicale des Sapeurs Pompiers de Toulouse.
Sur le papier, c'était le grand favori de cette Transmartinique version 2011, et finalement il n'aura pas déçu, même si il a quelques fois dû un peu chercher son chemin en route... Antoine Guillon après un bel UTMB et un superbe Grand Raid de la Réunion finit donc sa trilogie inédite par une victoire sur la Transmartinique. Il aura mené les débats de bout en bout sans jamais devoir être inquiété. Tout d'abord aux côtés de Julien Navarro, puis seul, puis sous la menace d'un Christophe Lesaux, lui aussi auteur d'une saison un peu folle, il prendra définitivement la poudre d'escampette après le périlleux passage à la montagne du Vauclin. Il réussit au chrono un peu plus de 18h, ce qui est loin du record, certes, mais les conditions boueuses du parcours ont vraiment rendu la progression de tous fortement difficile. Derrière lui Julien Navarro prendra la deuxième place à Christophe Lesaux après la mi-course aussi... Mais on aura surtout noté dans la région que notre ami Vincent Rivoire, le Toulousain V2, pour son retour sur l'Ultra réussit une belle course en grignottant sans arrêt des places pour finalement terminer quatrième. C'est donc très prometteur pour la suite de sa carrière. Il a su rebondir et n'a jamais lâché prise. On se souvient de sa troisième place au Lybian Challenge, de sa victoire à la Transtica... C'est un champion qui se connait parfaitement. Bravo à lui ! Chez les féminines, c'est une véritable extraterrestre qui l'emporte. La Guyanaise Danielle Donnio met plus de six heures à sa dauphine et prend une place dans le Top 12 au scratch... Plus de 700 coureurs se sont retrouvés sur une des trois distances proposées au programme. Une belle récompense pour les organisateurs du Club Mainkou !
Vision apocalyptique ce matin aux abords de Labastide-Beauvoir, crachin, lègère brume et embouteillage à l’entrée du village. De quoi faire presque rebrousser chemin aux moins téméraires. Mais le Relais des Côteaux c’est quasiment une institution, c'est le point d’orgue d’une année riche en rencontres et en affinités créées au fil des courses effectués voir même ailleurs. Le Relais des Côteaux c'est l'assurance de conclure l’année en beauté, en toute convivialité au travers d’un relai sacrément corsé par équipe de 5. Mais pas seulement puisqu’ils seront plus de 1400 à venir franchir le pas et à faire face aux éléments : 261 équipes de cinq et donc 107 forcenés, en version solo, pour relever le défi d’un marathon. Et à l’approche du départ, tous les éléments jusque là pas franchement emballants déclareront forfait 
Matinée brumeuse et fraîche (8° C) pour le départ du Trail des Combes auquel ont pris part un peu moins de 200 coureurs sur les 3 distances. Parcours identiques aux années précédentes sauf le sens de départ et d'arrivée inversés. Beaucoup de chemins pleins de cailloux et de feuilles entrecoupés d'un peu de bitume et de monotrace. Plusieurs descentes et montées successives pour faire plaisir aux jambes. Malgré le marquage au sol, la rubalise et quelques panneaux posés la veille, les organisateurs ont été sans doute victimes de quelques mauvais plaisantins puisque vers le 3e km, au niveau d'une fourche en fond de combe sur le parcours du 18 km, le marquage récent avait été enlevé... Résultat, le leader, Sébastien Nodari, s'est fourvoyé... ce qui lui a probablement coûté la victoire ! Derrière, d'autres se sont carrément arrêtés afin d'avoir des infos. Pas cool. En revanche, pas de problèmes sur les parcours du 6 et du 13 km correctement balisés. Passons aux podiums : sur le 18 km, les Cadurciens Nicolas Goux et Cédric Vigouroux terminent en tête devant le Corrézien Sébastien Destruel qui a eu le mérite de terminer la course après une vilaine chute dès le 2e kilomètre et une entorse à la clé ! Chez les femmes, victoire sans surprise de Florence Guillauma devant la Tarnaise Lydie Ramette et la locale Valérie Galtié. Sur le 13 km, victoire sans partage de Jérôme Saillens arrivé avec plus de 3 minutes d'avance sur Patrice Cazagou et presque 5 minutes sur Pierre Pelgas. Pascale Lacoste, chez elle, remporte une belle première place chez les féminines devant les Lotoises Geneviève Nastorg et Nicole Vitrac. Enfin, sur le 6 km, deux Agenais montent sur les 2 premières marches : Thierry Merland, déjà plusieurs fois vainqueur sur cette même distance et qui, à son habitude, s'éclipse après la course aussi vite qu'il a couru... et Pascal Massou. Le Toulousain Pierre Vincent enlève la 3e place. C'est également une Agenaise, Anne-Marie Tylutki, qui remporte le 6 km devant Karine Fabre et Nathalie Blanco.
Ils furent finalement un peu plus de 1500 à s'être inscrits au cross international de Carmaux. Les conditions météos étaient idéales, sans pluie et avec une vraie fraîcheur de cross, et donc la concurrence de Blagnac le même jour, n'enlevait finalement pas tant de monde que cela... Même si... On ne reviendra pas sur tous les résultats de toutes les catégories, sinon il y faudrait un petit bouquin, mais on aura toutefois noté deux, trois choses. Sur le cross des as donc, couru sur la distance de 8100m, c'est le SATUC qui s'impose devant Balma. Courcières et Kerloch se classant juste devant Viguier et Boudet (quatre et cinquième contre six et septième). Mais devant, pas de miracle, c'est toujours Ibrahim Kiprotich qui gagne. Même si le garçon d'Alès a dû s'employer pour contenir les assauts de Rachib Boulahid. Du haut niveau donc...Dommage donc qu'il n'y avait pas les internationaux, juniors ou espoirs, de la région ! Chez les dames, et bien on retrouve avec joie une Houria Fréchou plus battante que jamais. Elle finit deuxième juste derrière la Burundaise, odelieve Nizigiyimana. En court, l'Ecla Albi avec Maël Alric et Erwen Sabatier prend les deux premières places sur les 4300m... Laurent Maurel, un des principaux maitres d'oeuvre, peut donc être content et souffler un peu....pour s'entrainer lui aussi en prévision d'objectifs de fin de saison sur 10km... Mais c'est une autre histoire !
Plus de 360 coureurs, et oui, vous ne rêvez pas, on parle bien de la Valtoulousaine 2011. Michel Miranda, organisateur-triathlète, n'en revenait toujours pas à quelques minutes de lâcher ce gros peloton dans les allées et chemins de la zone des Argoulets. "Et dire que l'on a prévu que 400 tee-shirts" lâchait-il un peu inquiet... Car on se souvient sans peine qu'en 2010, il n'y avait, si l'on peut dire que 200 coureurs au départ. la différence est notable. Pour autant l'explication vient sûrement dans une météo très favorable et surtout un calendrier allégé au possible.... Bref tout le monde était content du côté des Argoulets à l'exception de quelques coureurs qui râlaient contre le plan du parcours affiché sur le net qui n'était pas du tout similaire à celui proposé sur place. L'arrivée ne se situant tout simplement pas à l'endroit prévu... Bref aux avant-postes, en l'absence du tenant du titre, Nicolas Fernandez retenu sur un cross, pas de record en vue... Les deux potes Jérôme Amathieu et Guillaume Lacclergue se retrouvent d'entrée en tête. Ils se connaissent si bien qu'il leur est difficile de tout tenter pour la gagne. Ils finissent main dans la main. Plus surprenant c'est que c'est le même shéma pour la troisième place: Aurélien Jean et Richard Spennato n'éyant pas réussi à se départager dans la course. Le chrono des premiers est de 33'40''. Loin des 32' de l'an passé. La première féminine n'est autre que Corinne Degois venue assoir ici sa suprématie au challenge Lévy , vu que La Valtoulousain en faisait bien partie... Mais qu'on se rassure, de l'avis de tous, il n'y a pas tout à fait 10 kilomètres... 
On a l'habitude de dire que l'on est jamais mieux servi que par soi-même et bien à Blagnac l'adage est bien compris puisque dans pas mal de courses au programme du traditionnel cross de fin d'année, ce sont les sociétaires du SC Blagnac qui se sont illustrés. A commencer donc par Mickaël Chiaramonté qui a remporté aisément la course des as à 14h. Parti prudemment, le fils du directeur technique du club, encore espoir, a pris la tête après un kilomètre pour ne plus la quitter. Sur les courtes distances qui avaient lieu dans la matinée, on retrouve Aurélie Gauliard et Anthony Mouron aux premières places. Plus de 800 concurrents se sont retrouvés donc du côté d'Andromède sur un parcours spécialement tracé pour l'occasion par Ali et Yacine, deux des entraineurs du club que tout le monde connait dans le milieu. Parcours avec plein de relances, cela va sans dire !
et avec elle donc les nouveaux calendriers que vous avez découvert il y a quelque temps sur www.runningmag.fr. Mais il y a également le nouveau Challenge Lévy -La Dépêche du midi - Running Mag... Pour connaître toutes les dates et en savoir plus cliquez
La boucle du confluent, on y vient simplement, on y revient presque automatiquement. Forcément les nouveaux-venus se joignent aux habitués et donc la famille ne fait que s’agrandir. Et cette année, du coté de Portet on a affiché complet. C’est le moins qu’on puisse dire. Les dossards du 10km en fin de semaine furent une denrée très rare.
L'équipe "Clément Terme" s'impose sans problème en remportant les trois étapes. Avec des garçons comme Montjol, Olchewski ou encore Amathieu, il était difficile d'y croire vraiment pour le TACO qui termine second... Mais si cette place fut aussi acquise dès le premier relais pour eux, la bagarre fut belle jusqu'au bout pour le podium. 146 équipes de quatre éléments parviendront à aller au bout, notamment avec cette magnifique étaope trail courue à deux. Chez les féminines, Les Tortues CA ont été plus rapides que ne l'aurait laissé supposer leur nom... Elles aussi ont été en tête d'entrée de jeu... En mixtes, Le Team RTT finit dans les dix premiers au scracth et donc l'emporte. Mais comme d'habitude c'est la super ambiance qui a prédominé durant tout le dimanche qu'il faudra retenir... avec ce super repas d'aprés course et du chevreuil au menu cette année.
Il y a des courses où le niveau est un peu en deçà, et d’autres où on ne sait pourquoi mais on a la forte impression que tous les cadors se sont donnés rendez-vous. Et bien à St Loup Cammas, pour cette 16ème édition de la boucle des coteaux, ce fut un peu le cas. Puisque 5 grosses pointures, pour ne citer qu’elles, se sont mélées au reste de la foule des 260 partants de ce 10,5km bien accidenté, pour le plus grand plaisir des compétiteurs et des spectateurs.
Ciel bleu, grand beau temps pour le 10km de la Méridienne ou pas moins de 531 participants se sont retrouvés pour disputer cette classique dans des conditions on ne peut plus favorables. Quasiment à domicile l'UA Stado Tarbes a fait parler la poudre avec l'incontournable Nicolas Capoferri qui s'impose en 32min23s devant Mathieu Bertos (en33min18s), tout deux donc du même club. Eric Larripa n'est pas si loin que ça de s'insérer entre les 2, mais il lui manquera 4 secondes et se contentera d'une néanmoins élogieuse 3ème place. Ce n'est déjà pas si mal vu le niveau de ceux qui l'ont devancé. 
Finalement ce 10km de Lamothe Capdeville, disputé dans des conditions météos un peu moroses (c'est le moins que l'on puisse dire), n'a pas attiré les foules. Quelques dizaines d'inscrits seulement. Mais on a pu assister à une belle empoignade entre les gars du Team 12 et le reste du monde... S'il l'on peut résumer la course ainsi. Jean-Christophe Batut, sur sa distance de prédilection, réussit même à s'immiscer entre le Polonais du jour, Tomasz Wojcik qui s'impose et Will Kouwenhoven, le Holla qui finit troisième donc... Christope Soulié, également du Team 12, finit quant à lui quatrième. Merci à Bill pour la photo du podium.
Cela aurait dû être la grande fête de la course à pied, du côté de Seysses, comme c'est le cas tous les ans depuis maintenant 25 années, et bien la météo en aura décidé autrement. La pluie devait bien arriver un jour, diront certains, et bien ce fut donc ce dimanche 6 novembre. Il a plu sans arrêt du départ à l'arrivée et ceci aussi bien sur le 10 que sur le 20km.... Bref il a plu avant que les coureurs arrivent et il pleuvait encore bien après que tout soit terminé sur la petite place de l'église de Seysses, là où Christian Reina remettait les prix sous le podium de la Dépêche du Midi... Mais tout de même, parce que sûrement l'épreuve est organisée pour une bonne cause, tous les ans un chèque est remis aux Médecins du Monde et à la Ligue contre le Cancer, les coureurs ne se sont pas tous défilés... On aura noté presque 850 partants sur le 10km contre 300 sur le 20km, une cinquantaine de jeunes sur le 3km (et moins jeunes d'ailleurs!) et une poignée de marcheurs. On est loin du beau score de l'an passé, mais bon... il fait faire avec. Côté performance, Guillaume Lacclergue, de retour donc sur bitume, réussit à se défaire de Nicolas Miquel après le cinquième kilomètre et remporte donc la mise sur 10km mais en 35' tout de même. Jean-Jacques Rives qui avait suivi cela de loin, faisait lui les deux tours du parcours et donc ne sera guère inquiété sur cette longue distance qu'il boucle en 1h12'... Aurélien Jean est derrière à plus de 3'. Chez les féminines, Hélène Charrier, du CA Balma, après sa belle victoire à Castanet l'emporte sur le 20km et Agnés Francastel, la championne de trail, descend sous les 40' sur le 10km. Intouchable donc ! Reste à espérer qu'il fasse meilleur en 2012 car cette fois, même les bénévoles semblent avoir souffert !
Premier cross de la saison et des conditions météos idéales pour l'occasion. Un peu de boue, de la pluie, des glissades, on n'en demandé pas tant. Mais bon les crossmen ne sont pas gens à se plaindre donc le cross Jean Vidal a réuni plus de 500 concurrents toutes distances confondues... il y avait les cross de Saint-Gaudens et Gourdon le même jour. Cela a dû enlever surement quelques éléments. Mais autant le dire tout de suite, les meilleurs étaient dans le Tarn. Sur le cross des as, avec près de 8km au menu, c'est la star régional, tout juste recruté par le SC Blagnac qui a fait fort. 
Djilali Bedrani, champion de France l'an passé, encore junior s'impose. Mais il a eu fort à faire face à Julien Detre. Le sociétaure de l'Ecla Albi a fait mieux que de la résistance. Ils finissent quasi au sprint tous les deux. Et il est aussi junior. Mathieu Lonjou du Satuc complète le podium. Et on aura noté le beau tir groupé du club toulousain : Yannick Kerloch, cinquième, Hadjame, sixième. Seul Gaetan Cals de Balma parvient à s'intercaler. Chez les féminines, Anne Lonjou reste la reine !
Un temps magnifique, un parcours revisité pour le plaisir de courir dans la nature sous ses beaux habits d’automne, une participation plutôt moyenne et la victoire de l’enfant du pays Benjamin Bellamy, voilà tout ce que l'on retiendra de cette Course des Courbières version 2011. Benjamin n'a pas eu à forcer son talent évidemment face aux Marcaillou ou autres Dacunha, habitués eux à cette épreuve vers Tarascon... Benjamin en tout cas nousa bien montré que tout allait très bien en ce début de saison hivernale, il est en effet en pleine préparation des cross qui débutent dans quelques jours...
Gros succès cette année du Trail des Hospitaliers et en plus cette fois avec le soleil. Hier ils étaient plus de 400 à avoir choisi le Trail de Dourbies, ses 29km et ses 1300m de D+, aujourd'hui ils furent encore un peu plus nombreux à tenter le 75km. Sur la courte distance, on aura noté la superbe performance de Bastien Gachet qui met 2h41' pour faire la boucle et qui, surtout a bien résisté au retour de Maxime Durand en personne. Pointé à 10' du vainqueur à 5km du finish, il revient dans la dernière descente à 4'. Sur le long, Adrien Séguret prend donc sa revanche sur 2010 où il avait fini deuxième derrière l'intouchable Julien Jorro. C'est donc bien Monsieur Hospitaliers, il met 8h05' sur la distance. Vingt minutes de mieux que l'an passé et surtout relègue son dauphin du jour, Rémy Marcel à près de 40'...
valeurs sûres au niveau régional. Guillaume décroche après le 5ème et Thomas tiendra jusqu'au 16ème environ. Les écarts sont conséquents. Derrière Rémy Jégard accompagné de Nicolas Bériot réussit à revenir sur Guillaume. Il ne reste plus que quatre kilomètres, Rémy se détache pour monter sur le podium... Florence Guillauma, n'avait quant à elle, guère de concurrence pour l'emporter nettement. Le championne de 100km a fait un bel entrainement. Sur le court, Xavier Sanchez fait office de grand favori. Lui aussi sera l'invité de dernière minute. Il fait quelques kilos en compagnie de Nicolas Miquel... Mais ce dernier sort tout de même d'un marathon plutôt bien réussi (2h45')... Il laisse filer l'Espagnol volant qui nous rappelle qu'il avait fini deuxième au sprint à Auterive encore lors de la traditionnelle corrida de début d'année.... Bref les organisateurs, Benoît Sentost, en tête, étaient râvis d'accueillir autant de monde pour une première. Il a mobilisé plus de 70 bénévoles pour l'occasion. L'an prochain , le Trail fera partie du challenge Lévy- Dépêche-Running Mag mais aussi du challenge du Sud-Ouest. Des records vont tomber, c'est sûr !
Toutes les conditions étaient réunies pour que ce 10ème anniversaire du trail du bourret et de la colombelle reste dans toutes les mémoires. Cette année même la météo avait revêtu sa tenue légère avec des conditions digne d’un été indien comparé aux conditions dantesques de l’année dernière qui avaient paralysé la France sans compter la grève des pétroliers. Cette fois-ci, rien de cela mais c’était sans compter sur nos irréductibles gaulois du xv qui, aux antipodes, nous gratifiaient d’une finale inespérée. Christian Aimond, le chef d’orchestre de l’organisation, responsable de l’association Oxygène 32, en restait un peu pantois. Pourtant l’ambiance était là et c’est tout de même 350 coureurs qui s’alignaient sur les deux distances. Dés 6h du matin, le branle-bas de combat est lancé dans la salle prêté pour l’occasion par l’hippodrome d’Auch.... Nawal Pinna et Hugues Ancellin rajoutent leur nom à la liste de la courte distance tandis que Jean François Lahet aura emporté une superbe victoire dans son escarcelle dominant Xavier Geay qui aura pris sa revanche sur l’année dernière gravissant un strapontin en prenant la deuxième place devant Henryk Sobinski. Chez les féminines, Brigitte Djelaoui l’emporte devant Véronique Douat et France May Gaillard...
Le Marathon du Grand Toulouse a le vent en poupe. C'est le moins que l'on puisse dire ! Pour sa cinquième édition .jpg)
de la Garonne va perturber quelque peu la donne. 
Ils sont 
On annonçait un peu partout Thomas Saint-Girons pour une passe de trois possible sur un parcours qu'il connait forcément très bien. Et bien finalement ce dernier ne prendra que la troisième place, ce qui n'est déjà pas si mal, convenons-en... Mais il reste tout de même très loin du vainqueur du jour, Xavier Thevenard. Le Jurassien s'impose en 10h58' et a fait le trou d'entrée pour faire une course seul devant tous les autres. Sans jamais être inquiété. Sylvain Couchaud est bon deuxième. 700 concurrents ont pris le départ vendredi matin à 4h dans un froid hivernal pour un parcours de 106km et 4700m de D+.... On notera que le Toulousain Loïc Argouarch finit dix-neuvième...
Le week‐end dernier, c’est une délégation balmanaise 100% féminine qui s’est rendue en région parisienne pour disputer la Coupe de France des spécialités.Quatre équipes du CA Balma s’étaient qualifiées pour ce rendez‐vous hexagonal.
Pechabou est au Run&Bike ce que Monza est à la F1 ou plutôt, dirons nous, ce que Verfeil est au trail (celui du Cassoulet forcément) … car ce petit village à proximité immédiate de Toulouse est tout simplement devenu une référence dans le domaine de cette discipline conviviale et populaire avec une formule toujours aussi fun (le vélo peut être transmis comme bon vous semble). Et pour cette 8ème édition, on peut dire que le niveau était très relévé avec pratiquement tous les vainqueurs des 5 dernières années ou du moins un des 2 équipiers étaient présents, avec pour le coup pas mal d’équipes recomposées. Mais le niveau était vraiment au rendez-vous. Et la grosse écurie Viguier / Bellamy n’a pas déçu, leurs foulées impressionnantes ont surclassé presque d’entrée les autres équipes avec un chrono canon de 1h10minutes et des poussières sur ce parcours de 20km700 (qui n'en manquait pas ... de poussière), circuit à la fois technique, ludique et physique. Derrière la bagarre fut belle et l’équipe Miquel / Rivals va prendre le meilleur dans les derniers kilomètres sur le duo de choc Lureau / Fétaud. En mixte le couple Malabre / Soubrier s’impose pour la 4ème fois ici et l’ ‘équipe féminime Kunakey / Ferre conserve son titre. Beaucoup de sourire à l’arrivée, de la bière à volonté et un apéro bien complet. Mais aussi la course des touts petits pour le plus grands plaisirs des parents qui ont aussi participé à leur course juste avant. Remise des récompenses et tombola pour cloturer tout ça … Pas besoin d’en rajouter pour vous faire comprendre que cette 8ème édition du Run&Bike fut une nouvelle fois une réussite.
la jeune Iris Ferreira, elle aussi licenciée au SATUC, vainc, établissant aussi son record personnel, 38’25, en laissant derrière elle la favorite Nawal Pinna. Il a fait beau, jolie lumière sur un stade de rugby cher à la ville de Toulouse. Avec des conditions météo idéales, un cheminement plat, les 330 participants de l’épreuve se sont surtout fait plaisir…. La semaine prochaine, ce sera donc le marathon, mais aussi la grande finale de coupe du monde de rugby…. Allez Toulouse, allez les bleus ! 
Après la fraîcheur d'une matinée automnale, plein soleil sur le moulin de Boisse où s'étaient donnés rendez-vous plus de 130 coureurs pour cette 15e édition des Moulinades. Parcours de 13,2 km identique à 2010, à savoir une longue descente après 1,5 km de plat, puis la remontée sur Ste-Alauzie et au-delà sur le plateau blanc "lunaire", caractéristique du paysage du Quercy Blanc sur un chemin de castine avant de retrouver la route initiale et le moulin.
Parmi tous les régionaux dont nous vous parlons depuis le début de cette 19ème édition du Grand Raid de la Réunion qui se terminera officiellement dimanche à 18h, quelques uns ont su tirer leur épingle du jeu et se sont placés plus qu'honorablement. Ils ont marqué l'histoire et reviennent en métropole avec les honneurs et le feu des projecteurs, à défaut de quelques courbatures et autres ampoules. Il s'agit tout d'abord d'Emmanuelle Brothier-Mouret. Celle qui avait emporté le challenge des trails du Sud-Ouest, il y a quelques années, prend une belle neuvième place chez les féminines et unr troisième en senior femmes. C'est le meilleur résultat régional cette année. Ensuite Patrick Délikat, notre ami du 82, finit finalement 41ème en 33h20' après une course toute en prudence et gestion. Chapeau. Juste derrière lui Michel Renaud prend une superbe 55ème place en 34h12'. Il était même classé dans le Top 30 pendant un moment, mais signe une course magnifique. Et Bruno Bareilles me direz-vous? Et bien le Pyrénéen, longtemps classé 10ème, même 9ème à un moment donné, a finalement jeté l'éponge à la Possession. A moins de 20km de l'arrivée... On notera aussi que Emmanuelle et Renaud sont du Portet Athlétic Club et que deux autres membres du club, Joêl Lamoulie et Eric Amar sont parvenus au bout de leur périple. Barvo ! Parmi les abandons, pour diverses raisons, on notera aussi celui de Rémy Jégard au Volcan et d'Alain Basty à Mare à Boue. Mais la course n'est pas encore finie et beaucoup vont souffrir maintenant de la chaleur après le froid et surtout la boue de la première partie de route... Julien Chorier et Karine Herry, eux, remportent la course et doublent chacun la mise. Julien après sa victoire en 2009 et Karine après celle de 2006.
Belle journée ensoleillée sur Castanet, ville départ de la 3ème édition du Raid Absolu où un peu plus de 100 équipes sont venues arpenter les ruelles puis les coteaux environnants (en VTT et en trail). Mais tout d’abord c’est une CO, entendez là une course d’orientation, courte et ludique qui lance les débats en plein centre ville de Castanet … et finalement l’équipe Viguier / Laclergue (Ca Balma) va tirer son épingle du jeu et prendre quasiment les rennes de la course … mais cela fut sans compter sur les expérimentés Maire / Lecorre (Raid Nature 46 / ABS) qui au fur et à mesure des sections VTT et trail combleront leur avance pour finalement s’envoler lors du dernier VTT, là où d’autres équipes commenceront à bien fatiguer. Ils bouclent le parcours de 52km au total en moins de 3h30. Ce sera donc la finalité du podium qui se jouera quasiment dans un mouchard de poche … mais le team du CA Balma ralliera bien l’arrivée en 2ème position juste devant le duo Miquel / Voyeux qui réussira à bien remonter et finir sur le podium dans les derniers km au dépend de l’équipe Ancellin (INP). L'ensemble des concurrents arriveront sains et saufs (pour ceux qui pourraient encore en douter) de ce raid qui se voulait avant tout "tout public" cloturé par une succulente paëlla et la remise des prix.
Près de 400 coureurs se sont donc donnés rendez-vous dimanche matin à la Balade de la Saune. 21ème édition. Et avec eux pas loin de deux cents cinquante enfants répartis sur deux courses disctinctes (un gros contingent venant du CA Balma qui reste toujours très proche de l'association Courir à Fonsegrives, en vrai bon voisin !) Bref on peut à nouveau parler de record sur une course ou en tout cas pas loin... Car c'était quasi le nombre affiché il y a deux ans sur l'épreuve et l'an dernier seule la pluie, incessante, avait perturbé le bon déroulement du 20ème anniversaire. Cette fois avec Alain Mialon de Quint Fonsegrives aux commandes, tout s'est déroulé donc comme sur des roulettes. A ceci près qu'une petite panne de micro venait déranger la remise des prix ou du moins la rendre plus conviviale... Tout le monde restant dans les parages à ce moment pour essayer de gagner un des nombreux lots offert au tirage au sort (VTT, appareils photos...). Côté compétition, c'est un triathlète, qui, une fois n'est pas coutume, a fait la loi. Il s'agit de David Alexandre Cabard.
L'homme n'est pas inconnu dans le coin puisqu'on l'a déjà vu à Mons notamment ce printemps. Mais il n'a jamais été aussi affûté, lui qui s'est installé sur Toulouse depuis huit mois maintenant et qui nous vient d'Aix... Il est le seul à descendre sous les 35' (34'57'') et impressionne son monde donc sur un parcours pas facile avec deux fois la "bosse" à se farcir et des appuis toujours litigieux sur le chemin qui borde la Saune. Il devance Régis Bertrand, le récent deuxième du marathon de Millau, qui lui ne voulait rater le rendez-vous de son coin sous aucun prétexte. Il avait gagné le 5km l'an passé, là il fait donc deuxième... La première féminine s'appelle Karine Moreau, elle aussi triathlète. Le premier vétéran 2 n'est autre que notre ami Philippe Grillet. Sur la courte distance, c'est un "vieux lion" qui va faire la différence et de belle manière. Georges Amorin est parti bille en tête et il va mettre d'entrée cent mètres à tout le peloton. Il résistera ainsi au retour d'un petit groupe de chasse. Frédéric Barthélémy est juste derrière et dans sa foulée Jean Aurélien. Ce fut chaud. Et avec du suspense donc. Nathalie Mathie Claverie qui vient de gagner le trail du Cassoulet (14km) écrit donc son nom au palmarès de la course. 
Pour ce qui est du Trail de la vallée du Célé qui a regroupé dans les 150 concurrents sur trois distances, on peut que vous conseiller d'aller sur l'excellent forum de "Course et Causse toujours" en cliquant 
Une course nature qui a ravi l'ensemble des participants, de part la beauté des sites traversés offerts dans la très belle vallée du Célé, ses falaises, éperons rocheux et petits villages aux maisons troglodytes… 
Qui n'a jamais entendu parler de la Ronde du Foie Gras de Mauvezin? On y vient de partout en France et les inscriptions sont complètes plusieurs mois à l'avance. Cette année encore ils étaient presqu'un millieur à se presser sur les sentiers et chemins tout autour du petit village de Mauvezin dans le Gers... Un millier par équipes de deux, avec toujours un coureur et un vététiste pour se relayer, ou alors en inviduels pour toujours la même boucle de 25 kilomètres à couvrir. Et la même constance depuis des années et
des années : les ravitaillements se font dans les fermes traversées et qui jouent bien le jeu en proposant du foie gras à déguster sur des toasts et de floch de Gascogne à foison. Bref une épreuve bien festive. On comprend mieux pourquoi le succès ne se dément pas depuis tant d'années. Un petit bloc de foie gras à chaque inscrit et pour les plus chanceux un repas sous les arcades, en plein dans le marché local, avec plein de produits régionaux qui sentent bon le terroir. On vous dit que ça ! Et en plus il a fait soleil cette année !!
C’est quasiment une tradition mais en Midi-Pyrénées en général la saison se termine à Montberon pour le désormais très populaire duathlon de Montebron organisé par l'équipe du Girou Triathlon. Avec un joli enchainement de parcours légèrement vallonnés, que ce soit en course à pied ou en vélo. Et finalement sur ce circuit "joueur" c'est Gaetan Fétaud (vice champion de France de duathlon des moins de 23ans) qui s’impose, il prend la tête dès le 1er parcours de course à pied (5,5km), Il sera rejoint un peu plus tard sur le parcours vélo de 21km par Jérome Save 
Ils étaient finalement un peu plus de 1500 concurrents à se presser du côté de Tournfeuille pour cette nouvelle édition des courses de Tournfeuille. C'est grosso modo le même nombre que l'an passé, mais la concurrence, on le répère bien assez, était rude avec la veille au soir l'Ekiden d'Albi et le matin même le Trail du Cassoulet. Aussi en l'absence de Nicolas Fernandez, retenu donc du côté du semi de Carcassonne où il finira quatrième en 1h08', c'est finalement Frédéric Lureau qui avait fini deuxième au semi de Toulouse quinze jours plus tôt qui s'impose en 1h12'53''. Soit sensiblement le même chrono qu'avant. Il devance Alan Manchado de plus d'une minute. Les conditions météos étaient très bonnes mais un peu chaudes de l'avis de tous.
Et Houria Fréchou qui avait gagné aussi au semi de Toulouse remet le couvert en 1h21'. Sur le dix kilomètres, c'est aussi un gars du Team 12 qui s'impose. Damien Bévénot était bien au-dessus du lot, lui a hésité jusqu'au bout entre le Cassoulet et Tournefeuille. Il aura finalement fait le bon choix et l'emporte en 32'19'', soit une minute de mieux que Nicolas Ansiaux. La première féminine n'est autre que Marie Long et le premier vétéran Antonio Dos Santos. Les organisateurs de l'Athlé 632 étaient en tout cas tout heureux d'une nouvelle organisation sans faille. Le deuxième volet de la préparation marathon est donc tourné... 
Au Trail du Cassoulet, on y vient de toute la France. C'est bien connu. Il y a des coins comme Bouliac ou Nieul où ils sont venus même par bus entier. C'était impressionnant à voir du côté de la ligne de départ vers 9h pour le 33km et relais et vers 9h30 pour le 14,5 km... Mais il y a aussi beaucoup d'habitués qui font le déplacement. Ainsi une grande partie du Team Running - Olivan avait fait le déplacement. Et Robert Roussez partenaire privilégié de cette épreuve depuis le tout début montait sur le podium pour remettre quelques récompenses. Evidemment c'est l'ambiance d'après-course qui retenait surtout l'attention avec un succulent cassoulet Spanghéro, bien poivré cette fois, au son des bandas qui ont mis le feu après s'être eux-mêmes rassasiés. Côté résultats, on retiendra surtout que la difficulté du jour est venue de la chaleur assez pesante, ainsi bien sûr, mais cela on le savait déjà des successions de montées et descentes, bien crevantes ! Voire plus. Sur le court, c'est finalement le jeune Guillaume Girma qui aura raison du duathlète Gaétan Fetaud. Cela s'est joué dans la dernière grosse montée, mais le poids plume a donc fait la différence. Guillaume avait déjà gagné quelques courses aussi dures cette saison. Nathalie Mathie Claverie sera impériale chez les féminines. Sur le long, une nouvelle fois, la bataille fut de toute beauté entre Sébastien Perrier et Xavier Geay, toujours sur le podium au Cassoulet. Le dernier cité s'en ira lui aussi chercher sa victoire dans les derniers hectomètres. Magali Alquier a été la plus rapide. Sur le relais, la paire Miquel-Jégard était intouchable. Déjà victorieuse au relais du Montcalm, elle remet donc le couvert. Et garde dix minutes d'avance sur les deuxièmes. Les gars de Bouliac qui terminent d'ailleurs deux et troisièmes. En mixte, on aura noté la belle performance du couple Karine Malabre et Patrick Soubrier...
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Bref on reste ensuite pour faire la fête et se restaurer. Tous les restos et bars du coin jouent le jeu et font le plein... Les coureurs viennent de partout en France. Et les organisateurs, Philippe Aubert et Francis Bec, n'en reviennent toujours pas... Côté compétition, là aussi on a eu une belle cuvée. Il est vrai que les conditions météos étaient particulièrement bonnes. En tout cas la formation de Sport 2000 Séquestre, les gars de l'Ecla Albi , n'ont pas fait dans le détail. Ils pêtent un super 2h19'. Du haut niveau autant dire ! Derrière on se battra surtout pour la deuxième place. Et La Primaube gardera quelques secondes sur le fil, s'adjugeant du même le titre régional de la spécialité. Et prenant une belle qualification pour les Frances. Tout comme d'ailleurs les gars de Carmaux qui finissent donc troisième. Chez les féminines, c'est aussi Carmaux qui gagne devant Caussade et on notera la belle victoire entreprises de Running Olivan (4°) ... qui finit au sprint quasiment devant le Stade Rodez (5°) ...
Qui aurait cru que le relais des amis de Bouscairol à Frouzins accueillerait autant de monde? Personne assurément. Car avec la concurrence de Verfeil, trail du Cassoulet, et Tournefeuille, dix et semi, et donc plus de 3000 coureurs du département déjà pris, cela semblait mal engagé... Et bien le beau soleil aura tout de même faire sortir dans le département de la Haute-Garonne, encore 250 autres coureurs. Une soixantaine d'équipes de 3 pour un total de 18km, une vingtaine d'indivuels et le reste en enfants... On retiendra donc que Jérémy Belkacem gagne sur le 3km et qu'en individuels, Michel Fogelgeseng s'impose en 1h19'. Mais les plus forts du matin étaient bien le TACO d'Aucanville composé cette fois de Stéphane Rodembourg, Patrick Lacomme (voir photo) et Bruno Teattini. Eux réalisent 1h05. Ils mettent trente secondes à leurs poursuivants, les US Cube !
Plus de 150 coureurs s'étaient donc donnés rendez-vous du côté d'Aussillon dans le Tarn pour un onze kilomètres cher à Claude Senegas, au four et au moulin donc... Le parcours à moitié en chemin et sur bitume n'était pas des plus faciles. Loin s'en faut. Pourtant avec une météo quasi estivale, les coureurs n'ont donc pas boudé le rendez-vous traditionnel. Et on a pu assister pour la victoire finale à un vrai choc des générations puisque Kader Mamou, le vainqueur, vétéran donc, a dû se méfier du retour du jeune espoir, Jérémy Enjalby. Bien sûr l'écart était évident entre les deux au final, plus de trente secondes. Mais l'écart d'âge est aussi bien là. Presque du simple au double. Le quatrième, Pascal Gonthier est aussi le premier vétéran 2. Chapeau. Et la première féminine n'est autre que Marlène Privé Mosso, habituée des podiums dans le coin.
Ce sont deux des hommes forts du moment dans le coin. Nicolas Miquel, que l'on connait donc très bien à Running Mag et qui court sous les couleurs du Team Running - Olivan avait choisi pour la circonstance la distance de 10,6 km sur les deux proposées ce matin-là. Il est parti, comme à son habitude, assez vite et finalement il n'y aura que Thomas Moreau qui pourra refaire la jonction.... vers le 9ème kilomètre. Bref Nicolas remporte une nouvelle victoire dans cette saison. On ne le compte plus désormais. Il doit être à neuf ou dix. Thomas, l'autre homme fort du jour, avait deux tours lui à accomplir. On l'avait quitté à Castanet où il revenait tout juste à la compétition après une blessure longue à guérir. Et il nous avait expliqué alors qu'il hésitait vraiment à se lancer sur cette difficile épreuve de Pechbusque. Tant les descentes lui faisaient peur... "Promis, si je viens, ce ne sera que sur le court !" Mais Thomas, tenant du titre sur le semi avec un chrono canon de 1h20' a donc remis ça. Il se retrouve donc tout seul dans le deuxième tour et n'a plus qu'à gérer si l'on peut dire. Car derrière lui, un homme est vraiment très affûté aussi. Il s'agit d'Aurélien Jean. Il prépare le marathon de Montpellier dans quinze jours. Il est parti plus prudemment. D'abord cinquième, avant de lâcher son compagnon russe, puis troisième donc et il revient dans les derniers kilomètres, piquer la deuxième place à Stéphane Ginestet. Même Thomas finalement n'était plus si loin sur la fin. Il met 1h24' donc un peu plus que l'an passé. Il est vrai aussi qu'il y faisait plus chaud. Myriam Masson s'impose à nouveau sur le semi et Christiane Jeannin gagne sur le court. Mais bon dieu qu'il est dur ce parcours de Pechbusque...et si vous en doutez encore, vous pouvez retrouvez 
Ce n’est donc pas une surprise, puisque cela était annoncé déjà depuis des semaines, mais plus de 600 concurrents ont débarqué à la Ramée en ce premier weekend d’automne … oui oui nous étions bien en automne aujourd’hui. Mais n’en parlez pas autour de vous puisqu’on pourrait vous rire au nez. Soleil et chaleur tout au long de la journée. Et les triathlètes ne vont donc pas se faire prier pour s’élancer dans le vif du sujet avec comme d’habitude la natation en entrée, le vélo en hors d’oeuvre et la CàP en dessert. 
On vous l'annonçait dernièrement sur le site, la course de Castelmaurou sous l'impulsion de Denis Delagnes, faisait donc peau neuve cette année. Nouveau parcours et nouveau concept donc pour un relais de trois fois six kilomètres, valonnés à souhaits et empruntant aussi quelques passages en sous-bois assez intéressants... Une trentaine d'équipes avait répondu présents pour cette "première". On aurait pu espérer un peu plus, mais bon le week-end était de nouveau chargé... Finalement c'est la formation du Team 12, composée de deux coureurs seulement, Gaetan Fetaud et Slimane Benyacoub (et oui on pouvait doubler les relais) qui l'a emporté sans souci. Derrière les intouchables du jour, c'était plus serré. Les Grilletout auront été talonnés un moment par la première équipe mixte, les Running-Olivan. Jérôme Amathieu a fait parler la poudre. Il était entouré de Patrick Soubrier et de Karine Malabre. Mais finalement la formation de l'Astarac montera sur le podium. L'autre équipe Running-Olivan, elle, finit cinquième après un magnifique sprint face au jeune de l'ASEAT. Bref une belle petite matinée du côté de Castelmaurou. Pour conclure, voici le petit bilan de l'organisateur, Denis : "le stress ce matin car à 45 minutes du départ....8 relais inscrits et puis finalement 27 relais au total + 45 enfants. Un temps magnifique et un retour des coureurs bien positif sur la qualité du parcours bien sécurisé et très apprécié pour ses aspects vallonné (une bonne alternance entre temps d'effort et temps de récupération) et vert (passage en forêt). J'étais ce matin plus en salle à la préparation du podium et ravitaillement. Ce sont mes collègues Joël Lalanne et Sébastien Harouat qui ont beaucoup bossé. Ils étaient au chrono et à l'organisation terrain et je tenais à les remercier ici."
Le Club Alpin Français de Tour de Faure, avec à se tête son président Dominique Gardes, était un peu déçu du manque d'affluence sur leur épreuve. Il enregistrait une baisse de 25% d'effectif. Dommage donc pour les organisateurs avec une dizaine de coureurs sur le 5,5km, 18 coureurs sur le 10,4km et une quarantaine sur l'épreuve reine de 14km comptant pour le challenge des Courses du Lot - La Dépêche du Midi. Sur le 10,4km, victoire de Thierry Brel en 43mn. Sur le 14km, victoire de Christophe de Barros suivi de près par Jérôme Saillens. Ce dernier qui avait gagné le dix l'an passé, a longtemps hésité avant le départ entre les deux distances... Pourtant l'accueil sur place était vraiment génial avec un ravitaillement de folie, plusieurs pains d'épice à tester, et aussi un punch sans alcool, très apprécié par cette chaleur... 
Décidément le semi de Toulouse n'est pas béni des Dieux. Et je ne parle pas ici de la météo qui était plutôt maussade pour la première fois en ce mois de septembre, et idéale donc pour la pratique de la course à pied, mais d'un nouveau souci cardiaque survenu sur le 21km donc à hauteur du 15ème kilomètre. Un jeune homme (Olivier âgé de 22 ans...) se trouve mal. Une coureuse-médecin essaye de la ranimer. Premiers massages cardiaques. Les secours arriveront quelques minutes après... Les organisateurs étaient encore sous le choc pour la remise des prix qui aura lieu cette année dans le grand hall où les dossards avaient été distribués... On peut que se remémorer le décés d'un autre coureur sur la même épreuve quelques années auparavant. Sur la piste même cette fois. A quelques encablures de l'arrrivée. On ne s'étendra donc pas ici, de peur de dire des choses inexactes... Côté compétition, le semi a donc battu son record de participants, sur cette nouvelle zone autour du TOAC en tout cas. Près de 1700 concurrents répartis sur les deux distances. 600 en gros sur le dix et.jpg)
le reste sur le semi. Nicolas Fernandez n'a pas eu à forcer son talent. Sous les couleurs d'I-Run, il l'emporte donc en 1h08'38'' (temps corrigé ensuite car il sera mal orienté à un carrefour et perdra une centaine de mètres). Il n'est pas donc loin de sa marque de l'an passé, à la bagarre on s'en souvient avec un Burundais et un beau 1h07'44'' au compteur. Derrière Fred Lureau termine en 1h12'55' et Elie Lesueur est juste un peu plus loin. Chez les féminines, on retrouvait avec joie Houria Fréchou qui avouait avoir eu de bonnes sensations après quelques mois difficiles. Elle signe un beau 1h22'25''. Sur le dix kilomètres; Damien Boudet a pris sa revanche sur l'an passé où il se faisait battre au sprint. Cette fois c'est lui qui lance l'emballage final face à Christophe Cabannes. Il termine en 32'10''. Et c'est une Anglaise venue en vacances dans le coin, Danielle Hodkinson, qui l'emporte dans un temps canon de 35'39. Ouf ! On aura également noté que les départs ont été donnés par Michel Jazy en personne, parrain de l'épreuve depuis le tout début, grand ami de Régis Cros, l'instigateur du semi, il y a 31 ans de cela donc... Une nouvelle fois l'équipe du TOAC, autour de son pilier Jacky Puech, a su nous proposer une course bien ficelée... Mais bien sûr tout cela n'est rien évidemment face... à tout le reste beaucoup plus dramatique !
Dimanche frais, limite pluvieux … pourtant ils seront nombreux du coté de Labège à se sentir courageux … et surtout prêt à en découdre avec le triathlon concocté par la communauté du Sud Triathlon Performance. Une journée donc riche en effort, version triple sensation.
C’est dimanche dernier qu’ont eu lieu à Birac, les traditionnelles foulées organisées par le Club Athlétic Biracais. .jpg)
La quatrième édition de la ronde des Vualas s'est déroulée sous un soleil radieux ce week end et a réuni sur les trois parcours, le trail, la randonnée familiale et le parcours enfants environ 150 participants.Le nouveau format pour le trail avec un départ du village de Beaucens dans la cour même du donjon des aigles et une arrivée à la station du Hautacam en passant par la superbe crête du Pic de Nerbiou a ravi l'ensemble des coureurs.Pour la randonnée le parcours offrait un panorama splendide aussi sur le lac d'Isaby et le pic de Barran.L'animation de fin de course a eu lieu au restaurant de la station et a regroupé l'ensemble des participants pour une gigantesque pasta partie animée par la chorale de Beaucens Ets cagnots qui chanta son répertoire de chants Pyrénéens. Le trail fut remporté par le champion de France espoir Fabien Nabias chez les Hommes et Sandrine Darré chez les femmes.
Comme chaque année, l’ACP s’est impliquée ce dimanche aux côtés de l’association ELFE qui vient en aide à Fabrice, un petit garçon de Mirepoix atteint de leucodystrophie. Toute la journée une foule d’animations ont attiré beaucoup de monde pour la bonne cause et l'ACP s’est occupé de l’organisation des courses et de la marche du matin. L’énergie sans faille que déploie depuis sept ans Edith Ruiz la présidente d’Elfe et toute son équipe est en train de payer car Fabrice est maintenant aux Etats-Unis où il va pouvoir être soigné. Côté sportif, après la marche débutée à 09h00, deux courses étaient au programme à 10h30, un 8km et un 15km. 111 participants en tout dont 17 de l’ACP (en plus bien sûr de tous les bénévoles indispensables à l’organisation). On a retrouvé avec plaisir Thierry et Philippe nos « Ultras » et aussi Carlos et Christophe qui reprennent bien après leurs bobos. Il y a eu des podiums et de belles prestations de l'ACP, la brillante victoire de Christophe Marcaillou (CGA) sur le 15km, de nombreux participants venus d’Arles et surtout le plaisir de passer un bon moment tout en aidant une association. Une autre bonne cause à aider, les Virades de l’Espoir (lutte contre la mucoviscidose) le 25 septembre à Pamiers organisées par le club. Tous les renseignements sur le site de l'AC Pamiers... (www.acpamiers.com)
Ce sont près de 220 coureurs qui se sont élancés à 10h sur le parking d'Intermarché de Castanet sous un beau soleil estival. Il faisait en effet chaut et lourd même à cette heure en ce dimanche 11 septembre. Christian Reina, animateur et organisateur, était tout heureux de ce beau petit peloton pour sa deuxième édition de la Boucle. Le parcours amenait tout ce monde sur le bord du canal avec au programme donc dix kilomètres mélangeant chemin et bitume et quelques petits "coups de cul" pas évidents à négocier. La preuve en est le chrono du grand vainqueur du jour, Thomas Moreau qui revient donc à la compétition après quatre mois d'arrêt suite à une blessure. Il réalise 36'11'', contenant bien le retour de Youri Lesnikov, et du coup, doublant la mise sur cette épreuve qu'il affectionne donc tout particulièrement. Jean-Michel Lopez complète le podium. Chez les féminines, beaucoup avait misé sur Nadine Vial. Et finalement c'est une autre vétérane mais 1 cette fois, Hélène Charrier qui s'impose en 45'. Nadine est troisième, juste derrière Marie-Anne Delvingt... On notera qu'au tirage au sort un VTT était à gagner, entre autres et qu'une course d'enfants était également proposée...
Jérôme Amathieu est un tout neuf habitant d'Eaunes. Et il lui tenait à coeur de participer au Trail du Bois en ce début du mois de septembre. C'est même un rendez-vous que le sociétaire du Team Running Olivan avait noté sur son calepin depuis belle lurette. Aussi il était le grand favori et il n'a pas déçu. Il est parti d'entrée sur les 15 km d'un parcours très "trial". Entendez par là avec plein de petites bosses, jamais longues, mais sans guère de moment de récupération. Il faut sans cesse relancer. 15km aussi plutôt ombragé et avec que du monotrace du début à la fin. Tout pur plaire aux traileurs donc. Et ils furent presque 400 à répondre aux invitations de Brigitte et Guy qui ont tout fait pour que cette épreuve prenne de l'ampleur. Une centaine de marcheurs était aussi de la partie. Jérôme ne sera jamais inquiété donc et finit en 1h02'48'' laissant Jérôme Trimaglio à plus de deux minutes... Chez les féminines, on retrouve avec plaisir Murielle Bertrand qui toute vétérane 2 qu'elle est, n'a guère été inquiétée. Claudine Viros est un peu plus loin...
Quelques semaines après avoir été le théâtre des championnats de France de Skyrunning, Auzat a été une nouvelle fois le point de rendez-vous de nombre de sportifs en tout genre puisqu’en ce weekend du 10 et 11 septembre ce ne fut pas moins de 312 raideurs venant de toutes parts qui se sont déplacés ici pour l’édition 2011 du RAID ABS. Bref c’était complet puisque la limite des 150 équipes prévues a même été dépassée. Une logique récompense. Il faut dire que pour beaucoup, ce Raid est en quelque sorte LA référence des raids dans la région. Il faut dire aussi que l’équipe d’ABS Aventure ne compte pas ses efforts pour proposer à tous les participants 2 jours d’efforts intense aussi variés que ludiques. Au programme : VTT, trail, canoë, course d’orientation, run & bike, de jour comme de nuit. Un véritable programme de commando. Mais aussi spéléo ou via ferrata (chrono arrêté) pour initier les raideurs aux joies des nombreuses activités possibles du coté d’Auzat. Sur le terrain, en version intense (la version la plus longue sur les 2 proposées) c’est la paire Miquel / Maire qui s’impose (en un peu moins de 10 heures d’efforts cumulés) devant les frères Rodriguez. A noter la belle performance de la seule équipe féminine Rognant / Grosse qui finit à la 8ème place sur presque 50 équipes engagées. Sur le parcours aventure (un poil plus accessible, mais il faut le dire vite) c’est la paire Boube / Demoulin (avec 7 heures d’efforts) qui l’emporte devant la famille Guillet sur plus de 100 équipes. L’épreuve a été comme chaque année une véritable réussite et Patrick Anné (l’animateur ariégeois de référence qui était aussi de la partie) n’a pu que le constater en lançant les applaudissements envers les organisateurs … applaudissements qui se sont tout bonnement transformées en véritable standing ovation de plusieurs minutes lors du repas de clôture offert à tous les participants. Autant vous dire que malgré les quelques souffrances, ils sont déjà nombreux à attendre avec impatience l’édition 2012.
Belle journée pour courir, il faisait même un peu chaud sur le final. Avec à peine un peu plus de cent partants ce matin l'organisation pourrait être déçue mais cela confirme la tendance actuelle sur les courses en ligne hors des grandes villes, mais somme toute cela donne 
Faible participation à cette première édition du Semi-Marathon, pourtant nous notons la présence de coureur venus de départements de l'Ariège , Bouche du Rhone , Alpes de Haute Provence , Pyrénées Atlantique , de tolouse et seulement 2 des Hautes Pyrénées .
Et oui, une nouvelle fois, le record de participants est tombé du côté de Colomiers. Car si avec 1180 dossards distribués sur le 10km pour un peu moins d'arrivants évidemment, on est mieux qu'en 2010 de près d'une centaine d'éléments, c'est sur les petites distances que se fait toute la différence. Les enfants ont de nouveau répondu en masse sur les deux distances qui leur étaient proposées et sur le 3 km, c'est carrément le double de participants. On est passé cette année à presque 200 partants. Fabuleux donc pour une rentrée avec près de 1600 coureurs sur le bitume columérain... Sur la courte distance, c'est un nouveau venu dans le coin, Gaétan Fétaud aux couleurs du Team 12, super triathliète en Division 1, qui s'impose au bout d'un sprint de folie. Il prend quelques longueurs sur ses deux compagnons d'échappée, Olivier Charrier et Benjamin Michot. Nassera Dheilly et la jeune Zora Ghazouani de Blagnac gagnent, elles, ensemble. La vétérane et la cadette. L'image est belle. 
Sur le 10km, un homme a survolé les débats. Il s'agit de Romain Courcières. Le gars de Caussade est parti d'emblée sans se poser de questions. Et en 31'19'', il vient titiller le record de la course... Derrière lui David Gosse en pleine préparation, après sa victoire en moins de 15' vendredi sur 5000m à Saint-Gaudens, limite la casse. Il se défait sur la fin de Mickaël Cassagnes... Le premier vétéran n'est autre que David Lorain et la première féminine est Lilianne Lafforgue qui l'emporte donc chez elle, pour la première fois. En l'absence donc d'Houria Fréchou, multiple lauréate ici... Les Boulevards se finissaient comme à l'habitude par un tirage au sort de folie avec quelques invitations sur des grands marathons mondiaux à la clé...
Samedi à Auch le sport et plus particulièrement le duathlon et le triathlon ont été à l'honneur. 
Belle affluence du coté du trail du Faget (aussi appelé Trail des Châteaux) en ce dimanche matin malgré la grosse concurrence des boulevards de Colomiers. 2 distances au programme : un 10km faisant parti du challenge Levy et un 17km pour les plus aguerris. Mais 2 parcours bien accidentés, variés et vallonnés, avec de sacrés « rampaillou » comme on dit par ici. Côté homme, un joli doublé du Team Running Olivan avec la victoire de Nicolas Miquel sur le 10km (devant Samir Hijazi et Johnny Bordaz, leader actuel du challenge) et de Sébastien Sarda sur le 17km (devant Patrice Seguiz et Nicolas Beriot, de retour à la compétition). Chez les filles, ce sont aussi des habituées qui s’imposent avec Corinne Degois sur le 10km et Magali Alquier sur le 17km. Autant sur le 10km les coureurs ont trouvé leur chemin facilement … autant sur le 17km quelques concurrents ont réussi à s’égarer, peut-être un peu trop distraits à regarder le paysage environnant. Malgré cela, tout le monde a pu rallier la ligne d’arrivée sans souci et se retrouver sur la place de ce petit village si sympathique qu’est le Faget.
Si nous avions quelques doutes sur la météo, ils ont vite été estompés par les premiers rayons de soleil qui ont accueilli les quelques 250 participants de cette 5ème édition du Tour Pédestre de Prouilhac (GOURDON 46 ) en comptant les trois courses et la rando. Nous sommes sur les mêmes bases que l'an passé avec quelques participants de mois sur le 10 et quelques participants de plus sur le 25. Les principaux prétendants au Challenge Vert étaient présent pour grignoter quelques points de plus sur le 25 que nous avions concoté aujoud'hui. Il est à déplorer la blessure de notre ami Patrick Egermann, qui est actuellement en deuxième position du Challenge, sur une mauvaise chute dès le 2ème kilomètre. Nous espérons qu'il sera vite sur pied pour terminer la saison au mieux. Les deux premiers Christophe DE BARROS et Sébastien NODARI ( déja vainqueur en 2010 ) ont fini main dans la main... c'est une image devenue traditionnelle sur notre course et qui reflète bien l'état d'esprit que nous essayons d'imprimer sur notre manifestation. A noter que chez les féminines c'est Marie-Christine BRUSQUAND, déjà première l'an passé qui l'a emporté. Les participants ont apprécié le parcours, rigoureux ( 900 m de dénivelé positif ) mais magnifique. Ils ont surtout félicité la convivialité qui reigne autour de nos courses et ont particulièrement apprécié le bon casse crôute réparateur après les efforts fournis sur le terrain. La plupart sont déjà impatients de pouvoir retrouver dans notre petit hameau en 2012 et toute l'équipe dynamique du Comité des Fêtes de Prouilhac est déjà prète à les accueillir.
Les 10km nature de Larroque, c'était un peu notre coup de coeur cette semaine. Aussi nous laissons ici la parole à son organisateur, Jacly Chambon. C'est mieux qu'un bilan de course. "Après une nuit blanche à me demander si nous n'avions rien omis, et si il ni aurait pas un petit grain de sable pour faire dérailler la machine, le réveil sonna à 5 heures du matin. Avant même de boire le café ....interrogation sur le net de la météo: nuageux et vent faible, température prévue 19° dans la matinée....parfait pour courir; malheureusement sorti sur le pas de la porte pour vérifier l'info...il pleut...m...e ! Cela ne fait rien je charge le PC, le chrono, les récompenses...et c'est parti pour une longue et dure journée. Charger et décharger fut extrêmement important durant les heures qui suivirent: congélateur, barrières, frigo, tables, bancs, saucisses et tout le reste....heureusement nous avions monté les chapiteaux depuis le vendredi.....8h00/10h00 le rituel: inscriptions des coureurs et des randonneurs, distribution de tee-shirts, mise en place des signaleurs et réception des secouristes, de l'animateur et du docteur ....qui a sauvé notre course. A 9h30 la randonnée s'élance sous l'encadrement de 2 nanas Edwige et Colette au pas cadencé, 10h00 c'est au tour des champions (68 cette année ....10 de mieux que l'année dernière) et c'est l'enchainement. 36 minutes après, le premier arrive, une heure et quelques minutes après c'est le dernier de la course et le gros des randonneurs....ce qui nous permis de laisser s'élancer les pitchouns: Graines de Champions. Et le moment tant attendu est enfin arrivé: les récompenses...1°/2°/3° de chaque catégorie du junior au vétéran 4....pratiquement tous les randonneurs, tous les enfants et comme il y avait abondance....tirage au sort tout confondu d'une vingtaine de participants...je te laisse imaginer la joie et la satisfaction de tout à chacun. De midi à 15h00, après l'apéro offert par le comité des fêtes...bombance, musique offert par la société des Cors, et petit repas à un prix modique préparé par nos "petites mains" et dieu sait si elle font bien la "popote".....tout le monde à pu repartir enchanté, par les lieux, par l'épreuve sportive, et la convivialité de l'instant....sans compter que même le temps nous fut clément...pas une goutte de pluie et même du soleil en après-midi: merveilleux ! Pour nous ce n'était pas encore la fin de l'après-midi, car il fallait plier, ranger, et défaire tout ce que nous avions fait depuis 2 jours....19h00 est ainsi arrivé et je suis en train de "bâcler" mon rapport avant d'aller enfin me doucher....voilà Rémy tu trouveras en PJ le résultat scanné...et si tu le désires nous pourrons te faire passer un résultat plus détaillé dans les jours à venir, ainsi que quelques photos....en tout cas merci beaucoup pour ton aide ton sponsoring....et nous t'attendons si tu peux venir, vendredi 9 septembre à la salle de la mairie de Larroque pour le remerciement aux Partenaires. Un grand merci aussi à toute l'équipe qui a oeuvré pendant ces 3 jours, à nos sponsors, à vous tous nos supports de communication, aux secours, au docteur, à notre copain Philippe l'animateur et à toutes et tous ceux que j'oublie à cause d'une grande fatigue !"
Saint Gaudens a retrouvé une grande course à pied disputée au coeur même de son centre ville, au pied de sa collégiale. Quelques gens de bon sens en ont eu l'idée, le club d'athlétisme de la ville a relayé et proposé son expérience et la municipalité a corroboré en affichant une réelle bonne volonté d'offrir au sport une belle épreuve sur 5 et 10000 mètres. La manifestation a remporté pour sa première édition un grand succès et sera sans doute pérennisée. Sur sa terre natale, là où il a grandi et sur un parcours dont il connait le moindre recoin, Nicolas Fernandez n'a rencontré aucune difficulté pour remporter le 10000 en 30'14. Nathalie Olasagasti, une semaine après son podium au grand trail des Pyrénées a elle du forcer pour venir à bout de sa camarade de club saint gaudinois Murielle Bertrand. David Gosse resté avec son ami Nicolas tout au long de la première boucle, s'adjuge le 5000 en moins de 15' tout de même. C'est la rentrée. Saint Gaudens ce soir s'est allumée. La grande fête foraine est arrivée et la fête a commencé. Lumières sur un réel succès.
C’est au cours d’une matinée bien agréable que s’est déroulée la 19ème édition des Crêtes de Puybegon, organisée toujours de mains de maîtres par le Spiridon du Tarn.
Et de trois ! Nicolas Fernandez a donc inscrit pour la troisième fois son nom au palmarès de la Panoramique, épreuve disputée sur 18,4 kilomètres entre Luchon et Superbagnères. Le sociétaire d'I-Run n'a pas eu toutefois à forcer son talent. Il s'impose en 1h21', assez loin du record de la course et de son propre record d'ailleurs sur cette même ascension. Il finit avec plus de cinq minutes d'avance sur Jean-Jacques Rives. On aura noté toutefois la présence de quelques espagnols qui n'ont pas hésité donc à traverser la frontière. Mais avec moins de cent partants, la course n'a pas eu le succés escompté, celui de la belle époque. Il est vrai que Maurice Sanson, l'emblématique organisateur luchonnais, bientôt âgé de 80 ans, a officiellement annoncé qu'il passait le relais. On a du mal à y croire, tant il a fait pour la course à pied dans son coin, mais la réalité est bien là. Il a envie de rester auprès de sa femme... souffrante ! On ne peut que le comprendre. Chez les féminines, Viktoria Telek s'impose sans souci...
Samedi 27 août. Dawa Sherpa ne va pas tarder à franchir la ligne d'arrivée. Il est 15h à Veille-Aure. Le Népalais, cher aux Français, n'a jamais été inquiété sur le Grand raid des Pyrénées. Le 80 km. Mais dans la matinée, déjà, la grand star du week-end, aura été sans conteste possible, l'Espagnol Oscar Perez Lopez. Ce dernier, qui avait terminé deuxième de l'Ultra Trail Andorran cette année (le 170 km) et donc deuxième l'an passé de ce même Ultra Trail des Pyrénées, a donc conjuré ce sort de la deuxième place. Malgré le départ rapide de Bruno Bareilles, il aura géré sa course de main de maître. Ne semblant jamais pouvoir véritablement être inquiété par le Pyrénéen, toujours pointé à une demi-heure et finalement à une heure au final. Sébastien Nain est bon quatrième. Mais les régionaux auront suivi avec admiration la superbe course d'Olivier Foissac. Le Tarnais a toujours pointé en quatrième position avant de devoir jeter l'éponge à moins de dix kilomètres de l'arrivée. Et oui, vous avez bien lu ! Plié en deux, il expliquait plus tard, ne plus pouvoir du tout, ne serait-ce que marcher. Bravo tout de même pour une course superbement menée... Chez les féminines, Nicky Spinks, la tenante du titre, malgré quelques soucis en fin de course, parvient à réussir le doublé en contenant le retour de Julia Rousset. On retiendra surtout que Nathalie Olasagasti signe ici un beau retour à la compétition en arrachant sa place sur le podium au nez et à la barbe de la Japonaise, pourtant donnée favorite par beaucoup... Sur le 80km, Agnés Francastel, vainqueut au trail des Novis à Auzat, la semaine passée, semble véritablement hors de portée. Mais ce que l'on retiendra surtout de cette 4ème édition du Grand Raid, outre l'organisation parfaite, c'est sans aucun doute la terrible météo, particulièrement changeante, qui a tant fait souffrir les concurrents. De la neige, du froid, du vent et du soleil ! Tout y était. Cette édition est d'ores et déjà entrée dans la légende.
Vendredi 26 août. Le grand départ de l'Ultra Trail des Pyrénées a finalement été donné à 7h du mat du côté de Vielle Aure. Près de 800 coureurs se sont élancés à l'assaut du col de Portes pour commencer, par le côté Espiaube donc et non par Soulan comme d'abord proposé. D'entrée de jeu, Bruno Barailles, le Pyrénéen, comme à son habitude, est parti en tête. Il devançait au premier sommet deux Espagnols et un peu plus loin le reste des favoris parti beaucoup plus prudemment. Bruno qui a remporté l'Ultra Trail Andorran (le 112 km) cette année avait appliqué la même tactique l'an dernier et avait failli arriver à ses fins en abandonnant juste dans la dernière portion de course vers le 125 kilomètres, toujours bien placé... Oscar Perez, deuxième lui de l'Ultra Andorran (le 170 km) lui emboîtait donc le pas et pssait même en tête à Artigues. En tout cas la météo, tant redoutée donc, était assez favorable d'entrée et les concurrents profitaient d'un beau soleil au sommet, alors que la brume et le pluie envahissaient la vallée... Le froid, lui, était au rendez-vous. Disons plutôt que nous sommes passés de 30°C à 15°C. Chez les féminines, la Japonaise, 4ème sur un UTMB, passait déhà en tête devant Nicky, la tenante du titre... Julia Rousset et Nathalie Olasagasti étaient pas si loin. Sur le grand parcours de 240 km, le leader drevait revenir sur Veille Aure, ce soir, vers 19h...
Jeudi 25 août sur le Grand Raid des Pyrénées du côté de Vielle Aure, petit village qui jouxte Saint-Lary Soulan dans les Hautes-Pyrénées. Le départ de l'Ultra, le parcours de 160 km, est prévu pour demain matin à 5h précises. Mais les organisateurs, lors de la conférence de presse de 15h, expliquaient déjà qu'ils se réservaient toujours la possibilité de changer le parcours, et notamment la mythique montée vers le Pic du Midi. Hugues Jardet, le "traceur" du parcours expliquait : "la météo prévue pour demain promet d'être exécrable. Rien que pour monter au col de Portet, il va pleuvoir et le vent doit souffler à plus de 100 km/h. Aussi du côté du Pic du Midi, cela risque d'être effroyable avec de la neige en plus...au-dessus de 2200m. Aussi si tout cela doit s'améliorer considérablement dans la journée, il est fort probable que l'on annule la montée vers le Pic. Cela fait une coupure de six kilomètres... Ce n'est pas beaucoup, mais pour la sécurité, ça change tout. Nous prendrons lé décision finale sûrement une ou deux heures avant le départ. Aucun risque ne sera pris en tout cas..." Paralellement aux deux épreuves pré-citées, celles de 80 et donc celle de 160, une autre course est déjà partie depuis mecredi matin. Il s'agit d'une vraie aventure de 240 kilomètres pour près de 16000m de D+. Six équipes de trois coureurs ont pris le départ plus une vingtaine d'individuels triés sur la carreau. Aujourd'hui à 17h, ils en étaient à la moitié de leur parcours mais 
l'ascension sur le Pic avait déjà été annulée... Pour le moment donc à Veille-Aure sur un petit stade aménagé pour la circonstance, la remise des dossards bat son plein, ainsi que la vérification des sacs. Tout le matériel obligatoire est vérifié et il parait évident qu'avec une météo changeante à souhaits, il ne faudra rien néglicger. Dawa Sherpa, le grand favori du 80km, est déjà là et signe sur un petit stand à lui des tas d'autographes. Il en profite aussi pour vendre son ouvrage dédicadé. Nombre de favoris du long sont aussi arrivés la veille au soir ou en matinée. On a pu croiser Claude Escots et son pote Olivier Foissac qui devraient jouer la prudence d'entrée et rester ensemble un moment. Bruno Bareilles, Guillaume Lenormand ou encore Michel lannes ne sont pas loins non plus. Mais on a aussi fait la connaissance de quelques espagnols et notamment deux Basques qui ne seront pas là pour faire de la figuration. Bref après le briefing de ce soir à 17h, il faudra recharger les organismes en sucres lents et essayer de dormir un peu... Le départ est prévu à 5h du mat. On vous tiendra au courant de la suite et de l'évolution de la course...
Mercredi 24 août. La tension commence doucement à monter du côté de Vielle-Aure où sera donné vendredi matin le départ du Grand Raid des Pyrénées, quatrième du nom. Les traileurs ont déjà envahi la plupart des campings et hôtels des environs. Le premier départ, celui de l'Ultra, aura donc lieu vendredi à 5h du matin pour avaler ni plus ni moins que 160 km et 10000 m de D+. Le lendemain, à la même heure, ce sera au tour du 80km et 5000m de D+ de s'élancer. Du côté des favoris, sur cette deuxième distance, Nicolas Darmaillacq, s'est désisté depuis un bon moment déjà
. Il attend un heureux événement pour les jours à venir. Lui qui avait remporté le long, deux ans plus tôt; aux côtés de Régis Coumenges, on s'en souvient encore. Ici la météo est plutôt agréable. La canicule du début de semaine n'est plus qu'un lointain souvenir. Il fait un peun plus de 20° dans la jounrée et environ 10°C dans la nuit, mais ceci, évidemment dans la vallée, car sur les sommets, et notamment au Pic du Midi qui culmine tout de même à plus de 2800m, il fera sans doute un peu plus froid encore. Il faudra prévoir... Car des pluies et orgaes sont annoncées, pour ce soir déjà, mais surtout pour les deux jours à venir. Jeudi sera certainement la journée la plus agitée du côté de Veille-Aure, tout petit village à côté de Saint-Lary. En effet le village-partenaires sera en place et vont se succéder la vérification des sacs, le briefing, la conférence de presse et la pasta. Tout le monde sera déjà sur place alors... 
C’est officiel ! Yohann DINIZ sera le parrain de la 5ème édition du Marathon International du Grand Toulouse. Le double champion d’Europe du 50 km marche à Göteborg (2006) et Barcelone (2010) sera présent durant tout le week-end du marathon sur le Village Expo place du Capitole du vendredi 21 au dimanche 23 octobre.
On avait quitté Romain Courcières du côté de Dax sur la Feriascapade, avec une belle troisième place et surtout un temps canon de près de 31' sur la distance reine des 10km. On le retrouve donc du côté de chez lui, à Septfonds, sur l'épreuve organisée depuis belle lurette déjà par le Club Athlétique de Caussade. Ils furent donc une centaine en tout à braver la grosse chaleur de ce dimanche 21 août caniculaire. Soixante-dix sur le dix kilomètres, une vingtaine sur le 5 km et le reste sur les courses réservées aux enfants. Romain gagne donc sans aucun souci en 32'48'' loin devant Xavier Gras. Florence Guillauma est première féminine et neuvième au scratch. Sur la courte distance, c'est la super recrue de Négrepelisse qui fait encore mouche. Thomasy Wojcik fnit en 20'11''. Merci à Jean-Pierre Petitel pour cette belle petite course à découvrir au plus vite, mi-nature, mi-bitume !
La météo ne s’était pas trompée : c’est bien une chaleur caniculaire qui a accueilli les 150 courageux participants de cette 4ème édition du Tour du Lac du Tolerme dimanche matin à Sénaillac Latronquière. 90 inscrits sur le 10km, 40 sur le 5km auxquels il faut rajouter une vingtaine de randonneurs. 
Jean-Jacques s'en est donc allé dimanche matin … après deux semaines passées dans le coma. Même si les médecins disaient qu'ils n'avaient plus guère d'espoir au niveau cérébral, on souhaitait tous fortement de le revoir rapidement comme on le connaît tous tant... avec son éternel sourire, sa gentillesse légendaire et surtout son impeccable tenue. Toujours tiré à quatre épingles comme on dit. La course était sans nul doute une part importante de sa vie. Il s'en est donc allé en pratiquant sa passion. Et je rêve à croire qu'il continuera à nous regarder courir de tout là-haut... On ne t'oubliera jamais Jean-Jacques. Toute l'équipe de Running Mag se joint à moi pour présenter à sa femme, à sa famille et à tout son proche entourage nos plus sincères condoléances. 
Ils étaient 85 au départ de la course de Leboulin, soit sensiblement le même nombre de concurrents que l’année dernière … sur un circuit un poil raccourci. Par contre niveau température, on s’en doute, les thermomètres ont vu bien plus grand, bien plus haut … pas loin des 40 degrés. Mais cela n’a pas refroidi les 85 concurrents. Certes ce n’était pas la grande affluence mais le niveau était bien là. Sobinski finit 3ème, Durand 2ème ... Et le vainqueur du jour est Bevenot, qui vient par ailleurs tout juste de signer au team 12.
Vingt-deux éditions du marathon du Montcalm et, il faut bien l'avouer, rarement nous avons été confronté à un tel suspense pour les places sur le podium du côté des garçons s'entend ! Car chez les filles, autant le dire d'emblée, Stéphanie Jimenez a maîtrisé son sujet à la perfection et a mené les débats de bout en bout. Remportant donc au passage le titre de championne de France de skyrunning... attribué pour l'occasion. Michel Rabat, lui, pourtant parti comme un boulet de canon, signant au passage le record de l'ascension au Montaclm depuis Auzat, en 2h33', aura toutes les peines du monde à contenir le retour de ses adversaires sur la partie finale, plus roulante qui ramène vers le point de départ. Pour gagner le Montcalm, il faut vraiment être complet. C'était sa déclaration une fois franchie la ligne d'arrivée, bien entamé il est vrai... Et le, visiblement, très frais, Julien Cougnaud, déjà vainqueur quelques années ici même, a bien failli lui voler la vedette. Il finit sur ses talons. Pointé à cinq ou six minutes, à Artigues, petit village situé à huit 
kilomètres de l'arrivée, il échouera finalement pour une petite minute. Derrière lui le Catalan, Javier Rodriguez Bodas, tenant du titre finit donc sur le podium. Et Pierre-Laurent Viguier, le régional de l'étape, revient de l'arrière, pour venir mourir au pied du podium... à quelques encablures. Sur les autres épreuves proposées, on retiendra surtout que Florent Ferrand, blessé deux mois plus tôt, et qui avait fini deuxième en 2010 sur le long, remporte le Trail des Novis de 27 km et qu'en relais sur cette même distance, c'est la paire toulousaine Jégard-Miquel, du Team Running - Olivan qui l'emporte haut la main dans un chrono canon de 2h03'. Cette année, le record de participants a été largement battu avec presque 300 partants sur le long, 120 sur le Novis et près de 35 équipes pour le relais... Sûrement l'effet "manche de coupe du Monde de Skyrunning", en tout cas les organisateurs étaient aux anges. Une 22ème édition inoubliable donc !
Une participation intéressante pour cette course de village en ce traditionnel 15 aout et pour la 14 ème Edition dans le cadre champêtre de la fête locale à Cadarcet... Un comité des fêtes un peu fatigué mais renforcé par une nuée de bénévoles sous la baguette de Monique Canal pour mener à bien les 5 courses de l’après -midi. Celles incontournables des enfants divisées en 3 courses selon leur catégorie d'âge - le 3 km où ne sont récompensés que les benjamins et minimes mais où sont acceptés les autres qui veulent simplement participer à la fête et la course des as avec ses 130 coureurs. Juste avant le départ de la course des as, Patrick Anné – l’animateur fidèle – a dédié cette course à notre ami Jean Jacques Colléoni – toujours dans le coma – à laquelle il avait l‘habitude de participer... nous pensons beaucoup à toi Jean Jacques et à ta famille. La victoire pour Benjamin Michot qui est venu en toute détente prendre du bon temps en dehors de la pression des triathlons et des distances du 10 km où il faut toujours assurer un temps... Là on vient - sans se prendre la tète – loin du bitume et de la pollution – pour signer un des 5 meilleurs temps réalisé à Cadarcet en 14 ans... il sera suivi du couseranais Eric Destrade – qui n’a pas fait l’impasse avant de se lancer sur son 1er Montcalm et le toujours fringuant V2 Francis Dachuna que nous retrouvons avec plaisir sur une course ariègeoise... Chez les filles, et comme toujours dès qu’elle prend le départ , c’est Agnès Francastel qui l’emporte et bat le record 39.12 détenu par Nathalie Olasagasti en 2008... et toujours dans la même simplicité qui la caractérise... encore un grand bravo. Bénédicte Séguret prend la 2ème place et des points précieux dans le cadre du Challenge du Couserans suivie de Anne Sénéchal – vainqueur en 2010. Toujours la même ambiance où petits et grands prennent beaucoup de plaisir dans ses rencontres conviviales où les remises des récompenses ne sont pas un vain mot tant les organisateurs gâtent les podiums et la cerise sur le gâteau la participation de Patrick Pierre en catégorie handisport fidèle à la Cardarcetoise pour retrouver ses amis ariègeois dont Jacques Jayles avec son appareil photo pour immortaliser ses moments communs de joie. 
Les « Boudinaires », vous connaissez ? C’est là la jolie dénomination qu’on utilise pour définir communément les habitants de Sarp, aux portes de la Barousse, dans le piémont pyrénéen. Et en ces temps estivaux, le village connait, comme beaucoup d’autres, ses trois jours de fête. L’association des « bourrasques baroussaises » qui unit toute l’année toute une flopée de féminines adeptes à la course à pied profite de l’occasion pour proposer la première édition d’un trail fou fou fou qui a su ravir la petite centaine de joggeurs qui ont su là flairé la belle affaire. La Barousse, c’est si pittoresque. C’est un joli coin perdu où la nature a toujours su conserver ses droits et son authenticité. Sur l’épreuve reine de dix neuf kilomètres, il fallait aux mâtines avoir la foulée bien caprine parce que la première moitié du parcours n’était qu’une longue ascension, sans répit. Les récompenses pour tous ceux qui s’y aventurèrent furent des distributions d’images. Plus le coureur s’élevait, plus le paysage offert à ses yeux prenait de l’ampleur. Magnifique. David Juste et François Garcia se sentirent d’ailleurs très à leur aise, emportant d’abord avec eux les rames d’un funiculaire qui s’effilochaient. Mais Nicolas Bouvier-Gaz, descendu de son vélo pour s’essayer au trail, prouve qu’un niveau élite dans le monde cycliste requiert un bon niveau foncier. Néophyte, Nicolas coiffe toute la concurrence avant le sommet. Au-delà de la bascule, la longue descente qui ramène dans la vallée n’y changera rien. C’est lui qui vainc. A lui donc le trophée et la casquette blanche aux pois rouges. Pour tous, unanimement, ce fut une belle manifestation. Une réussite qui invitera sans doute l’organisation à reconduire l’épreuve, à la pérenniser. C’est à souhaiter.
Samedi 13 aout se déroulait les 10,5 km de Bez- De-Naussac. ( les foulées de la diège ) , épreuve organisé par toute l’équipe d’Yvette Calmettes, victoire au scratch de l’athlète de la section élite Jean-Christophe Batut (2e victoire de la saison) pour le villefranchois qui s’impose devant le villeneuvois Cédric Gratusse. Le team 12 était représenté par d’autre coureurs , tout d’abord, Lionel Cazes qui prenait la 12e place au scratch, Michel Sénéchal 3e place en V3, sur le 5 km victoire de Jocelyne Sénéchal en V2.
La météo était vraiment idéale sur cette édition de l'Ikalana à Villefranche de Panat. Pas de gros soleil et pas non plus de pluie comme annoncée, les sentiers étaient même quasiment secs partout. Presque partout. Toute l'équipe d'Yves Monteillet et de Courir en Lévezou a une nouvelle fois accueilli dans les 400 coureurs, répartis très équitablement sur les trois distances proposées: un 11km, un 24 et un 34 km. Et oui les distances étaient un peu plus longues que prévues. Il faut s'y faire. Sur le court c'est Alix Tauriac qui s'impose, mais sur le 24 c'est un triathlète venu de Dunkerque, en vacances dans le coin, qui a surpris tout son monde. Gillodts est parti d'entrée de jeu et malgré une fin de parcours plus dure, ne sera jamais rejoint. Norbert Sahut est bon deuxième. Sur le long, Sylvain Mallet a réussi à tenir bon et finit même très à son aise sur les bords du lac interminables. Il signe un beau 2h30' ... Gérard Le Ray et Cyril Chanu ne sont pourtant pas loin. Dans un mouchoir de poche. Nadine Bosc est lauréate chez les féminines.
Le club des Esclops d'Azuns a le vent en poupe. C'est le moins que l'on puisse dire. Philippe Lanne, le tout nouveau champion de France vétérans de course de montagne, remettait donc le couvert de l'organisation pour cette Manu Lacroix disputée sur la distance de 8,7 km. La plupart des meilleurs coureurs du club avait participé aux Frances la semaine précédente et c'est donc Yann Mondot, sans suprise, qui s'impose devant Lionel Girard. Tous deux des Esclops. On aura surtout noté le grand nombre d'enfants venu participer dans les rues de la petite ville pyrénéenne. Plus de 60 à coup sûr avec toutes les catégories représentées. La relève est assurée de ce côté-là en tout cas !
Un peu moins d'une centaine de coureurs inscrits à la 17eme édition des 10km de Mirande. Comme chaque année, les vacanciers venus des quatre coins du pays apportent un peu de sang neuf au peloton des habitués et toujours une bonne proportion de féminines (presque un quart). Un petit orage a le bon goût de rafraîchir l'atmosphère juste avant le départ . En l'absence de Christophe Cabannes, son dauphin de l'an passé, Rudi Bastelicca prend le pouvoir dès le premier des quatre tours et améliore son propre temps d'une seconde! Simon Durand, excellent second, découvrait le parcours. Henrik Sobinski , malgré son manque d'entrainement termine le podium et fait preuve d'une régularité extraordinaire en réalisant le même temps que l'année passée. chez les féminines, Angélik Nowak et Brigitte Djelaoui sont au coude à coude. La course s'est déroulée sans incidents, avec beaucoup d'applaudissements et d'encouragements au milieu de la fête foraine, mais l'Astarac-Fond-Club déplore le faible effectif des bénévoles compte-tenu des difficultés que pose l'organisation d'une course en ville. 
Marc Caretta nous avait déjà promis l’année dernière une 2ème édition des Crêtes Tarnaises haute en couleur. Et bien il ne nous a pas menti. Une 2ème édition placée il est vrai au clair de lune avec un départ pendant le couché de soleil … une course en « semi-nocturne » qui se déroule une nouvelle fois sur la magnifique voie romaine au départ de Massac Séran. Les autres nouveautés de cette année seront l’arrivée d’un 11km et un petit bonus de 2km sur le long pour au final faire un bel aller-retour bien accidenté de 19km.
La chaleur lourde de cette fin de journée était toujours présente lors du départ de cette 16e - et peut-être la dernière organisée par Thierry Lonzième - Corrida de Souillac à laquelle ont pris part 119 coureurs sur le 10 km et 19 sur le 6,5 km (soit nettement moins que l'année précédente, long week-end du 15 août et autres courses proposées par ailleurs étant probablement la cause d'une certaine désaffection). Chaleur et manque de grosses pointures, tout au moins chez les hommes, ont fait que les chronos ont été également globalement moins bons, à quelques exceptions près. C'est sous le regard d'Olivier Laloux (le vainqueur de l'an dernier, de passage à Souillac) que le sénior Corrézien Nicolas Nicot emporte la victoire sur le 10 km avec un temps de 35'01", assez loin devant le vétéran Nordiste Eric Mollet pointé 46 secondes après. Encore une minute pour voir arriver le 3e, un autre vétéran, le néo-Lotois Jean-Luc Alison, en 36'46", accroché par Jérôme Devez qui revient en forme. Damien Neveu prend la 5e place alors que Paul Le Lay, 6e, parvient à contenir Jérôme Saillens, 7e. Ce n'est pas vraiment une surprise tant on connait ses excellentes performances, mais il est bon de signaler que la Tulliste Stéphanie Lemée, toujours accompagnée par Stéphane, enlève la 8e place au scratch et, qui plus est, efface l'ancien record de ce parcours qu'elle détenait de 23 secondes pour terminer en 38'03" ! La Corrézienne Noémie Golfier arrive deuxième, plus de 3 minutes derrière, alors que la Lotoise Anne Florent s'empare de la 3e place au sprint devant Mariam Rességuier. Sur le 6,5 km (2 boucles), c'est le Lyonnais Manu Bombaud qui monte sur la plus haute marche du podium devant le cadet nordiste Tanguy Verniers et le pompier lotois Dider Laval. Victoire de la Toulousaine Solène Cornille chez les féminines.
Il est difficile pour des organisateurs de quelque manifestation que ce soit, de connaître avant l’heure les conséquences de leurs orientations, surtout quand celles-ci sont innovantes. Les bénévoles du trail des Puechs n’avaient donc que très peu d’idées de l’accueil qu’allait recevoir dans le monde de la course à pied, leur choix assumé d’organiser un trail sans chronométrage ni classement. Leurs motivations essentielles étant de partager leurs terrains d’entraînements et de se mettre au service de la lutte contre la sclérose en plaques, même l’averse résiduelle des orages de la nuit n’a pas entamé leur confiance et leur optimisme. Averse qui s’est d’ailleurs arrêtée une demi-heure avant le départ des trailers sur la boucle de 36 km et 1800 m de dénivelé. La trentaine de coureurs venus des départements voisins (Hérault, Haute Garonne mais très peu de l’Aveyron) ou en vacances dans la région, venaient dans ce contexte faire une sortie longue pour affiner leur préparation aux grands rendez vous trail de la fin de l’été et de l’automne (UTMB, GRP, GRR, hospitaliers). Et même si l’aspect sportif, n’était pas l’essentiel, il n’a absolument pas été négligé, puisque les parcours proposés, avaient été minutieusement balisés. Les ravitaillements mis en place en des points stratégiques et pittoresques du parcours étaient tenus par des bénévoles dévoués et souriants (voire carrément comiques). Les coureurs ne s’y sont pas trompés puisqu’après avoir réalisés la montée au relais de Ronsignac, point culminant du parcours, par petits groupes, dans la descente vers Pinet puis dans la remontée vers le Viala, chacun a continué à son rythme laissant s’exprimer ses capacités du moment. C’est le mulhousien Gilles Flament, nullement dépaysé des brumes vosgiennes par la météo de ce dimanche matin, qui a rejoint le premier le buffet de ravitaillement final en un temps estimé d’un très bon niveau si on s’en réfère aux résultats de l’année précédente. A 10 heures se sont une cinquantaine de coureurs qui se sont élancés sur le parcours de 16 km, dans la même ambiance et la même décontraction, sans enjeu de résultat. Entre temps, une trentaine de randonneurs ont emprunté le même parcours et deux personnes en joëllete (fauteuil tout terrain mono roue) et leurs accompagnateurs ont pu également bénéficier des paysages des raspes, des causses et du Lévezou sur un circuit de 12 km mieux adapté à ce dispositif. Des moments « magiques et inoubliables » d’échange ont pu être ainsi provoqués entre coureurs et ses personnes qui retrouvaient grâce à ces joëlettes des pratiques et plaisirs passés. C’est dans le cadre du partenariat entre le comité des fêtes du Viala du Tarn et l’Association française des sclérosés en plaques, qu’avait été offerte cette possibilité. D’autre part, aucun frais d’inscription n’ayant été demandé, un appel au don pour cette même association a été réalisé auprès des coureurs, qui se sont montrés généreux, puisque près de 900 € ont été récoltés pour lutter contre la sclérose en plaques qui touche 80 000 personnes en France.
35 kilomètres durs, très durs même ! C'est le programme concocté depuis quelques années par les organisateurs de la course des Fiancés. En fait l'idée était simple à la base, il suffisait, si l'on peut dire, de refaire le trajet emprunté autrefois par des courageux "aventuriers" qui allaient chercher du sel de l'autre côté de la frontière espagnole... C'était aussi l'occasion de quérir une fiancée d'où le nom de l'épreuve. Cette année le sens Arrens-Sallent a été retenu. Cela change tous les ans ! Et du coup le record d'affluence a été battu, malgré la concurrence des France de montagne le même jour. Chez les garçons, la bataille fut belle entre Christian Montuelle, qui l'emporte finalement, et Christophe Cazau. Les autres sont beaucoup plus loin. Mais on aura retenu avec plaisir, que notre amie Martine Latger, de Blagnac, s'offre une bien belle victoire en 4h23'. Juste devant Hélène Abadie. Il a fallu tenir jusqu'au bout du bout...
Le soleil avait décidé d’être de la partie pour cette 34ème édition de la plus ancienne des courses lotoises, le Grand Prix Pédestre de Pontcirq. Organisé de main de maître par 
Et oui, il l'a fait ! Stéphane Sanchez a une nouvelle fois inscrit son nom au palmarès du Tour de Biros. Pour la quatrième fois consécutive. Et du coup on peut vraiment dire qu'il devient un peu Monsieur Biros pour beaucoup de gens de la vallée... Il fait mieux que son chrono de l'an passé de quelques secondes en étant le seul du jour à descendre sous les 1h07'... Même si le record détenu par Gilles Icart semble bien inacessible en 1h02'... Pourtant cette année, son dauphin attitré, Rémy Jégard, deux fois deuxième donc, avait emmené avec lui depuis Toulouse un autre membre du Team Running Olivan en la personne de Nicolas Miquel, très en vue cette année. Ce dernier fera jeu égal avec Stéphane durant toute la longue montée vers Uchentein... Essayant même au début de celle-ci de tenter sa chance. Mais c'était sans compter sur la "légéreté" légendaire de Stéphane. Il va s'échapper dans la descente et finit avec presque une minute d'avance sur Nicolas. Rémy est bon troisième et rétrograde du coup d'une position. Chez les féminines, Bénédicte Séguret a dû s'employer ferme pour contenir le retour de Cécile Cambus, qui avait gagné le Trail Andorran (35 km). Mais c'est vrai aussi que Bénédicte est très en forme en ce moment et quand elle s'aligne sur une épreuve en Ariège, elle fait office de favorite... La remise des prix débutait donc quelques minutes après que le tout dernier concurrent ne soit arrivé. Guy Carieux, le maire du village, y allait de son petit mot humoristique et envolé. Quand à Hubert Besnier, l'organisateur, responsable d'APTP Trail Ariège, il ne pouvait que déplorer le manque de coureurs sur son épreuve. 56 au total contre 89 l'an passé ! Il est vrai que la météo lui a joué un sale tour cette fois ! La matinée, épargnée tout de même par la pluie, du moins après 8h, se terminait par le traditionnel repas sur la place du village...
Ah qu'il n'est pas facile ce circuit de Tardets, ce parcours retenu pour les championnats de France de course de montagne, avec ces deux montées et ces deux descentes. Ces portions de relance aussi sur treize kilomètres. Il fallait donc être bon technicien pour s'en sortir et pas seulement bon grimpeur. Ou bien le connaître à la perfection, ce parcours ! Ainsi Didier Zago a vraiment impressionné son monde. L'Aquitaine s'impose avec plus d'une minute d'avance sur Julien Rancon. Il est le seul à descendre sous l'heure pour boucler son périple. Le troisième n'est autre que Saïd Jandari et on note dans le Top Ten la présence de Maxime Durand
du Tarn Sud Athlétisme et Pierre-Laurent Viguier du CA Balma. (7 et 8ème). Chez les féminines, Marie-Laure Dumergues, un peu en retrait ces derniers mois, nous rappele qu'elle a été plusieurs fois sacrée déjà. Elle l'emporte devant l'espoir, Adelaïde Panthéon. Toute l'équipe de Vincent Etchebest, peut être fière du résultat, en tout cas. Près de 400 coureurs en tout sur l'ensemble des épreuves proposées, mais là aussi, on ne peut que regretter que la météo soit venue jouer les trouble-fêtes...
Le dimanche 31 juillet, 187 concurrents ont participé aux différentes épreuves proposées par l’US Colombies dans le cadre du Vétathlon des Colombes. Un nouveau record de participation est donc établi, avec 80 concurrents de plus que l’année précédente. Les participants se sont répartis harmonieusement entre le ROC des colombes (VTT de 
220 plus 30 enfants … le compte est bon, 250 partants pour les foulées de Saint Sauveur. Donc pas mal de monde, partant ou revenant de vacances en cette période de chasser-croiser. Mais c’est bien l’été le grand revenant de cette matinée … il a fait beau, il a fait chaud, de quoi faire fondre les chronos. Et c’est peu dire car dès le coup d’envoi ça part vite, très vite … il est vrai que les départs du 5 et 10 km seront donnés en même temps mais ce départ avait des allures de sprint tellement les tous premiers ont imprimé un rythme infernal … Les concurrents du 5km (ou plutôt du 5,2km) sont aux avant-postes et c’est Khalid Chafik qui va mener la course de la tète au pied de ce parcours légèrement bosselé juste devant Lilian Medus. Tarik El Achab un peu plus loin, finira bon troisième mais toujours dans des jolis chronos. Corinne Degois (30ème temps scratch) s’impose une nouvelle fois.
La Pujada, 10ème du nom, est le rendez-vous idéal pour ceux qui aime la montée sèche assez rare en Ariège et qui se prépare aussi pour la suite de la saison... Ce qui est le cas des deux vainqueurs en l'ocurrence. Le Portugais, Rui Muga, champion du Portugal de course en montagne et du km vertical, en préparation des championnats du monde en Albanie début septembre, a profité de son passage chez son cousin Christian Canguiero, le lavelanetien pour venir exploser le record détenu par l’anglais Gary Devine de plus de 2 minutes sur ce tracé de à 11,45 km/h de moyenne... Aux direx de Laurent Brossard (2ème) le seul à parler français sur ce podium international, "le portugais est parti sans se poser de questions et j’ai vite compris la pointure du bonbonne – et j’ai même pas essayer de le suivre pour éviter de me mettre dans le rouge." Pour sa 1ère participation à AX , c'est une belle 2ème place pour le sociétaire du conseil général 09 qui après sa saison de VTT se remet pour notre plaisir (il faut aussi de belles photos) à la course en montagne en particulier et prépare même une nouvelle course pour 2012. Et Gary Devine qui détenait le record prend une 3ème place bien méritée. Chez les filles la donne est identique, Emmanuelle Brothier Mouret , elle aussi en préparation de la diagonale des fous, et du prochain championnat de France de sky running sur le toit de l’Ariège est venue tester sa forme sans vouloir se griller et valide un 50'02 qui est le 3ème meilleur temps de la Pujada en 10 ans, derrière Karine Malabre 47'45 en 2006 et Rachel Cedraoui 48'07 EN 2010. Pour la 2ème place, on découvre une anglaise Sweeney Nicola sous les couleurs du club de Pudsey Bramley amenée par Gary et Stéphanie Montero, la couseranaise (peut être un peut fatiguée), prend la 3ème place ce qui lui permet de rester en tête du challenge des vallées d'Ax. Les enfants s’en sont donnés à cœur joie avec une nouvelle version de course “animation” , ni dossard, ni certificat médical, ni podium mais avec la même récompense pour tous et surtout le plaisir pris et donné ce qui est le principal. Notons une petite anecdote rigolote : les cartons des récompenses sont partis à Toulouse dans un autre véhicule... elles seront envoyées par la poste !
Peu de monde pour la montée du Plat d'Adet depuis Saint-Lary. C'est pourtant une classique dans les Pyrénées qui se déroule depuis des années et des années, mais il est vrai que nous sommes en pleines vacances aussi... Bref ils ne furent pas même cent sur la course à partir à l'assaut de la terrible montée. Voici le descriptif du parcours pour mieux comprendre de quoi il en retourne. "Deux départs sont proposés pour les marcheurs, puis 30mn plus tard pour les coureurs. La course est « neutralisée » derrière la voiture ouvreuses durant toute la traversée de Saint-Lary depuis l'Office du Tourisme jusqu'à l'hôtel Mercure. Ensuite les sportifs sont libérés : traversée des villages de Vignec et de Soulan puis arrivée au bout d'une douzaine de kilomètres d'asphalte au Pla d'Adet 800m plus haut. Plusieurs ravitaillements tenus par les bénévoles du comité des Fêtes de Saint-Lary Soulan seront là pour assister les compétiteurs". Cette année les copains du club des Escops d'Azun, qui organisaient, il n'y a pas si longtemps leur manche de coupe de France de montagne, n'ont pas fait dans la demi-mesure. Yves Mondot l'emporte en 50'37'' et derrière lui Philippe Lanne, premier vétéran, est à moins d'une minute. Ces deux-là seront donc hyper prêts pour les frances de Montagne qui ont lieu dans huit jours maintenant. Julien Jorro complète le podium. Chez les féminines, Jocelyne Pauly gagne en 1h02'.
Bon quatrième, c'est la plus mauvaise comme on dit. Mais si Violène Averous du CA Balma était si déçue, une fois sa course terminée, ce n'était pas tant pour sa place, qui reflête tout de même fidèlement sa position dans la hierarchie nationale actuellement, mais bien pour la manière dont s'est disputée sa finale du 10000m marche. En effet l'épreuve, programmée en lever de rideau d'une longue journée d'athlétisme, à 9h juste avant la grosse chaleur, est emballée immédiatement par Sylwia Korzeniowska, future championne de France et Christine Guinaudeau. Emilie Menuet est déjà décorchée et Violène déjà quatrième, à quelques encablures. Les écarts ne cessent de croître. Et à mi-course, tout semble déjà joué. Violène a plus de 30'' de retard sur la troisième... Adieu la médaille. Mais en marche, plus qu'ailleurs sûrement, tout peut arriver et Emilie se voit attribuer deux cartons en quelques centaines de mètres. Elle n'a plus le droit à l'erreur. Au troisième, c'est lexclusion ! Elle décide donc d'attendre la quatrième. Violène prend alors les commandes et reste troisième, médaille de bronze, un bon moment donc... Emilie ronge son frein et attend les 4 derniers tours pour repartir de plus belle... Violène manque le coche pour quelques secondes donc. Mais pouvait-il en être autrement. la hierarchie est respectée... En attendant Christophe Lemaître qui va enflammer la fin de cette journée du vendredi sur la piste d'Albi, le grand moment de ces championnats aura bien lieu en matinée. Car juste après les féminines, c'est au tour des hommes de s'élancer sur le 10000m marche. Et là c'est le grand Monsieur de l'athlétisme français, Yohan Diniz qui entre en lice. Parti seul en tête dès le coup de pétard, il va maitenir sa cadence jusqu'au bout, toujours au-dessus des 15 km/h, ne jamais faiblir et porté par tout le public albigeois, qu'il remercira grandement juste après, aller checher record mondial de l'année. Appelé donc meilleure performance mondiale. En 38'44'', il lui met même six secondes dans la vue. C'est sûr notre homme est en forme pour les mondiaux fin août en Corée... Et dans l'après-midi donc Christophe Lemaître battra également son record de France en 9'92" sur 100m. 
Albi vit au rythme des championnats de France d'athlétisme et cela se ressent jusque dans la veille ville même où on a pu voir que les champions athlètes n'hésitent pas à venir se balader et même signer des autographes, une fois les épreuves terminées du côté du Stadium. Au niveau de l'applaudimètre, Christophe Lemaître était de loin le premier et le plus reconnu... Jeudi soir en tout cas, c'était le début des festivités et on aura pu assister d'emblée à des finales fort intéressantes avec les 5000 mètres, masculins et féminines, les relais 4x100m et le 3000 steeple féminin. Ainsi les coureurs du CA Balma étaient de la fête. Sophie Duarte, déjà trois fois titrée sur la distance, remportait de nouveau la couronne et de belle manière. Sur le 5000m, Sébastien Beltran, qualifié de justesse, s'arrachait pour finalement finir à la 9ème place. Pas si mal. Mais on aura aussi assiter à la superbe victoire de Christelle Daunay sur 5000m ou encore à la démonstration en ligne droite de Christophe Lemaître. Lâché comme un boulet... Vendredi est consacré à la marche avec aussi une Balmanaise en lice, Violène Averous, et également un autre champion du nom de Diniz.
Cette seizième édition a réuni 80 concurrents, un chiffre similaire à celui de l’année dernière, ce qui est un excellent cru au vu des conditions météorologiques du moment. La météo était en effet assez mitigée, avec une température de 0° à l’arrivée le matin à 8 h et une brume accrochée aux sommets. L’humidité ambiante rendait encore plus difficile l’ascension finale. Côté sportif, Gary Devine, récidive et remporte l’épreuve pour la troisième année consécutive, en 1 h 35 mn 4 s devant Laurent Brossard et Romain De Stofflet, un podium purement Ariégeois. Mention particulière à Romain, encore junior, qui réalise un excellent Chrono et qui se positionne certainement comme un coureur d’avenir, peut être comme un certain Rabat qui a également fait ses gammes sur la dent il y a quelques années en arrière. Chez les Dames, c’est Stéphanie Montéro qui l’emporte en 2 h 11 mn devant Jeanne Willette et Bernadette Mauzat. Coureurs et organisateurs se sont ensuite rassemblés au relais montagnard pour le verre de l’amitié, la traditionnelle remise des prix, puis pour un succulent repas campagnard réconfort indispensable pour tous après de tels efforts. Le foyer Léo Lagrange d’Orlu, organisateur de cette épreuve, tient vivement à remercier les partenaires incontournables au déroulement de cette manifestation :
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Mais quelle organisation, quel spectacle et quelle épreuve ! On pourrait en dire encore beaucoup, mais ce duathlon du Val d’Aran a vraiment été une véritable réussite. Parlons d’abord des meilleurs, Pascal Sancho et tous ses bénévoles, que ce soit aux inscriptions, sur le parcours ou à la gestion, tous ont été supers. La nouvelle formule avec au choix une version CD et une version LD a rameuté les troupes … au délà des 220 inscrits, une belle réussite donc. On a du mal à croire que les rumeurs (de plus en plus confirmées) disant qu’il s’agisse de la dernière édition puissent être vraies. 
C’est à Anla, un petit village dans la vallée de la Barousse (à peine à quelques kilomètres de Montréjeau) que le trophée de la Barousse a eu lieu en ce samedi matin. On ne peut pas dire qu’il y avait foule et pourtant Valérie Fortassin et sa troupe de joyeux bénévoles avaient tout prévu pour vous accueillir avec entre autres 2 programmes pour se dégourdir : 1 boucle de 8,5km assez vallonnée à faire une ou deux fois … suivant l’envie donc … en version course à pied ou bien en marche. Ils furent en tout une soixantaine à se déplacer et à profiter du joli parcours proposé et de l’organisation bien ficelée (voiture ouvreuse, ravito, kilométrage marqué au sol, supporteur locaux en folie, voiture balai). Finalement les 2 tiercés gagnants du jour seront Miquel, Dupuy, Sivet pour le 8,5km et Cruchet, Juste, Bielle pour le 17km, avec la clef entre autre des weekends Balnéo, vins et autres surprises pour les appelés au podium. Et même les marcheurs les plus rapides seront récompensés. Une petite course qui mérite donc que l’on parle d’elle et connaisse un plus grand succès pour les prochaines éditions. Vous êtes désormais informés que le trophée de la Barousse est une bien belle course.
C'est finalement sous un beau soleil, du moins au-dessus de 2000m, que s'est déroulée le trail du Vignemale qui a réuni plus de 450 coureurs sur la ligne de départ. Julien Jorro et Bruno Bareilles, n'ont finalement pas pris le départ, ils ont préféré faire une course d'entrainement en faisant le parcours dans le sens inverse, ce qui a permi aux coureurs de les croiser sur la course. Guillaume Beauxis, remporte l'épreuve dans un temps canon de 3h46, devant Christophe Cazeaux 3h53'11 et Maxime Cazajous 4h00'30. Chez les féminines, Sandrine Prisse, réitère une nouvelle victoire en 4h49'25, Céline Ringeval prend la seconde place en 5h12'48 et Agnès Francatel complète le podium en 5h31'02. 
Cela fait déjà 17 victoires. Et oui. Que le temps passe vite et pourtant nous n'en sommes encore qu'en milieu d'année. Quand vous disez que Nicolas Fernandez est l'homme costaud de la région... Après sa fabuleuse victoire à la Corrida, main dans la main certes avec Cédric Pélissier, mais en passant tout de même sous les 30' pour la première fois de sa vie sur cette distance mythique des 10km, Nicolas est allé du côté de Soucirac dans le Lot pour se dégourdir un peu les jambes. Sur la course intitulée donc "Sur les Traces de Napoléon", il réalise un super chrono de 51' sur les 15,3 km du parcours pas vraiment plat. Fred Courrèges, son dauphin du jour, qui n'est pas n'importe qui tout de même dans le milieu du trail et qui venait spécialement de Bouliac, est à sept minutes. Ils étaient en tout 120 à s'élancer sur les deux distances. On note que Thierry Merland, l'Agenais qui aime bien venir dans notre région de temps en temps, l'emporte sur le 7,8 km devant Jean-Michel Lopez.... Mais où va s'arrêter Nicolas? Quelle est sa marge de progression encore? Lui qui a signé dernièrement chez I-Run... Telles sont des questions intéressantes... A suivre donc avec attention.
Ce n'était pas la foule du côté de Séverac L'Eglise en ce week-end des 16 et 17 juillet. Il est vrai que le dimanche, comme l'explique Marc Membrado, l'un des organisateurs, n'était pas des plus ensoleillés... "Il faut faire avec, heureusement que le samedi a été top. Cela nous a permis d'accueillir et surtout de lancer huit joélettes sur le parcours et c'était bien notre objectif premier. Que les handicapés puivent profiter pleinement de la course et vivre des moments inoubliables comme tout un chacun..." Pour cela le contrat d'Action 12 a bel et bien été rempli... Ensuite sur les trois distances proposées, un 50 et un 23 le samedi et puis le 14,5 km le dimanche matin (le fameux Tour du Causse ouvert aussi aux VTT), il y avait sûrement un peu moins de coureurs que d'habitude. 35 sur le long, 75 sur le moyen et une trentaine sur le court. Mais bien sûr, Thomas Saint-Girons qui avait promis de revenir, lui qui était déjà venu sur l'Ultra Trans Aubrac, et qui était en quelque sorte le parrain de la course, s'est fait un plaisir de remporter la longue distance. En 5h04', il n'a pas non plus fait semblant, comme on dit, tant on sait que le parcours est difficile et accidenté. Il devance Robert Bonnefous de près d'une demi-heure. Christine Deltour est première féminine. Sur le 23 km, Olivier Carpe, l'habitué des lieux, n'est que cinquième cette fois... Devant c'est Nicolas Cantagrel qui fait la loi devant Christophe Conroih, là-aussi les records sont tombés. Céline Bosc a été la plus véloce et enfin sur le Tour du Causse, Stéphane Py devance Wilfrid Bilot et Delphine Py-Bilot l'emporte en féminines. C'était donc une affaire de famille... On notera aussi que c'était le dixième anniversaire de la l'épreuve et qu'elle reste toujours aussi conviviale avec le repas traditionnel d'après-course et l'accueil maison au camping du coin...
Que diable venais-je faire dans cette galère ? En Andalousie, il fait tellement chaud et le descriptif de l’épreuve ne laissait aucune place à l’aléatoire. L’ultra trail andalou est une des courses les plus difficiles au monde. Il me fallait bouger, découvrir, faire ce voyage, courir, tout couvrir. Un besoin d’évasion, une insatiable recherche de sensations, de ressentis. Au quotidien, vie familiale et vie professionnelle m’avaient épuisé et j’arrivais sur le site las de mes habitudes. Comme beaucoup, je venais chercher ici un exutoire, une rupture avec la monotonie de mes habitudes. Je cherchais à évacuer les tumultes rencontrés, les émois, toute cette vie stressante. Comme beaucoup. Depuis quelque temps, l’âge allant, mon corps ne semblait plus aussi bien répondre aux différentes sollicitations physiques que je lui impose peut-être trop fréquemment. En arrivant à Malaga, je ne savais pas si j’allais réussir à en repartir en étant toujours le même. Pas facile. J’étais engagé depuis plusieurs semaines et je m’efforçais à relever le défi. L’effort allait être conséquent. J’étais venu me tester. J’avais une petite idée de ce qui m’attendait. J’étais loin du compte. Pour l’heure, il me fallait surmonter l’appréhension, me surpasser, prouver une fois de plus à mes artères que force et volonté peuvent transcender le bonhomme, le faire vibrer et lui prouver qu’il est bien vivant. Al andalu ultra trail. Un dépassement au bout de soi-même, pour soi-même, pas pour les autres. Seuls les initiés peuvent comprendre qu’on puisse tant se réjouir à repousser toujours plus loin les limites de son organisme. Et au-delà de cette transcendance avec ses pulsions les plus intimes, livré à sa propre inconscience, à la recherche de son moi, je me suis plu à découvrir aussi les autres. 
Michelle et son ami Keem, sont les garants du projet. Que de noms pourrait-on encore citer. Une entreprise organisatrice en partie familiale composée de proches, de volontaires, un staff anglo-américain venu en partie immigrer la contrée, tant de volontaires disponibles, avenants, compétents, mesurant l’ampleur de l’effort à fournir, ont su cadrer et protéger mentalement et médicalement les coureurs et l’intégrité de l’épreuve. Du top international. Soixante sept ultra fondus de vingt trois nationalités différentes, issus des cinq continents, auront pris cette année le départ, un tiers composé de féminines. Plusieurs d’entre eux ont déjà vécu les premières éditions et sont revenus. Un jour, à Babel, Dieu reprocha aux hommes leur mécréance et les divisa pour les punir, en instaurant les langues. Ainsi pensa-t-il, ne durent-ils plus se comprendre. Le temps d’un trail, là où chacun a du seul puiser dans son mental, dans son for intérieur, au plus profond de son individualité pour parvenir à couvrir l’incommensurable difficulté de l’épreuve, chacun est redevenu cinq jours durant citoyen du monde, altruiste, oubliant origines et clivages, solidaire de l’autre dans l’effort, l’encourageant, le félicitant, donnant à autrui ce qu’il était initialement venu chercher. Une dimension humaine, un rassemblement, une communion. Américains, Canadiens, Britanniques, Allemands, Néerlandais, Islandais, Libanais… La liste est longue. Parmi tous ces hommes, comment distinguer la dizaine de Français qui, sous la houlette de Gérard Verdenet, agent mandaté de l’épreuve, étaient au départ ? Des coureurs parmi les autres. Une équipe pour un seul esprit. La french dream team. Des vieux routards venus renouveler leur confiance en Gérard qui, tout au long de l’année, distille paternellement ses services sur des épreuves courues aux quatre coins de la planète. D’autres, plus néophytes ou plus timorés ont eu raison de s’appuyer sur son expérience pour essayer une première fois un tel challenge, et le réussir. Tous seront repartis sans que le chant du coq ne leur manque, sans cocorico de quatorze juillet. Tous repartiront enchantés, repus, fourbus, fiers d’eux-mêmes, satisfaits d’avoir tout donné, convaincus d’être avant tout des runners of the world, des citoyens du monde unis aux autres, aux voisins, par la passion commune qui anime chacun d’entre eux. 
Cette année, la grosse sensation sur le trail de Meyronne est venue de la présence de Thierry Breuil, tout jusre rentré du championnat du Monde d'Irlande, où il était un peu en retrait par rapport à d'autres expériences antérieures du même ordre. Aussi sur le 40km, il n'a pas eu à forcer son talent pour l'emporter bien sûr... En tout et pour tout, ce sont pas moins de 200 coureurs qui se sont donc retrouvés à Meyrone, dans le Lot, pur participer à une nouvelle manche du challenge vert du 
département. Lydia Massalve gagne le 40 où seulement trente courageux sont allés au bout. Christophe De Barros s'impose sur le 20 ainsi que Sophie Veyssière. Mais c'est sur le 10km, que le spectacle fut vraiment à son apogée. En effet Dimitri Szymanski et David Marty arriveront ensemble en 45'49'' et derrière eux à dix secondes seulement, Thierry Lonzième et Francis Robert finissent aussi dans le même chrono. Ce fut donc très chaud. Genéviève Nastory complète ce palmarès 2011. Le mot de la fin pour les organisateurs : "
L'Andorra Ultra Trail est devenu en trois années une épreuve mythique en France. Cette année ils étaient tout de même plus de 1200 à s'être inscrit sur une des distances proposées. Soit la Ronde des Cîmes partie à 8h du matin le vendredi pour 170 km, soit l'Ultra Mitic pour 112 km parti lui le vendredi soir à 23h, tout comme d'ailleurs l'Ultra Initiatic et ses 103 km, soit enfin le Trail tout simple et ses 35 km dont le départ était donné le samedi à 9h du col de la botella (la bouteille à plus de 2000m d'altitude)... Un sacré programme en vérité qui aura intéressé également bon nombre de coureurs de la région midi-pyrénées. On ne les citera pas tous, mais on aura noté Alain Malion de Fonsegrives qui n'a raté aucune édition, Christophe Muraton du SATUC, Bruno Bareille de Tarbes, mais aussi bon nombrs de nos amis aquitains avec entre autres quelques boulicais eu-aussi habitués... On retiendra donc pour faire court que Miguel Heras, deuxième l'an passé derière Chrorier, et qui cette fois avait opté pour la très longue distance, s'impose de belle maniière. Jamais inquiété en vérité. Sur le Mitic, Bruno Bareiles, qui avouait pourtant chercher en ce moment un second souffle a fait très fort. Sur l'Initiatic enfin, Sébastien Buffard a aussi été impérial alors que Patrick Etcheverry, le basque volant, finit troisième. Mais bien sûr, l'organisation a encore une fois surpris tous les participants, elle a été sans faille sous la houlette des époux, Gérard et Valérie Martinez, deux passionnés de montagne, bien aidés il est vrai par 265 bénévoles qui se sont démenés durant un week-end long... très long même !
C’était la fête ce matin du coté de Saint André, ou plutôt à Lilhac. Entre la 2nde édition du Trail de St André et le passage du Tour de France, la population de ce petit hameau a certainement doublé pour l’occasion.
C’est depuis le village d’Arrens-Marsous qu’a été lancé les Crêtes du Soulor, manche de la coupe de France des courses de Montagne, et organisés par les Esclops d’Azun … 150 aventuriers au départ, soit une belle progression de 50% par rapport à l’an passé et pourtant les conditions météos sont des plus timorées en ce dimanche matin : Ciel gris et bouché.
Brassac, c'est la village de Maxime Durand. Maxime, vous connaissez non? Depuis le temps qu'on vous en parle à Running Mag. En fait c'est tout simplement l'un des meilleurs traileurs actuels en France. Et encore dommage qu'il ait eu quelques soucis physiques en début d'année, sans cela, il aurait sûrement été pas loin de la tête du TTN cette année... Bref il fait partie, aussi, du club des Galopins Brassagais, cher aussi à notre ami, Mickaël Rouannet de 100%, la radio de la région, et comme chaque année, ils organisent la Ronde Forestière. C'est une occasion de faire la fête au village avec aligot-saucisses après l'épreuve et une bandas qui anime tout cela dans le Parc du Château. Mais ce sont pas moins de 160 coureurs qui se sont retrouvés sur le difficile parcours de 13km et non des moindres avec tout de même au départ, Damien Vierdet et Samuel Daumur... Bref Maxime s'est une nouvelle fois montré irresistible. Il met 47' au compteur et Damien à une minute. Samuel monte sur le podium et Thierry Augade est bon quatrième... 
"Que dire de cette deuxième édition du Trophée Galy? Ils étaient 25 en 2010 et là ils furent 38 cette année avec un renouvellement de 33 coureurs... Ce n'est pas énorme et cela nous emmène une nouvelle fois à réfléchir sur la pertinence de certaines dates et de certaines épreuves aussi... Le Trophée en tout cas est une course à la découverte de Luzenac et ses environs avec un parcours agréable avec une descente très technique. Gary Devine récidive et Stéphanie Montéro est tout simplement en pleine forme..." C'est donc une nouvelle fois Patrick Anné qui nous donne son avis éclairé en spectateur averti. Peut-être tout simplement le dénivelé annoncé de 900 mètres positifs en a-t-il refroidi pas mal. C'est vrai que sur une aussi courte distance, ça peut faire peur. Allez savoir... 
La météo était au rendez-vous du côté du Lac de Thésauque juste à côté de Nailloux aux portes du Lauragais. Il a même fait chaud, très chaud même... Pourtant cela n'a pas fait peur à plus de 400 coureurs venus d'un peu partout en France. Il est vrai que le programme était pour le moins alléchant, tout du moins original. Ainsi vers 13h30, après un sprint qui a regoupé près de 200 concurrents et des courses pour enfants, chères à Michel Serradell président de la ligue, toujours prêt à prêter main forte comme bénévole, était lancé un Half Marathon par équipes. Quesako? Et bien tout simplement, c'est la moitié d'un ironman en distances. Donc 1,9 km dans le lac en natation, 86 km en vélo sur un parcours plutôt valonné et pour finir 21 km de course à pied pas faciles non plus. Bref un programme de costauds qui devait donc s'effectuer en équipes. Cinq maximum pour fomer un team mais surtout trois à l'arrivée quoiqu'il arrive pour être classé... Ainsi elles seront près de 40 équipes à avoir pris un dossard. Beau succès donc pour cette première ! Sur le sprint, c'est à la surprise générale, Pierre-Lo Viguier qui s'impose. Et oui, ce dernier, en pleine préparation pour les championnats de France de course de montagne, n'a pas résisté à la tentation, lui qui était tout de même, il n'y a pas si longtemps un des meilleurs duathlètes français. Il l'emporte assez facilement, grâce à ses qualités de coureur à pied tout de même, devant Adrien Vives et Tommy Douziech... Sur l'épreuve par équipes, il faudra attendre tard dans la soirée pour connaître le classement complet. Des formations, en vacances de passage, étaient venues de Dijon, d'Arles, bref de partout... Mais c'est finalement Fontenay Tri qui s'impose facilement devant la Rochelle. Avec un quart d'heure d'avance. Bravo au TOAC pour cette superbe organisation. Irréprochable !
Les français ont brillé ce samedi en Irlande où étaient organisés les championnats du monde de Trail. Après Thomas Lorblanchet en 2009 à Serre Chevalier, c'est un autre Français qui s'impose, Erick Clavery du team Asics et cela devant plus de 130 sélectionnés. Patrick Bringer, prend la 3è place et Thierry Breuil du team adidas prend la 7è place. Chez les féminines, l'impressionnante Maud Gobert (team adidas) remporte la course, Aurélia Truel prend la 4è place et Laurence Klein, la 6è. Manu Gault, ne prend que la 27è place, certainement une grosse déception pour lui.
Mecredi soir à 19h dans les locaux du Crédit Agricole 31, place Jeanne d'Arc, tous les partenaires et organisateurs de la Corrida Crédit Agricole 31 étaient réunis pour un pot de l'amitié, désormais traditionnel. Car il s'agissait tout simplement de remettre un chèque aux associations soutenues par l'épreuve, à savoir, ELA et les Greffés de Moëlle Osseuse. Et c'est finalement 3000 euros de plus que l'an passé qui auront été remis, soit 15000 euros en tout, à se partager à deux donc entre les associations... Serge Lévy et Philippe Dürr présidaient comme il se doit la séance et tout le monde revenait ainsi sur le fabuleux succès rencontré cette année par la Corrida. Cela mettait du beaume au coeur de tous et surtout des quelques bénévoles présents. La réunion permettait également de récompenser les entreprises qui s'étaient donc inscrites par équipes de cinq classés... Une nouvelle fois Airbus l'emporte. Il tarde donc déjà d'être en 2012 pour la 13ème édition. On n'ose imaginer le nombre de concurrents qu'il y aura... Prenons les paris !
Les courses se suivent et se ressemblent un peu en Ariège actuellement. Avec pas énormément de monde et donc quelques locaux qui se font la part belle... Hubert Besnier, organisateur de la Biroussanne, beau tour de 19 km dans la montagne de Sentein, nous disait sa déception d'accueillir aussi peu de monde dans son fief. Ils étaient en effet moins de cent à s'élancer. Dommage car c'était aussi la fête du village ariégeois et de nombreuses animations étaient prévues pour le plaisir de tous. En tout cas Carlos Dos Santos n'a pas laissé planer le doute, il s'envole en 1h25' suivi à trois minutes de Eric Destrade. Dos Santos, Manuel cette fois, complète le podium et Bénédicte Ségurey l'emporte chez les féminines.... Vivement donc le Tour du Biros, sur bitume cette fois avec ses 17km, prévu lui le 7 août. On y sera !
pouvait annoncer tout souriant que la barre des 2000 concurrentes serait dépassée. C'est donc une marée verte (et oui la couleur change aussi!) qui s'élance de la place du Capitole pour rejoindre les quais de la Daurade après un petit tour par la place Saint-Pierre. Deux boucles ou une seule au programme pour quatre ou huit kilomètres. On retiendra surtout qu'Houria Fréchou s'impose à nouveau et reste bien la reine de Toulouse. Même si elle court un peu moins qu'avant, il est toujours difficile de la titiller. Surtout que Nawal Pinna, son amie, n'était pas de la partie... Carine Grand prend la deuxième place sur le 8km après avoir suivi le rythme durant presqu'un tour de même. Sur le 4km, c'est la jeune du SATUC, Emilie Kbalo qui s'impose devant Nassera Dheily, qui elle, avait déjà gagné le 3km deux jours plus tôt donc... Mais bien sûr la fête était loin d'être finie. Car entre échauffement collectif, course des pitchouns et restauration rapide, tout était largement prévu pour que ce rendez-vous reste inoubliable à toutes.... et à tous, pourrait-on conclure car on n'aura pu constater qu'ils furent aussi très nombreux à s'être déguisés pour la circosntance. Certains semblaient même y prendre du plaisir. Et oui, et oui !
Extraordinaire. Incroyable. De la folie. Les adjectifs manquent maintenant pour qualifier cette 12ème Corrida Crédit Agricole Toulouse 31. Tous les ingrédients étaient réunis pour que la sauce prenne, pour que tous les efforts de l'équipe de Serge Lévy et Philippe Dürr soient récompensés, mais de là à imaginez que le record de participants volerait en éclat de la sorte. Il y avait un fossé. Imaginez tout de même 2400 inscrits sur le 10km et 400 sur le 3 km. C'est tout simplement prodigieux. A croire que les Toulousains se sont donnés le mot et aiment de plus en plus la course. En tout cas l'idée de revenir en plein centre ville, au Capitole donc, a fait mouche. L'an dernier ce fut un coup d'essai après un an d'arrêt, cette fois ce fut grandiose. La météo était aussi de la partie. Et même les champions régionaux ont fait le déplacement. Bref on se répète : tout y était ! Sur le 3km, 
c'est Stéphane Rmoréo, troisième l'an passé, et Nassera Dheily qui s'imposent. Sur le 10km, la tension était palpable avant le coup de pistolet libérateur. Nicolas Fernandez était venu défendre son titre, mais cette fois Cédric Pélissier en personne avait répondu à l'invitation toulousaine. Le spectacle fut de toute beauté, d'autant plus que Benjamin Bellamy était également de la partie. Cédric et Nicolas termineront finalement main dans la main. Comme un symbole sur cette épreuve qui se veut avant tout festive et conviviale. Mais le chrono est bien là pour nous rappeler que c'est allé très vite et que c'était aussi de la haute compétition. 29'47'' pour tous les deux. C'est la première fois que Nicolas descend sous les 30'... Même si on peut toujours épiloguer sur la distance réelle... Florence Longuemart, elle aussi habituée des épreuves toulousaines, déjà 3ème du dernier marathon, l'emporte en 38'24'', toute droit venu de Narbonne... Mais mon Dieu que c'est beau de courir à la tombée de la nuit dans les rues toulousaines. Surtout quand elles sont toutes offertes aux coureurs....
Deux épreuves avaient lieu le même jour en Ariège et c'était ce dimanche avec la Lujatois en matinée et puis la Bastidienne en après-midi. Très peu de monde étaient présents sur l'une comme sur l'autre des épreuves. Patrick Anné, animateur des deux courses, revenait sur le fait qu'elles étaient certainement mal placées dans le calendrier départemental. "Ici c'est le week-end de l'Ariégeoise et tout le monde ne parle que de ça. Bref la plupart des coureurs y vont même et tentent une des distances de la cyclo... Et du coup, il n'y a plus personne pour venir courir le dimanche. D'autant plus qu'il faisait tout de même hyper chaud dans l'après-midi sur la Bastidienne." Mais bon les deux villages, que ce soit Ornolac ou la Bastide de Séron veulent absolument maintenir le rendez-vous et donc se satisfassent du nombre assez faible de coureurs. Disons que ça serait mieux d'atteindre la centaine de concurrents plutôt que de "planter" là à une cinquantaine. Sur la Lujatoise en tout cas, on a retrouvé Carlos Dos Santos qui a dpu batailler ferme pour contenir les assauts du junior Romain De Stoffler décidément très en vue. Vanessa Huot Marchand complète le palmarès. Sur la Bastidienne, on a vu avec plaisir Stéphane Sanchez repointer le bout de son nez. Lui qui affectionne particulièrement les courses de Sentein, revient donc en belle forme. Anne Sénéchal est première féminine. Pourvu que ces deux petites épreuves ne disparaissent pas tout de même...
Prenez une grosse journée d'été, de celle où il fait plus de 30°C à l'ombre et attendez que le bitume soit bien collant, sur le coup dès 18h donc, pour lâcher plus de 200 coureurs avides d'en découdre, lancés à l'assaut de Rodez comme ils ne l'avaient jamais vu... En effet la Montée Piton est une épreuve un peu particulière qui se court donc en semi-nocturne (si l'on peut dire puisqu'avec un départ à 18h, personne n'arriver de nuit qu'on se rassure), mais en tout cas en milieu urbain donc comme c'est peu la mode actuellement. On pense notamment à celui d'Albi...qui a eu lieu le mois d'avant ! Aussi sur les 23km proposés, deux possibilités: le faire en individuels ou en relais par équipes de trois. Danc cette mouture, le CPLP Intersport a été vraiment intouchable. Il est vrai qu'avec les Cantagrel, Vacquier et autre Vidal, la formation était difficile à battre. En individuels, même si ils n'étaient qu'une soixantaine de courageux, à s'attaquer aux 792 marches du parcours, et bien c'est Nicolas Teffo qui s'impose devant Benoît Dunet... Vivement la troisième édition donc... peut-être un peu plus fraîche tout de même ! 
Bon d'accord, ce n'était pas non plus la foule du côté de Preignan en ce samedi soir. La grosse chaleur obligeait même les organisateurs à reculer le départ d'une heure. Mais bon à 19h, il ne faisait tout de même très froid... Aussi ils furent simplement une cinquantaine sur le 13,5 km et même pas vingt sur le 6 km. On notera donc les victoires d'Henryk Sobinski, un peu esseulé il est vrai, devant un volontaire Philippe Broyer qui était dès le lendemain dans l'organisation du Trailohunet des Filhols. Et de Philippe Grillet, le V2 flamboyant, qui gagne encore une fois donc... La famille Bastion s'imposent donc sur les distances avec d'un côté Marie (sur le 6) et de l'autre Delphine...
Lui, c'est vraiment l'un des hommes forts de cette saison 2011. Damien Bévenot, le Montalbanais, qui vient tout juste de déménager à Valence d'Agen, a fini 2ème lors de la course de l'Espace de vendredi soir et il a remis donc ça, et de belle maniière, dimanche matin au Trailhounet des Filhols juste à côté de Villemur sur Tarn. Lui qui nous expliquait être en pleine période de récup, n'a pas fait dans la dentelle. Il s'est fait la belle dans les nombreuses montées du parcours pour ne plus jamais être revu... Jérôme Amathieu, du Team Running Olivan, pourtant donné par beaucoup comme favori, n'a pu que limiter les dégâts. Il finit 2ème, mais à 2 minutes. Nicolas Miquel est bon 3ème, après avoir doublé Laurent Redon sur la fin, et surtout à peine rentré de l'Ariégeoise en vélo (une cyclo de 180 km disputée le samedi !). Côté féminine, Corinne Degois s'impose, suivie de près par Erika Sallet, jeune triathlète du Toulouse Tri ... Sur le relai, c'est la formation du CA Balma, le couple Laurent et Anne Delugin qui gagne assez facilement devant la paire Sautter-Jégard. On retiendra surtout la superbe organisation de Marc Boyer et de ses Groulos Longagnos... Apéro géant, bière offerte, grillades dans la foulée, remise des prix à rallonge, pas étonnant donc qu'il fasse le plein avec en tout pas loin de 300 inscrits. De toute façon, il n'en voulait pas plus ! Le quota est atteint pour préserver la convivialité du moment et du lieu... Il parle déjà pour 2012 d'une distance plus longue en plus du toujours très difficile 10km... Plein de petites montées et sous un "cagnard" de folie. Comme d'hab quoi !
La 3ème édition de la Mérinos s'est déroulée vendredi 24 juin avec des conditons météos idéales. Sur un tout nouveau parcours, ce sont 177 partants qui se sont élancés à 20h00, et Laurent Maurel de Carmaux (33'38) remporte devant Kader Mamou d'Aussillon(34'04) et Philippe Galaup (35'24) ses 10 km de la Mérinos. Chez les féminines, Marlène Privé Mosso (41'23) franchit la ligne la première devant Aurore Bonafous et Audrey Catie. La course des As a été précédé d'un parcours enfant, ou 100 bambins se sont défoulés dans le Jardin des Promenades. Le Challenge de la Mérinos quand a lui a été remporté par le Comité d'Animation de Roquerlan qui gardera le précieux Trophée une année. La Ville de Mazamet remercie chaleureusement les bénévoles et les partenaires de la course. 
Les Jeux mondiaux des transplantés ont lieu tous les deux ans. Ils se sont déroulés cette année à Göteborg en Suède du 17 au 24 juin.Ouverts à tous les greffés (cœur, foie, poumon, rein et moelle osseuse), ils ont réuni plus de 1500 participants de 54 pays. La délégation française était composée de 65 membres et parmi eux notre ami Serge Lévy. Serge, qui avait subi en octobre dernier, une deuxième allo greffe de moelle osseuse avec son frère comme donneur, n’avait pu s’entraîner en raison d’un virus qui le tenaillait depuis plus de quatre mois. Néanmoins, il tenait à être présent à cet objectif qu’il s’était fixé depuis les Jeux européens de Dublin, l’an dernier.Sur le 5 km sur route, sur un parcours extrêmement valonné tracé dans un splendide parc, il prenait une belle 4ème place à quelques secondes d’un anglais.Ensuite, sur la piste d’athlétisme du stade de Göteborg, il s’alignait sur le 1500 mètres et réussissait à glaner une splendide médaille de bronze. Sa montée sur le podium lui procurait une joie toute compréhensive. Le lendemain, le 800 mètres lui laissait augurer d’un nouvel espoir mais le sprint ravageur d’un concurrent argentin le privait de la 3ème place pour 20 centièmes de seconde !! Aujourd’hui, son regard est tourné vers Durban en Afrique du Sud, théâtre des Jeux mondiaux en 2013. Mais, auparavant, d’autres échéances l’attendent : les Jeux nationaux à Epinal en octobre prochain et les Jeux européens à Zagreb en Croatie en juillet 2012.
C’est sous le regard bienveillant de la réplique de la fusée Ariane et au cœur même de la Cité de l’Espace que la première course de l’été s’est déroulée avec pas loin de 400 particpants.
haut la main en 36 minutes et 39s.
l'on arrive bien au milieu du village de Sentein, le départ lui est donné en contre-haut. Un bus vous y emmènera. Et oui, l'équipe d'Hubert Besnier a mis les petits plats dans les grands... Et après l'ascension d'un petit col, c'est une longue descente qu'il faut savoir gérer pour finir les quelques kilomètres de plat dans la vallée... Ensuite c'est pot de l'amitié et repas géant sur la place du village. L'accueil est fantastique. A vivre absolument. Tous les renseignements sur 
Le Trail de Montricoux dans le Tarn-et-Garonne, tout près de Montauban, a cette particularité, de proposer une épreuve conviviale et sympathique. Si cool et relax d'ailleurs que certains traileurs ont un peu de mal à s'y retrouver parfois... Mais cette année les organsiateurs avaient décidé de s'allier à une autre association dynamique du village, "le réveil occitan". Aussi durant toute la journée, ce sont plein d'événement et autres manifestations qui vont se succéder comme un vide-grenier, un bal, un apéro géant... Bref le coureurs en auront eu pour leur argent, comme on dit. Et du coup le départ était, de nouveau, reconduit du côté de la salle des fêtes et non en plein centre. Deux distances étaient proposées. Mais on notait tout de suite que le grand nombre de courses du week-end dans la région enlevait pas mal d'éléments, notamment sur le 27km où ils ne seront que 65 à s'aligner contre plus de 120 les années passées... Là c'est Grégory Caussé, du Tarn, qui s'impose en 1h57'... titillant de près le record de la course. C'est vrai que les conditions météos étaient particulièrement bonnes. Florence Guillauma est bien sûr première féminine. Sur le 13,5km, Grégory Wocjik, pompier et nouvelle recrue de Négrepelisse, gagne sans problème et Lydie Ramette fait de même sur la distance... On aura noté aussi une cinquantaine de marcheurs....
Décidément Saïd Jandari est vraiment le roi de la Créamillère et par la même un des meilleurs coureurs de montagne de sa génération. Rappelons tout de même qu'il est membre de l'équipe de France de course de Montagne et qu'il avait fini sur le podium des Europes il y a quelques années de cela... Aussi la Crémaillère, manche de coupe de France de course de montagne, a attirée une nouvelle fois la crème de la crème... 177 garçons au départ et 34 filles pour un parcours de 5,4 km avec un dénivelé positif de plus de 1100m. Saïd l'avait donc emporté l'an passé (également en 2006 et 2008) et bien il remet cela sans problème. Il devance Didiez Zago d'une vingtaine de secondes et Jérôme Fournier , le local qui revient donc au premier plan de près d'une minutes... On retiendra également que nos locaux Viguier et Fernandez finissent 9ème et 34ème... La première féminine n'est pas Lauren-Anne Doumergues, la tenante du titre, comme on aurait pu le croire... car elle était sacrée championne de France et d'Europe en 2010, mais bien Adélaïde Pantéon qui réussit une belle ascension en 50'10''... Les championnats de France de course de montagne ont lieur à Tardets cette année fin août dans les Pyrénées et ça se sent... Les coureurs vont venir de plus en plus se tester vers chez nous et c'est tant mieux !
Le 2ème Trail des Crêtes s'est donc poursuivi aujourd'hui dans des conditions météos un peu plus favorables. Grand bleu en effet sur le ST Barthélémy qui est un sommet mythique en Ariège avec un panorama à 360°, comme d'ailleurs le Mont-Fourcat. 28km étaient au programme hier, après les 16 de la veille, courus eux dans la grisaille et le froid. Peu de concurrents au départ donc... Mais laissons la parole à Patric Anné, organisateur en chef, bien aidé de toute la commune de Saint-Paul de Jarrat. "Quelle 2ème étape, un temps magnifique pour une étape exeptionnelle. Rappelons le inedite avec le Pic du St-Barthelemy jamais couru jusqu'à ce jour et seuls 43 coureurs partant sur cette étape du dimanche. Ils pourront toutefois en dire que du bien avec un paysage à 360° sur tous les Pyrénnées. On aura pu noter donc la confirmation du Réunnonais Fabrice BOYER et de la locale StéphanieMONTERO. Que du bonheur donc pour les organisetuers et bien entendu les coureurs. Bravo aux coureurs qui auront participer aux étapes 2011 !"
L’appréhension du mauvais temps n’as pas retenue les 625 participants à la 9ème édition de la course de soutien à ELA, « La Foulée Braxéenne », le dimanche 19 juin 2011, bien au contraire puisque le record en terme de participation a été battu. Courir dans le souvenir de Romain Delas, courir pour faire un pas de plus dans la lutte contre les maladies orphelines que sont les leucodystrophies, telle est la mission des 70 bénévoles, des sponsors, des partenaires, de la municipalité, de la JSB omnisports, des commerçants, des donateurs, qui depuis 
Peut-être un peu moins de monde que d'habitude du côté de Cugnaux pour la traditionnelle Corrida organisée par le Rotary. Mais ça se joue à quelques poignées de coureurs près, car entre les deux distances proposées, un 5et un 10km, il y a eu tout de même près de 400 partants... Et ceci malgré les conditions météos pas vraiment idéales, même si finalement il a plu beeaucoup moins que ce qui était prévu... En tout cas sur la petite distance, Jean Aurélien était bien le plus convaincant. Il gagne donc une nouvelle fois en 16'38'' et de son côté Emilie Kebalo l'emprte chez les féminines. Sur la distance phare, où la majorité des concurrents était inscrite, c'est Frédéric Lureau qui obtient enfin un beau petit succés. Il tournait autour cette saison après pas mal de places d'honneur. Là il réalise 33'35''. Le seul à descencre sous les 34'. Céline Tasset est première féminine en moins de 40' et quinzième tout de même au scrach... Patrick Fontvielle était au micro et enchainera dimanche avec le trail de Montricoux. Quand aux organisateurs, ils changent tous les ans... C'est le principe même de ce rendez-vous qui se finissait dans la nuit et de manière convivial avec un camion-bar qui servait à se restaurer...
Les conditions météos étaient plutôt bonnes du côté de Pinsaguel en ce samedi après-midi. Beaucoup de vent certes en bordure de Garonne, mais en tout cas pas de grosse pluie comme l'an passé pour la première édition et donc du coup moins de boue et moins de glissade. tant mieux... Ils furent donc 130 à prendre un dossard sur le 32km, qui finalement sera réduite à 30 à cause d'un agriculteur pas très heureux de voir passer des traileurs dans son champ, et 250 (le max prévu par les organisateurs donc!) sur le 13km. C'est sur cette distance que la bagarre promettait d'être la plus belle avec en favoris Thomas Galpin, Laurent Redon ou encore Nicolas Miquel... tous déjà vainqueur cette année ici ou là... Mais l'histoire s'écrira différemment. Car les quatre hommes de tête, en l'occurence Patrick Cordari, Thomas Galpin, Nicolas Miquel et Laurent Redon vont tous simplement se gourer et prendre le début du parcours en sens inverse. Ainsi le temps qu'ils s'en rendent compte et bien ils vont décider de continuer sur la lançée et Georges Amorin, le cinquième homme, ne faisant pas la même erreur va finalement retirer les marrons du feu. Il s'impose au final devant Nicolas Miquel.... Sur le long, en l'absence de Redon qui s'est donc aligné sur le court et de Thomas Moreau, deuxième l'an passé, c'est bien évidemment Sébastien Perrier du Team Running-Olivan qui prenait les faveurs des pronostics. Il ne décevra pas. Après sa deuxième place à Saint-Antonin, il prouve une nouvelle fois qu'il est bien le champion des trails du Sud-Ouest... Benoît Sentost, très en vue, ces derniers temps du Team Afum... n'est pas si loin en 3ème position ! Et l'équipe du Portet AC, avec les KIburse, Amar, Houdry, Renaud et confrères était toute heureuse du bon déroulement de cet après-midi trail, conclu comme il se doit par des moule-frites ou saucisses-frites à tire-larigot...
Pour leur deuxième édition, les organisateurs du WET Pyrénées ont rassemblé près de 120 concurrents. Le prologue de 20,5 km partait de Saint pée de Bigorre pour une arrivée à Ségus. La nocturne de 10 kms fut magique et comprenait l'ascension du Béout. Quant à la spéciale, de 24 kms, elle constituait le plat de résistance avec une longue montée au pré du Roy, suivie d'une longue descente très technique, caillouteuse, boueuse et en devers jusqu'à Saint Pée. Les concurrents avaient apporté leur tente pour le bivouac, tandis que l'organisation s'occupait de tout le reste : repas, animations. Un esprit intimiste où coureurs et organisateurs partagent tout le week end ensemble et lient des amitiés. Julien Jorro, du team Lafuma, remporte l'épreuve en 4h54'09, devant Thierry Jouis (5h17'25) et Baptise Martin (5h24'58). A noter la belle performance du 4è, qui est V3, Christian Alfieri (asptt Bordeaux), et qui boucle le circuit en 5h43'36. Chez les féminines, victoire de la bretonne Christine Saleun en 6h38'57, devant la stadiste bordelais Nathalie Wurry, qui l'avait remporté l'an passé (6h56'06). La société de L'UA Lourdes, Katia Cassan, complète le podium (7h21'52).
Bon autant vous l'avouez tout de suite, ce n'était pas la grande foule du côté d'Escatalens pour cette course dite nature de 12km. Pas même cent concurrents au départ. Pourtant les dirigeants tarn-et-garonnais qui gèrent l'épreuve depuis quelques années, se démênent tant et plus pour que l'évenement grossisse... Surement la date, plantée entre plusieurs gros événements d'importance, n'est pas idéale. En tout cas cela nous a permis d'asister à un beau geste fraticide. En effet Aurélien Jean et Wi Kauwevlaven, en vacances dans le coin, n'ont pas réussi à se départager au "mollet" comme on dit. Donc ils sont arrivés ensemble en 43'22'' tout juste. La première féminine, elle, était bien seule. Il s'agit de Sandra Urban. Espérons que cette épreuve perdure dans les années à venir. Elle le mérite vraiment !
Que retenir de cette 3e édition du 
Damien Bevenot. Au vu de leurs récentes performances et de leurs victoires qui se sont enchaînées sur des courses locales et régionales, on s'attendait à ce que ces deux-là ne se quittent pas. Et on n'a pas été déçu. En revanche, pour la 3e place, s'était plus indécis, quoiqu'on se doutait bien que Sylvain Paul, du CSM La Seyne, n'avait pas fait le déplacement depuis la région PACA pour rien. A la sortie du village, Abdel est donc en tête avec 
On avait annoncé uin peu partout la pluie pour ce samedi, et bien il n'en fut rien et une nouvelle fois la Balade de Riquet a donc été épargnée. Et c'est pas plus mal quand on sait l'intendance qui doit suivre sur ce genre d'épreuve. Tant mieux donc pour les 600 coureurs qui sont allés au bout du Canal, là-bas du côté de Béziers, ou du moins tout juste avant... En tout cas, si le Matériel de l'Armée de Terre n'a pas eu à souffrir de la concurrence et garde son titre. Ou ses titres devrons-nous dire car on ne compte plus ces victoires sur l'épreuves, pour la deuxième place, ce fut une autre paire de manche. En effet nous avions quitté l'ASEAT en belle place, la deuxième, le samedi soir, mais le Trail Nîmois d'Endurance Shop n'était pas si
loin tout de même. Et parce qu'un autre coureur (que les cinq prévus au départ) est venu prêter main fort le dimanche matin sur unes des portions du parcours et bien l'équipe a été éliminée au bout du compte. Cela a fait la joie du TACO Vétérans qui du coup, monte sur la boîte... Mais bon on retiendra donc surtout sur cette nouvelle Balade, la bonne humeur qui a régné durant tout le week-end. Et c'est bien cela qui fait toute la différence et que tout le monde l'aime cette épreuve. On a vraiment l'impression d'y vivre une aventure. Une grande !
Incroyable mais vrai. Le duel qui devait, qui aurait dû avoir lieu aux Citadelles, sur la distance de 20km, a enfin eu lieu. Et il a eu pour magnifique cadre le Tourn de la Cascade d'Ars, cher à notre ami Patrice Rieu qui donne tant et tant de sa vie et de ses forces pour sa passion la course nature dans son Ariège adorée... Aussi si ils furent près de 160 à se presser sous un beau soleil du côté d'Aulus pour gravir le col et redescendre dans la foulée sur une distance de 13,5 km, tous les yeux se braquaient bien naturellement sur deux grands favoris : Pierre-Laurent Viguier qui reste donc sur trois vcitoires sur trail ces mois-ci souvent d'ailleurs devant Gary Devine qui cette fois terminera troisième, et Maxime Durand, un des meilleurs traileurs de sa génération sur le circuit, du moins donc sur les courtes distances. Aussi c'est bien ce dernier, malgré une belle technique de Pierre-Lo en descente, à la limite souvent, qui coupera la ligne en tête en 1h16'14'' tout juste 54'' devant le Balmanais. Les autres sont beaucoup plus loin du coup. On était rarement allés aussi vite à la Cascade d'Ars... Chez les féminines, Cécile Cambus s'impose devant Stéphanie Montéro, toutes deux du Spridon du Couserans... Mais bon Dieu que le spectacle fut beau ! 
Que dire sur la Balade de Riquet qui n'est pas déjà été écrit? Pas grand chose assurèment tant cette épreuve, dans sa catégorie, est une des plus belles et importantes de France et même d'Europe. Brice, notre correspondant, n'avait pas hésité d'ailleurs en la placer en "numer one" dans son coeur et pourtant il en a vu bien d'autres... Aussi le principe, pour ceux qui ne connaitraient pas encore, est simple. Il faut ralier Toulouse à Béziers par le Canal du Midi et par équipes de 5. Chacun passant les relais à un autre et ainsi de suite. La Balade est décomposée en quatre étapes distinctes toutefois, les relais allant de 4 à 18km. Cette année 128 formations étaient au départ au Capitole. Et oui c'est une première: Christian Reina, emblématique organisateur toulousain, qui a déjà tant et tant pour la course dans la région, a réussi à obtenir l'autorisation. Le vrai départ avait lieu toutefois à 9h du côté de la Médiathèque... Puis ce fut direction le Pont de Deyme, Gardouch et Castelnaudary... C'est d'aileurs dans la cité audoise que les coureurs resteront le plus de temps. C'est la fin de la 1ère étape en effet, mais aussi la fin de la deuxième et tout le monde restait 
là samedi soir pour le repas de fête... avant la journée du dimanche. Ainsi la météo de samedi était favorable aux coureurs. Tant mieux. On retiendra que pour le moment, l'équipe du Matériel de l'Armée de Terre, tenant du titre, est largement en tête, malgré une formation un peu moins costaud que d'habitude. Laurent Baresse a bien sûr impressionné son monde. Comme d'habitude. La formation d'Endurance Shop de Nîmes a fait de la résistance toute la matinée et puis on aura aussi pu admirer les maillots jaunes de deux équipes italiennes... Et oui on vient de loin pour courir la Balade de Riquet. Pour le moment l'ASEAT de notre ami Eric Tanguy est deuxième, Nîmes Trail d'Endurance Shop troisième me et le TACO Vétérans quatrième... Pas mal d'habitués étaient de la partie comme les TACO d'Aucanville donc de Philippe Soulandon, mais aussi pas mal de têtes nouvelles que l'on ne voit qu'une fois par année... Et oui !
L
un départ hyper rapide de Laurent Maurel bien geré par Regis Lacombe et David Vaucher pour un final à 3. Presque même scenario chez les fille mais Marlène Privé garde sa couronne acquie en 2010 devant Patricia Ménnissier et Christoph Isabelle. 
5ème édition du trail des 3 pics, un trail où, en individuels ou en équipes de 3, on enchaine un par un le Paloumère, le Cagire et le pic du Gar. 3200 mètres de dénivelé positif. Fallut être sacrément courageux pour défier sur cette édition des conditions météo déplorables. 7h30 au départ, des cordes de pluie dès les premiers hectomètres. Et l’orage qui gronde. Runners on the storm. Le ciel est bouché et l’altitude n’offrira pas aujourd’hui de vues panoramiques. 189 inscriptions individuelles, 46 équipes ont ahané dans la boue, sous la douche, gravi puis dévalé aussi vite que l’eau qui ruisselle entre les pierres qui roulent les versants successifs. C’est Maxime Cazajous, transfuge du rugby et nouvel adepte à, 30 ans du trail, qui s’impose. Et de quelle manière ? En pulvérisant le record établi sur tablettes de plus de 9 minutes sans jamais perdre le sourire. Le garçon, originaire de Nay, s’offre même le luxe de passer en tête les deux premiers relais, devançant alors tous les relayeurs. Célia Trévisan était, elle, venue de Nailloux. Elle vainc sans plaisir avouera-t-elle sur la ligne, déplorant les conditions dantesques. L’équipe reine est celle du Spiridon du Couserans, David Grange, Fabien Fachin et Manuel Dos Santos. Beaucoup d’abandons mais une organisation hors normes, maintenant rôdée. L’année dernière, l’avait fallu vaincre le chaud. Cette année ce fut mouillé. Les tambours des lave-linge vont rouler jusqu’à demain. N’en déplaisent aux ménagères, courir, ce fut aussi aujourd’hui se salir.
Le Trail des 3 Rocs s'est disputé jeudi matin sous une température idéale et sans pluie, même si la veille et durant toute la nuit, une petite bruine avait eu le bon goût de mouiller le sentier et les rochers. Finalement ce sont 80 équipes de deux et près de 140 indivdiuels qui se sont retrouvés pour cette nouvelle manche des Trails du Sud-Ouest. Le premier tronçon de 15 kilomètres, permettait et c'est une nouveauté, aux coureurs de faire le tour du village et d'être encouragés par quelques spectateurs courageux... A 8h du mat un jeudi de l'Ascension, ce n'est guère évident ! Aussi d'entrée, c'est "Marathon Man", Patrice Bruel qui met le feu aux poudres. Il doit courir un marathon à Sauternes deux jours après, donc il a choisi l'option relais cette fois. Il est donc associé à Sébastien Goulmot. L'équipe Running-Olivan avait aussi inscrit deux autres équipes et un coureur en inviduel. Elle va de nouveau marquer les esprits en prenant toutes les marches du podium en équipes et la deuxième en inviduels. Au passage du premier relai, c'est finalement David Andrieu qui passe en tête. Le premier inviduel du coup! Patrice qui descend un peu moins bien se retrouve avec Patrick Soubrier, plus loin. Ce sont les deuxième et troisième équipe à ce moment de la course. Seul Frédéric Lauze est devant mais il passe le témoin à Daniel Bellon (de Versant Trail) qui lui s'était préparé psychologiquement (il nous l'avouera) à se faire doubler... La seule surprise du moment, c'est Fred Bonotto, pourtant associé à Jérôme Amathieu, qui arrive bien en retard. Il expliquera plus tard être tombé sur une épreuve la semaine d'avant et ne pas avoir encore récupéré... Jamais Jérôme ne pourra recoller. Et finalement c'est bien Nicolas Miquel qui fera un deuxième tronçon de toute beauté. Il prend la tête dès la première montée et finalement finit avec dix minutes d'avance sur la seconde équipe... En individuel, c'est David Andrieu, décidément très en forme, qui l'emporte devant Sébastien Perrier qui a réussi à reprendre Thierry Ennebeck pour la deuxième place... Michel Eche, l'organisateur, était en tout cas râvi de cette huitième édition... et l'ensemble des participants tout autant .. ils souligneront tous la difficulté et la beauté du parcours, et surtout le sans faute niveau balisage le long des 40km. 
Peu de monde du côté de Larra en ce samedi après-midi chaud et ensoleillé. Il est vrai que le week-end était chargé en courses en toius genres et il aura fallu faire des choix. Ainsi ils étaient 70 en gros sur le dix kilomètres et une trentaine sur le 5 km. Thierry Merland, venu donc de Villeneuve sur Lot dans le Lot-et-Garonne en a profité pour s'adjuger la courte distance. C'est un habitué des courtes distances et il n'est pas rare de le voir venir dans le coin pour se faire plaisir. Il gagne en 18'52'' avec plus de trente secondes d'avance sur Patrick Vial. Hervé De Lagiclais, premier vétéran 2, est bon cinquième. Olivia Bachelard l'emporte en féminine. Sur la plus longue des distances, Bernard Buffel a fait la course en tête. Il devance Aurélien Jean, le triathlète, de plus d'une minute. Céliane Junca renoue avec la victoire. Même si elle a du batailler ferme pour se défaire de Séverine Dacruz. Une poignée de secondes seulement les séparent sur la ligne d'arrivée...
Vendredi 27 mai se déroulait les 
Depuis 4 ans déjà à Beauzelle, Fêtes des Mères rime avec « Tortues des mères » et ce n’est pas Monique Basty et son association « la foulée beauzelloise » qui vous diront le contraire. Ni même ceux qui ont fait le déplacement … pas loin des 300. Car même si beaucoup avaient déjà couru le vendredi ou le samedi (voir les 2 … si si il y en a, mais on ne les dénoncera pas) en ce weekend ultra chargé, ils sont venus à Beauzelle pour participer à cette course dont la convivialité n’est plus à démontrer. D’ailleurs dans la course elle-même l’ambiance est à la fête et à la décontraction: on est là pour prendre plaisir avant tout et ça se sent. Cerise sur le gâteau les parcours « nature » proposés de cette année seront des pl
Si je vous dis que Gary Devine a encore remporté la montée d'Ax-Les-Termes, la course des 3 villages? Vous y croyer vous? Et bien oui sans souci... Gary, deux fois deuxième ces derniers temps en Ariège, bien drivé il est vrai par un Pierre-Laurent Viguier au top (aux Citadelles sur le 20km et puis donc à Dalou), a repris les commandes de son palmarès. A Ax, il a déjà gagné une poignée de fois et dans ce genre d'excercice est difficilement touchable. Il devance Christophe Marcaillou d'une minute, on salue d'ailleurs la performance du gars du conseil général d'Ariège, qui se rapproche de plus en plus de l'anglais, et Francis Da Cunha est bon troisième. Et aussi premier vétéran 3. Bref ce sont tous des habitués des lieux... Patrick Anné, animateur en verve de cette après-midi ensoleillé du samedi, nous faisait remaquer toutefois qu'un jeune junior, du doux nom de Romain De Stofflet, originaire de la vallée de Barguillère dans les hauteurs de Foix, parvient ces derniers temps à se placer presqu'à chaque fois dans le Top 5. Peut-être que la relève est donc bien là ! A suivre en tout cas... A Ax, ils étaient une petite centaine en tout et pour tout, et chez les féminines, Stéphanie Montéro s'impose devant Bénédicte Seguret... Là aussi la logique semble respectée...
Une fois n'est pas coutume, il a fait vraiment chaud du côté de Marestaing dans le Gers pour la traditionnelle ronde du moulin des Templiers. Et comme le parcours n'est vraiment pas des plus faciles, cela faisait deux belles raisons de souffrir encore un peu plus. En tout cas c'est notre ami, Jean-Michel Lopez, qui réussit à inscrire son nom au palmarès de l'épreuve chère au coeur de Michel Trémolet. Le Toulousain, toujours aussi en forme durant cette période de l'année, réussit donc à glaner quelques succès ici et là au fil de l'année. C'est devenu une habitude. Il remporte en tout cas le 17km du jour en 1h06'04'', laissant son poursuivant direct, Nicolas Giavarini à tout juste 21". Ce fut donc chaud ! La première féminine s'appelle Brigitte Djelaoui d'Oxygène 32. Elle devance Emmanuelle Noël de plus d'une minute... Sur les 8,5 km, un seul tour donc, on retrouvait les cadors du département. Et Christophe Cabannes semble avoir retrouvé la grosse forme. Il s'impose en 29'36''. Deux minutes devant Henry Stobinski. Le troisième n'est autre que le tenace et pétillant Philippe Grillet. L'éternel jeune. V2 tout de même. Marjorie Terrinka s'impose chez les féminines. Il y avait plus de 200 partants en tout...
La Corrida d'Auterive, disputée donc vendredi soir dans des conditions météos excpetionnelles, a véritablement tenu toutes ses promesses. Tant au niveau des engagés avec plus de 250 partants réunis sur les deux distances du programme, tant au niveau du suspense avec un sprint de toute beauté sur le 10km. L'épreuve, chère à Benoît Sentost et toute sa famille, qui organise aussi rappelons en octobre un trail avec l'AC Auterive, ouvre donc la saison des corridas de la saison et des courses du vendredi soir... Sur le 10km, Alain Manchado a dû batailler ferme face à l'espagnol aux semelles de vent, Xavier Sanchez de Go Sport. Trois secondes les séparent à l'arrivée. Toute juste une foulée. Le sprint fut beau. Habib Benama, qui n'avait donc pas choisi le trail d'albi près de chez lui, monte sur la dernière marche du podium. Chez les féminines Céline Fasset n'a pas eu rivale à sa poigne. Sur le 5km, David Vaucher gagne donc une nouvelle fois mais on aura pu noter le retour en forme de José Sorensen en deuxième place. Emilie Decamps complète le palmarès 2011...
A
Ils étaient tout de même près de 200 à s'être donnés rendez-vous du côté de Pavie dans le Gers en ce doux dimanche matin. Et ce malgré la concurrence des courses de la veille. Pour une épreuve récente, le succès vient donc peu à peu. C'est vrai que les 17 kilomètres du parcours ont de quoi plaire, même au plus réticent. Pas trop dur, mais pas non plus tout plat. Du Gers quoi ! Et si à la Balade des 2 côteaux, quinze jours plus tôt, quelques ténors avaient signé au rendez-vous absent, retenus pour diverses raisons, cette fois il n'en aura pas été ainsi... Christophe Cabannes, Henryk Stobinski, en autres, quelques grands noms de la course gersoise, étaient bien présents. Ainsi la bataille promettait d'être belle... Mais Christophe était décidément bien au-dessus du lot. En 1h05'12'' pour faire son tour, il met la concurrence à près de 3'. Le deuxième, c'est un peu la surprise du chef. Il s'agit du local, pure souche, Simon Durand. Il est de Pavie. Thomas Galpin qui aime bien aussi les courses du cru, monte sur la dernière marche du podium. Henryk est juste derrière. Mais que dire de Nawal Pinna qui n'en finit pas de gagner et surtout de surprendre son monde. Sur ce coup-là, elle se classe tout simplement 14ème au scratch. Une gageure. Avec un beau chono de 1h18'. Evidemment sa dauphine du jour est à chercher beaucoup plus loin dans le classement. Geneviève Ferraroni termine en 1h34'. Et bien sûr un bel apéro aux couleurs du terroir ponctuait cette matinée juste avant la remise des prix...
Técou, vous connaissez? Petit village de 950 âmes perdues au fin fond du Tarn. Et bien oui, là-bas quelques irréductibes ont bel et bien décidé de mettre sur pied une épreuve pédestre. Bref malgré le fait de ne pas être inscrit au calendrier, ils s'y sont pris trop tard, malgré le fait que ce même calendrier était pas mal chargé durant ce week-end du 22 mai, et bien ils auront tout de même réussi à réunir près d'une centaine de concurrents. Et les organisateurs, Annie Cenedese et son mari, en tête, étaient fort heureux du résultat. Car ils n'en menaient pas large en début de semaine, et même quelques semaines auparavant, face à l'immense tâche à accomplir. Organiser n'est pas une mince affaire... Aussi sur le 10km c'est finalement David Vaucher qui s'impose en 34'54'' devant Christophe Marre le triathlète en 36'40'' et Francis Croci. La première féminine n'est autre qu'Agnès Davalan qui s'imppose devant Catherine Mazinc. 40'36'' contre 50'42''. Sur le 6km, Nathalie Ménager était la plus rapide, tout comme Fadi Koumi chez les hommes... Une poignée d'enfants avaient aussi participé à la fête. Mais une chose était sûre, une fois la remise des prix terminée, sous l'oeil de quelques gars de la FFA (comité du Tarn), c'est que la Técounaise était bien née... On en reparlera donc en 2012, officiellement donc cette fois !
Pour cette 7ème édition, plus de 500 concurrents ont fait «Cap sur Grenade» pour participer au 5 et 10km qui se déroulaient donc à Grenade. Le record de participation a été explosé («encore un» certains dirons … mais pourvu que ça dure) qui vient récompenser les effort d’une troupe de bénévoles dévoués et l’association «Enfile tes baskets». Une édition qui s’est encore déroulée avec une chaleur quasi estivale …. Et les nombreux points d’eau placés sur les parcours n’ont pas été en reste pour rafraîchir l’ensemble des concurrents. Sur le 5km, c’est Cédric Gratusse qui s’impose d’un cheveu devant Aurélien Jean en finissant en 16min37s et quasiment dans la même seconde. Le vétéran Lionel Blompain viendra s’adjuger un peu plus tard la 3ème place. Sur le 10km, Frédéric Lureau prend les rennes au bout d’un kilomètre et fait le reste du parcours en solitaire pour s’accorder un chrono fort respectable de 33min45s. Richard Spennato ne parviendra pas à le suivre mais ne finit pas si loin que ça en 34min09s.
Le dernier concurrent à passer sous la barre des 35minutes et venant compléter ce poduim est Nathanael Bordes. Chez les féminines, sur le 5km c'est Nathalie Poussou qui s'impose et sur le 10km ce n'est autre que Céline Tasset qui persiste et signe une 2ème victoire en moins d'une semaine. On notera aussi l’omniprésence des élèves de l’ENSICA sur le podium des Espoirs venus en masse préparer le Raid ISAE qu’ils organisent au mois de Juin. Un beau palmarès pour cette 7ème édition et un quasi sans faute niveau organisation qui aura totalement rempli son rôle. Ravito, apéro, tombola, remise des récompense se sont enchainés parfaitement. Il y avait même la paella géante pour ceux qui ne voulaient plus repartir. Bref vivement la 8ème édition.
Onzième édition cette année des foulées mazériennes, deux ans déjà que l'association Mazères Course Pédestre a repris l'épreuve à son compte. Avec un changement de politique ne visant plus comme autrefois à gratifier de primes l'élite régionale qui se faisait forte de fouler le parcours pour une juteuse obole, la nouvelle donne privilégie l'initiation pour chacun au trail nature. Néophytes, coureurs du dimanche, cette épreuve est pour vous. Pour ce, trois distances proposées: 5, 11 et 22 km. 170 partants se sont élancés à 15h3u sous un soleil de plomb tout au long d'un parcours magnifique et relativement facile, Florian Nadal s'est imposé sur la plus petite distance, Grégory Bé, encore espoir, ravit le 11. Et sur le 22, Nicolas Baillères devance Nicolas Brazeilles et Jérôme Badet. Autant de coureurs émérites qui n'avaient jusque là encore jamais gravi la moindre marche de podium. Une course populaire, comme on les aime.
QueI beau nom: le semi de la rivière Espérance. Tout un programme pour ces deux épreuves (un 10km et un semi donc) qui se disputées ce dimanche du côté de Vayrac dans le Lot et qui comptaient pour deux challenges, celui du ADCPHS 46 - Dépêche du Midi et celui de MLK de Corrèze. Il n'y eut pas toutefois la grande foule. Un peu moins de 150 coureurs répartis sur les deux distances : 65 pour le semi et 74 pour le 10 malgré la matinée fortement ensolleillée. Certains auront pu noter toutefois que c'était déjà largement au-dessus de 2010 ce qui tendrait à prouver que l'avenir de la course est tout tracé... 
Il est vrai que le parcours, tracé par les organisateurs d' « Athlé-Route 46 - Vayrac » dans un décor magnifique a de quoi plaire. Franck Raynaud de Tulle s'impose en 1h18' sur le semi et sa compagne de club, Elisabeth Godillon l'imite chez les féminines. Sur la distance plus courte, c'est Patrick Cessat, d'Ussel lui, qui l'emporte. Anne Florent en 41'56'' complète le lot des lauréats 2011.
Et oui, Pierre-Laurent Viguier n'est pas qu'un spécialiste de marathon, ni que de 3000m steeple. Il a de nombreuses cordes à son arc, si l'on peut dire et ceux qui le connaissent bien, se souviennent certainement qu'avant de courir, il pratiquait déjà le duathlon à un haut niveau. Sans parler bien sûr de sa passion pour la montagne et de ses deux saisons de trail parmi les tous meilleurs avec quelques belles victoires notables dans la région et même dans le grand Sud... Bref tout cela pour dire qu'il s'est mis en tête, après sa prestation au marathon de Paris (2h35') de participer aux championnats de France de montagne qui aura lieu cette année encore dans les Pyrénées (après le Fourcat et la Crémaillère) du côté de Tardets. Et cela passe par quelques trails, histoire de se "faire" le pied et la foulée... Aussi le trail de Dalou, non loin de chez lui, était une occasion en or, tout comme l'était d'ailleurs les 20km du Trail des Citadelles, le mois dernier. Là Pierre-Lo l'avait déjà emporté devant Gary Devine justement. Et au passage avait explosé le record... même si il faisait tout de même un peu plus beau que d'habitude. En ce dimanche en Ariège, ils étaient donc un peu plus de 150 à s'élancer sur le 15,6 km au profil bien valonné. Pierre-Lo mettra plus de deux minutes à Gary, qui pourtant dans le secteur, avait pris l'habitude de tout gagner... en montagne. Lui l'ancien international ! Chez les féminines c'est Stéphanie Montéro qui gagne. En tout cas, le club "les semelles dans le vent" qui ont repris les rènes de l'épreuve pouvait se réjouir. Avec une belle météo, une belle ambiance aussi... Bref tout pour plaire. Dalou, on en reparle, c'est sûr en 2012 !
La course de Mons, pour sa 20ème édition a encore attiré les foules cette année. Un soupçon de vent, un zeste de montée, une belle ribambelle de participants, le tout entouré d’une bonne cuillérée à soupe de bénévoles … voici donc la recette du succès pour cette manifestation. Environ 660 personnes au départ (bien! Donc un record battu … ). Niveau course, avec 4 menus au programme (1, 4, 9 et 21km) … il y avait de quoi déguster et partager ça avec nombres de convives puisque les 3 distances (du 4, 9 et 21km) auront un départ groupé. Ca se bouscule donc au portillon. Jerome Bellanca mène le « peloton » de A à Z, sans être vraiment inquiété … d’ailleurs les 3 1ers du 21 feront la course devant … Girma qui gagnera le 9km ne parviendra pas à les suivre. 
Sur le semi donc Bellanca s’impose devant Redon et Bertand, …. Un semi bien épicé et relevé tant sur le terrain que sur la qualité des ingrédients … euh des participants. Revers de la médaille, quelques petits soucis d’informatique et de chronométrage prolongeront la remise des prix du semi fort tard … ah rien ne vaut les produits naturels !!! Mais on retiendra avant tout la bonne ambiance, le sourire des bénévoles et un semi marathon des plus physiques … car c’était bien lui la star de ce dimanche et lui qui a attiré le plus grand nombre de participants (soit plus de 250 personnes).
Les 25èmes foulées du marché-gare de Montauban organisées par l'association des quartiers du marché-gare, ont rencontré un bon succès car 70 coureurs se sont présentés au départ des différentes épreuves. En premier lieu une vingtaine d'enfants provenant essentiellement de nos quartiers , dont l'age est allé entre 5 ans et 14 ans , à l'exception d'un 
tout petit de 2 ans qui a franchi les 400 mètres qui lui étaient proposés; la 25ème édition des foulées du marché gare , d'une distance de 12 kilomètres a été remportée par le montalbanais Damien Bevenot dans un temps de 39 minutes et 8 secondes qui constitue le record de l'épreuve .
Pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître. Après 5 éditions à organiser la tournée du facteur et une année de réflexion, les Coureurs à Pied de Luc La Primaube ont réussi leur pari en mettant sur pied leur premier trail. Accompagnés de 60 bénévoles, le président Régis Albinet ne cachait pas sa satisfaction avec presque 200 coureurs sur la VIA AUREA en solo ou en relais et plus de 80 enfants répartis sur 3 parcours. Tout le monde était unanime après la course, le parcours fut des plus magnifiques et techniques. En solo, sur les 
L’année dernière, la course de l’Agro, sûrement victime d’un problème de communication, n’avait pas déplacé les foules (40 personnes à tout casser), et ceci malgré des conditions idéales, de jolis parcours et une bande de joyeux bénévoles. Cette année pour la 11ème édition, l’organisation (c'est-à-dire toujours les élèves de l’ENSAT) avec l’aide du label Challenge Levy (pour le 5km), avait à cœur de corriger le tir. Malgré la pluie qui est venue jouer les troubles fêtes de toute dernière minute (apparue au moment même du départ), ce ne sont pas loin de 130 coureurs qui se sont déplacés pour le 5 et le 10km. Les parcours, comme chaque année, changent et seront pour cette édition 2011, majoritairement plats. Sur le 5km, Nicolas Miquel s’impose … pourtant c’est Johnny Bordaz qui mène le train sur la 1ère partie longeant le canal du midi avec Antonio Dos Santos. Finalement dans le seul faux-plat montant Johnny décrochera. Et Nicolas lâchera Antonio (2ème) dans la dernière descente … et c’est Samir Hijazi qui prendra la 3ème place. Chez les filles Mélanie Fraisse (très souvent dans le top 3) s’impose sur ce 5km … un peu court d’après les dires des GPS présents sur le parcours. Sur le 10km, c’est Nicolas Fernandez, disponible et décontracté, sous les couleurs d’I-Run qui s’impose fort logiquement. Son talent et son aisance n’auront à aucun moment pu être remis en question. 
La suite du podium se jouera au sprint, et c’est Bernard Buffel qui prendra le meilleur sur Andreas Merdes. Côté femme c’est Céline Tasset qui imprime le rythme et gagne. Comme à leur habitude, les élèves de l’ENSAT ont bien pris soin de nos athlètes du samedi autour d’un grand ravito d’après course aux allures de repas gargantuesque … ce qui décalera « un peu » la remise des prix. En tous cas il semblerait que la course de l’agro soit belle et bien repartie sur de bons rails.
A croire que Kader Mamou soit tombé amoureux d'Aiguefonde dans le Tarn. Car en effet si il avait emporté aisément en 2010, il a de nouveau inscrit son nom au palmarès de la Ronde Aiguefondaise. Il devance Philippe Galaup de près d'une minute. Marlène Privé Mosso arrive en tête chez les féminines. En tout ce sont une centaine de coureurs qui se sont élancés sous un beau soleil. Il y avait aussi possibilité de faire l'épreuve en relais avec 4 et 6 km au choix à effectuer. Les enfants pouvaient courir gratuitement eux. Le nombre est pas énorme, mais ce n'est pas si mal finalement en raison de la concurrence. Un trail dans le département le même jour. Toute l'équipe de Marc Culie, le président, avait malgré tout mis le paquet et pouvait se réjouir du bon déroulement de la matinée...
Le trail des Castels de Marssac sur Tarn a fait le plein. Plus de 200 coureurs sur la courte distance de 16km, plus de 100 sur le long de 35km qui comptait donc pour le challenge des trails du Sud-Ouest et pas loin d'une centaine de marcheurs, soit un total de 400 sportifs prêts à en découdre sur des parcours véritablement magnifiques entre vignobles et côteaux. Le soleil était aussi au rendez-vous et c'était la bonne surprise du jour tant le vent violent souffait encore la veille... Sur le 16km, on aura assisté à une belle bagarre entre trois hommes qui se sont retrouvés ensemble vers la mi-course. Mais au finish, c'est Jérôme Calvo, visiblement plus affûté qui s'échappe dans le dernier kilomètre. Il gagne en 1h01'07''. Stéphane Gesset et Georges Amorin lui emboîtent le pas. Les deux sociétaires du Team Running-Olivan ne sont pas loin non plus en quatre et cinquième place avec Fred et Rémy. Karine Soubrier l'emporte chez les féminines. Sur le long, il faudra attendre plus de 2h45' 
pour voir le premier débouler sur la petite place du village. Il s'agissait de Guillaume Thisse, le gars de Pinsaguel, souvent placé et jamais vainqueur. Il inscrit donc son nom au palmarès de Marssac. Premier de la liste donc puisque c'était véritablement une première édition. Cyril Chanu est bon deuxième et conforte ainsi sa place de leader du challenge des trails du sud-ouest. Il est vrai que l'on l'a souvent vu sur le podium cette année. Trois à Saverdun, trois à Saint-Juery... Pendant la remise des prix et le tirage au sort, tout le monde se retrouvait devant un bon plateau repas.... au soleil donc !
C’est d’une bien belle façon qu’aujourd’hui l’hommage aux anciens combattants a été fait à Pompertuzat (à peine à 15km de Toulouse) au travers de cette nouvelle édition du challenge du souvenir et de la paix. Les organisateurs de cette manifestation sous la houlette d’un Christian Reina en pleine forme, (au four et au moulin) avec l’aide de l’ensemble des bénévoles de la commune, ont eu le plaisir d’accueillir 230 sportifs venus eux se battre contre le terrain, terrain une fois encore très sélectif puisque bien vallonné (cela devient décidemment une habitude). Encore une course qui voit son record de participants battus … et c’est tant mieux. D’autant plus que la course est inscrite au challenge Raphael Levy … et le président d’honneur de ce challenge Serge Levy sera lui-même venu prendre le départ du 10km. A 10h le départ est lancé, et après 2 petites boucles dans le village de Pompertuzat, les favoris répondent déjà présents. A l’assaut de la première grosse difficulté du jour, Bertrand Regis amène avec lui Youri Lesnikov, ils commencent à creuser l’écart et vont effectuer quasiment la totalité du parcours ensemble. Mais resteront quasiment à la portée de vue des poursuivants. Juste derrière donc, un peu en chasse patate, Eric Tanguy ne s’avoue pas vaincu pour autant … d’ailleurs dans la longue ascension au sortir de Deyme, il reviendra quasiment sur les 2 premiers. C’est à ce moment là que Régis décide de mettre les choses au clair et accélère pour aller quérir sa victoire qui ne pouvait lui échapper. Mais les efforts d’Eric n’auront pas non plus été vains puisqu’il décrochera une belle 2ème place, juste devant Youri. Derrière les habitués du challenge iront limiter la casse, dans des chronos fort respectables. Corinne Degois impose aussi sa loi chez les féminines et ajoute une nouvelle victoire à son palmarès 2011 déjà bien garni. Les adultes laisseront place aux enfants pour une course dans les rues de Pompertuzat. Après bien des efforts, l’heure de rendre hommage aux anciens combattants est venu et est effectué au pied de l’arbre de la liberté avec la présence d’élus, d’anciens combattants et la plupart des participants qui seront restés Une bien belle remise des récompenses suivra toujours sous la voix de Christian … bien évidemment tout cela donne soif … rien de mieux donc que de se désaltérer autour de l’apéro offert par la mairie. Vous l’aurez compris, en ce dimanche matin à Pompertuzat, c’est un très beau challenge et très bel hommage qui ont eu lieu. On ne saurait donc que vous conseiller de revenir (ou de venir découvrir) la prochaine édition. 
Une manifestation toujours aussi joyeuse qu’il convient de saluer. L’office rural de Pointis-Inard, au be
Nicolas Fernandez aime bien les courses. Toutes les courses. Et aussi bien les grandes, que les petites... Aussi avait-il décidé de faire un petit détour ce samedi par Aurimont dans le Gers. C'est vrai que ce n'est pas si loin de chez lui en vérité. Il habite du côté de Saint-Gaudens... Mais pour cette balade des deux côteaux, ce ne fut pas la grosse foule. Une centaine de sportifs, en tout et pour tout, et encore en comptant les enfants. C'est d'ailleurs dans cette épreuve que l'on a pu voir Jules Rouhaut, l'emporter... Et oui, il suit donc les traces de son père. Sur le 10km, cher à Alain Despiau, toujours aussi actif dans son département, mais bien épaulé il est vrai par la mairie de la ville et aussi Nicolas Delorenzi, c'est donc bien Nicolas qui a été le plus rapide. Sans trop de rivalité, il est vrai. Ni Cabanes, ni Stobinsky, les deux champions locaux, n'étaient de la fête. Hugues Ancelin finit bon deuxième à 1'30'' derrière et Martial Voirin, le triathlète, complète le podium. Dommage une nouvelle fois qu'il n'y ait pas plus de monde car comme à l'hbaitude, l'après-course fut de toute beauté avec un apéritif hyper convivial et surtout un repas, pour ceux qui ont voulu rester, inoubliable. A la Gersoise quoi !
C’est sous un beau soleil, que 73 participantes et participants se sont retrouvés pour la 15ème édition des Crêtes de Montcabrier dans le Lot, course comptant pour le Challenge Route ADCPHS du Lot. Au programme 10,6km de côtes et de descentes particulièrement exigeantes avec la terrible montée finale tant redoutée par celles et ceux qui décident de s’aligner au départ. Celui-ci fut donné à 10h et c’est Jérôme Saillens de Cours et CAUSSE Toujours, tenant du titre et bien décidé à le conserver, qui prend les devants dès le coup de feu donné. Celui-ci ne sera jamais rattrapé et remporte donc la course dans le temps de 40’22. Il est suivi par Paul Le Lay et le revenant Jean Marc Baldy respectivement 2ème et 3ème en 41’12 et 41’21. Chez les féminines, Anne Florent et Mariam Resseguier devaient à priori se livrer une belle bataille mais c’est finalement la première citée, elle aussi membre de Cours et CAUSSE Toujours, qui s’impose facilement en 46’55, à 1 petite seconde du record de la course établi en 2009, sa dauphine terminant elle en 51’13 suivie de près par Valérie Galtié, 3ème en 51’51. C’était donc la journée des membres de Cours et CAUSSE Toujours, association chère à Sébastien Nodari, qui organisera le 12 Juin 2011 les 10km du Diamant Noir à Lalbenque. (Plus d’infos : 
Bravo à Nicolas LE HIR (Sénior3), Jérémy BONHOURE (Sénior1), et Paul FARRE (Cadet), tous 3 sociétaires de Sud Triathlon Performance, qui raflent (respectivement en 59,57’’, 1h02’17’’ et 1h03’41’’, les 3 premières places du podium au scratch, doublées des 3 premières de chacune de leur catégorie. Difficile de faire mieux, ils tardent de les retrouver sur l'épreuve de Montréjeau...
"Nous avons voulu faire de cette journée une grande fête de la course à pied et de l'athlétisme en général... Tout n'a pas été parfait. Certains détails sont encore à peaufiner, mais en tout cas nous avons été présents de 7h du matin jusqu'à 18h le soir. Il y en a eu pour tous les goûts et pour tous les sportifs... Je pense que c'est ce qu'il faut surtout retenir de ce 1er mai tout en orange..." Ainsi Michel Bourdoncle, le sympathique président du CA Balma Athlétisme, concluait en quelque sorte cette longue journée de sport. Le club omnisports fêtait du même coup ses 40 ans d'existence et le soleil n'avait finalement pas boudé le rendez-vous. Ouf ! Par contre, c'est bien le vent qui viendra jouer les trouble-fêtes et avec les longues lignes droites du parcours remodifié, les chronos s'en seront donc ressentis... fortement ! Le CA Balma, fort des 450 membres, avait donc décidé de présenter pour cette 8ème édition des 10km, quelques nouveautés au programme. En hors d'oeuvre, un relais de 2x3,5 km, remporté par la famille Lecoq (fille et père), regroupant en tout seulement une vingtaine d'équipes... Après la course, dans l'après-midi, le dessert avec un meeting d'athlétisme de bon niveau régional...dominé d'ailleurs par la tribu orange. Mais le plat de résistance restait sans nul doute la course en elle-même ! Un 10km hyper plat, 
propice donc à la performance, et cette fois avec un seul aller et retour et non deux tours de 5 km. Les Burundais seront intouchables sur la distance. Audace Baguma s'impose en 30'46'' et Francine Niyonizigiye en 35'08''. Ces deux-là ont bien sûr des records largement inférieurs (28'57' pour l'un et moins de 34' pour l'autre), mais le vent aura donc décidé de ternir un peu la grande fête. On retiendra donc surtout la belle performance de Romain Courcières, qui se remet tout doucement à la course, après sept années d'arrêt et qui finit troisième et premier français... Cédric Pélissier est un peu plus loin. Fatigué mais heureux. Il vient tout juste d'être papa d'un petit Jean... Nawal Pinna et Houria Fréchou, les deux amies, complètent le podium féminin. Mais évidemment lors de la remise des prix, en plein dans le petit village partenaires mis en place pour l'occasion, et juste avant de casser rapidement la croûte, la journée était bien loin d'être finie... Avec 801 dossards distribués, la Tribu Orange n'a pas à rougir. Le 1er mai, c'est vraiment un beau rendez-vous balmanais !
La course du Muguet à Montauban, c'est une véritable institution. Cela fait déjà quinze ans qu'elle existe et si au début c'était les époux Chellal qui s'en occupaient, depuis quelques années déjà l'Amical du Spiridon 82 a repris le flambeau avec à sa tête, Bernadette Soulié. Aussi cette année avec une météo extraordinaire, ce sont pas moins de 650 coureurs qui se sont retrouvés sur les bords du canal, entre Montauban et Lacourt Saint-Pierre pour un parcours des plus plats. On l'aurait compris ! Parmi eux une soixantaine de gamins... Sur le 15km, Gérard Soler arrive main dans la main avec Laurent Jalabert. Le cycliste est toujours en vue dans les courses de chez lui... Il réussit donc à gagner en ses terres, encore une fois et pas sur un vélo cette fois. La première féminine s'appelle Elisabteh Lafitte. Sur le 6km, Mathieu Feutrier a été le plus véloce. Il devance David Lorain, notre marathonien valeureux. Mais la matinée était loin d'être terminée avec la remise des prix car un repas, très champêtre, était servi dans la foulée... tout cela au son du groupe de country local. Toute une ambiance en vérité !
Les Hauts de Pourvourville sont une valeur sûre dans le secteur toulousain. Et comme il a bien plu la veille et bien il a fait très bon le dimanche matin. Ainsi la course chère à MM. Crouzil et Lafforgue a donc réuni près de 270 coureurs. Ce qui n'est pas si mal quand on connait les difficultés qui attendent les athlètes sur une distance proche de 10km. Le soleil et un peu de vent étaient donc au rendez-vous. Bref le printemps revenu ! Au niveau de la course, Nourredine Laaidi (30'30 au 10km tout de même) et Nicolas Miquel ont fait les 5 premiers kilomètres ensemble et puis le premier cité s'envole vers sa victoire méritée. Il est vrai que Nic avait gagné la veille à l'Omelette de Bessières. Derrière ils sont 4 à pouvoir monter sur le podium (LOPEZ, LAUZE, JEAN, SEITZ) 
et finalement notre ami Jean-Michel Lopez sera le plus fort. Il reviendra même sur la fin oas si loin de Nicolas. Chez les féminines, ce fut un grand plaisir de retrouver Houria Fréchou. Vainqueur facile aussi bien en vétérane 2 qu'au scratch. La grosse tombola qui précéda le remise des prix s'est prolongée fort tard. Tout le monde, ou presque, repartant avec quelque chose du coup !
Ah qu'il n'est pas si facile ce marathon d'Albi. Ces 42km qui nous mènent du côté de la vallée et des bords du Tarn se révèlent à chaque fois des plus délicats à appréhender. Ainsi quand ça part très vite dans les rues de la ville, classée désormais au patrimoine mondiale UNESCO, il faut bien garder à l'esprit que l'aller et retour de plus de trente kilomètres qu'il reste à accomplir n'est pas de tout repos. D'autant plus que les départs du semi et du marathon sont groupés... Mais au moins la météo a été gentille avec les coureurs, les amoureux du bitume. Car le vent qui aura violemment souflé durant toute la semaine, s'était donc calmé et avait disparu bel et bien. La température du départ était idéale, même si sur la fin il faisait tout de même un peu chaud... Surtout pour ceux qui auront du couvrir leur périple en plus de 4 ou 5h... Bref ils furent donc plus de 330 à s'inscrire sur le dix (qui lui partait en décalé de dix minutes), près de 650 sur le semi et pas si loin des 500 sur l'épreuve reine. Sylvain Mallet et Marlène Privat Mosso gagnent donc la courte distance. Sur le semi Nicolas Fernandez a dû s'employer pour venir à bout de Benoît Dunet qu'il dépose dans les derniers kilos. Il signe un beau 1h10'09'', preuve que le parcours n'est pas si aisé non plus. Chez les dames, sur le semi, c'est Carole Bonche qui l'emporte en 1h30'. Restait donc le 42 km et cette bagarre "féroce" entre Kenyans, Ougandais et Russes, voire Ukrainiens, aussi bien ches les messieurs que chez les dames. Ce sera à chaque fois un duo qui mènera les débats. Chez les dames, Immaculate Chemutai et 
Elena Tikhonova ont fait presque toute la course ensemble. Et ce n'est que dans les tous derniers kilomètres, et nottament dans le petite bosse de Saint-Juery, que Immaculate fera la différence. Elle finit en 2h47' contre 2h48' pour la Russe. Chez les messieurs, même schèma. Christophe Barno et Sergeii Marchuk ne se quitteront guère. Si ce n'est sur la toute fin où le premier cité se détache pour finir en 2h26'29'', une trentaine de secondes seulement devant son adversaire. Eric Agrinier, le Pompier du Gard, est toujours un fidèle de l'épreuve. Il monte sur le podium en 2h36' et Patrice Bruel, l'éternel, est encore bon quatrième en 2h38'. Juste une semaine après avoir signé un 2h35' à Marseille. Chapeau. Martine Latger finit quatrième chez les féminines et première française tout de même... On notera aussi pour l'anecdote que JJ Lavigne a fini son centième marathon pour l'occasion et son 33ème d'Albi. Il les a tous fait. Et oui !
Ah, le pauvre Thomas Saint-Girons ! Lui qui l'an passé c'était fait volé la vedette par un Thomas Lorblanchet en pleine préparation pour l'UTMB, cette fois, il aura dû faire face à un étonnant catalan qui a litérallement survolé les débats. Iker Karrera Aranburu, puisque c'est son nom, ne s'est pas posé de questions. Il a pris les commandes et ne s'est jamais retourné. Résultats des courses sur le 73 km des Ciatdelles, épreuve reine de la journée comme on le sait, il met 6h25' et laisse Thomas à plus d'une demi-heure. Bref on aurait presque aimé que Lorblanchet revienne en Ariège cette année. Bonjour le spectacle ! En tout cas on signale d'emblée que les conditions météos étaient tout de même un peu moins dantesques qu'à l'accoutumée. Cela arrive aussi ! Sébastien Buffard monte sur le podium. Mais une heure est passée entre le premier et lui. Ouf ! Bruno Bareilles, beau vainqueur du 40 en 2010, finit lui sixième et la première féminine est aussi espagnole. Il s'agit d'Olga Manko. Sur le 40km, toujours très disputé comme on le sait, qui rassemble en tout cas le plus de coureurs avec presque 400 partants, contre 300 sur le long et 450 sur le court, Laurent Brossard l'emporte mais lui, du coup, aura dû batailler ferme face à Carlos Dos Santos. Florent Ferrand, le revenant, que l'on aime bien au magazine, mais qui ne court que par chez lui, est bon troisième après quasi un sprint face à Pascal Masson. Thierry Ennebeck, monsieur Top Performance, est bon sixième après sa victoire la semaine d'avant à "Entre Save et Galop". Preuve qu'il retrouve la grande forme peu à peu. On le reverra bientôt au plus haut niveau ! Vincent Grimmiaux, notre ami expatrié à la Rochelle, rentre encore dans le Top 10 alors qu'Agnès Francastel l'emporte chez les filles, quelques minutes devant, seulement, Emmanuel Borthier-Mouret. Sur la distance de 20km enfin, en l'abscende de la bête noire locale, Michel Rabat, et de celle de Maxime Durand pris lui par le TTN, c'est ni plus, ni moins que Pierre-Laurnt Viguier qui crée la sensation. Il a donc bien récupéré de sa performance du marathon de Paris : 2h25'. ET à vrai dire, en 1h31', n'a pas été inquiété. Tant pis pour Gary Devine qui gagne tant et plus en Ariège. Pierre-Lo c'est du haut niveau. Philippe Antiga, le vieux lion, maintenant V2, lui qui a déjà gagné ici plusieurs fois, est encore sur le podium. Jérôme Amathieu, du Team Running-Olivan, échoue de peu mais il a chuté à deux reprises... Cécile Claudel, enfin, pour être tout à fait complet gagne cette distance !
Rarement course n'a été autant portée pas une cause. Et si fallait être motivé en ce samedi après-midi pour se rendre à Fonsorbes avec la pluie qui s'est invité à la fête en dernière minute, tous les concurrents, peu nombreux donc, auront pu se râvir de voir le sourire sur le visage d'handicapés présents et parrains de l'épreuve. Christian Reina, au micro, ne cachait pas son émotion. Tous les bénéfices de la journée étaient reversés à l'association Dominique, basée justement à Fonsorbes, est qui vient en aide au lésés cérébraux pour leur permettre de redécouvrir l'espoir... Une dizaine de coureurs en individuels et une poignée d'équipes de trois étaient présents sur la ligne et sous la pluie... Tout cela se terminait par un cassoulet entre amis. On retiendra qu'en équipes c'est ABS qui l'emporte avec Gilbert Seigneurie, Jean-Claude Tourne Cols et Christian Maurice qui réalisent 18 tours. Et que Laurent Giordan fait aussi bien lui mais en individuels...
C’est désormais une tradition … mais dans la région weekend de Pâques rime toujours avec météo surprenante. Pour cette année, alors qu’on venait de vivre plusieurs semaines de chaleur estivale, il aura fallu que Pâques arrive pour que les caprices de la météo s’installent.
B
C’est avec un temps quasi estival (ou estival tout court) que s’est déroulée la 4ème ronde du chardon ce dimanche matin à Montgiscard. Encore une belle affluence pour cette manifestation (220 sur le 10km … on ne compte donc pas les participants du 5km et les 100 enfants présents, plus de 100). La Haute-Garonne aime la course à pied et ça se voit. En ce qui concerne la course, c’est un trio qui s’échappe dès le 3km … Nicolas Miquel comme à son habitude impose son rythme dès le départ sur la première moitié d’un magnifique parcours alternant bitume et chemin de randonnée, petite cote et descente herbeuse parfois technique, dans les magnifiques coteaux toulousains aux avant-gouts d’été. Dans ses roues, ce n’est autre que Cyril Chanu (2ème l’année dernière sur cette course en un peu moins de 42 minutes) qui au 4ème kilomètres prend la relève. Il alterneront les relais pour lacher les prétendants possible aux podiums. Thomas Galpin, jeune espoir et élève de l’ENSICA, reste pour l’instant à l’abri et complète ce trio. Le podium se jouera entre eux dans le dernier kilomètre. Sur l’ultime ascension, Thomas place une belle accélération mais Cyril et Nicolas s’accroche et ne fléchissent pas … enfin pas encore. C’est donc au sprint dans les méandres des ruelles de Montigscard que la victoire se jouera. Thomas lance le sprint à 400 mètres de l’arrivé, Cyril craque le premier puis Nicolas devra abdiquer sur les 100 derniers mètres. Une belle victoire pour ce jeune espoir prometteur (22ans), qui était le weekend dernier au marathon de Paris et en est revenu avec un joli chrono de 2h50 ! Il franchit l’arrivée en 38min59, suivi 2s plus tard par Nicolas puis Cyril. Belle victoire en vétérans d’Antonio Dos Santos. Chez les féminines, c’est Corinne Degois qui s’impose en 46min45s. Bien sur les autres vainqueurs seront les organisateurs, hautement récompensés par le nombre de participants (pas loin des 400 toutes distances confondues) et largement félicités par les sourires et les compliments de l’ensemble des participants. Tous les coureurs en sont donc repartis ravis tant pour le parcours ludique que pour l’organisation sans faille ou les ravitos bien gourmands …. Bref tout le monde y aura trouvé son compte. Encore une fois une bien belle manifestation orchestrée de main de maître, dans un esprit convivial comme on les aime. Bravo la Ronde du Chardon … et le rendez-vous est déjà donné pour la 5ème édition. 
I
Finalement ce sont tout de même près de 300 coureurs qui se sont retrouvés dans le quartier Borderouge de Toulouse pour participer aux foulées du même nom et c'est bien évidemment un record. Car lors de la première édition de l'épreuve, il y a de cela deux ans, sous la pluie donc on s'en souvient encore, ils n'étaient en tout et pour tout qu'une soixantaine, les deux distances regroupées. Cette fois la météo était vraiment de la partie et les organisateurs, tous des habitants du quartier, ont vraiment mis le paquet quelques semaines auparavant déjà en distribuant des tracts un peu partout sur les courses du coin. Ainsi le bouche à oreille a bien fonctionné et ceux qui ne voulaient pas aller à Montgiscard ont donc trouvé ici une belle solution de repli. Sur le 10km, c'est Damien Boudet que l'on retrouvait avec plaisir après une vilaine blessure à la cuisse et un retour à Auch trois semaines plus tard..Il l'emporte en 31'28'' mais il a dû batailler tout de même durant la moitié de la course face à un Christian Yago, accrocheur et toujours volontaire. Qu finit finalement à une dizaine de secondes. La première féminine se nomme Florence Feutrier. Sur le 5 km, qui était finalement un peu plus long d'une centaine de mètres, c'est Jérôme Galy du Stade Toulousain, qui va se détacher dans les derniers mètres. Il aura fait quasiment toute la course aux côtés de Maxime Tinevez, le spécialiste de course de montagne. Le jeune espoir de l'Athlé 632, Julien Foucroy, est aussi sur le podium. Elodie Gobillot est largement en tête chez les féminines, elle aussi de l'Athlé 632... On retiendra aussi que tous les bénéfices de la course seront reversés à la Banque Alimentaire...et que le parcours était vraiment magnifique avec un petit tour du lac très champêtre, même en plein Toulouse !
Ah quelle était bonne cette petite odeur de foie gras à la fin de la course. Que ce soit à Gimont au départ ou à Saramon à l'arrivée, on a l'habitude de dire que le Gers sait particulièrement bien accueillir ses coureurs pied. Et que ce soit Jean-Claude Latour ou Alain Despiau, les deux compagnons de route organisateurs, il en est toujours ainsi... et cela fait maintenant plus de dix ans que c'est le cas. Ainsi si vous voulez passer un bon peit moment de détente, alliant bien sûr effort et réconfort, c'est par là-bas qu'il faut se rendre et Toulouse n'est tout de même pas si loin. Aussi ils étaient plus de 150 cette fois à avoir répondu à l'appel de l'association locale. Le semi, non officiel, qui était proposé, pour rallier les deux villes, n'est pas des plus faciles. Cela monte et descend un peu, mais il y aussi de longues lignes droites interminables. En fait il doit faire dans les 20km et les coureurs avaient aussi la possibilité de l'effectuer en relais à deux.
Bon d'accord, c'était pas la foule dans le petit village de Lardeyrolles pour la deuxième édition des 10km. Mais il faut saluer toute l'abnégation de l'organisateur, Jean-Christophe Batut, qui est un passionné. Un vrai de vrai. Et donc une majorité de son team 12 était bel et bien de la fête. Et du coup la qualité était, elle, bien au rendez-vous ! Nicolas Fernandez en tête, tout auréolé de son titre régional sur la distance, acquis avec brio la semaine d'avant au SATUC, s'impose une nouvelle fois. Et cela n'a pas été chose vraiment aisée puisqu'il doit batailler jusqu'au bout contre un Romain Courcières déchaîné... Régis Lacombe, lui aussi non loin de chez lu init troisième et Sophie Mazenc première féminine. Ils n'étaient pas tout à fait cent à terminer la course, mais en tout cas ils ont tous, ou presque, été gâtés comme des rois. Qu'on se fasse passer le mot pour l'an prochain. Voici le mot de l'organisateur : " 
Par cette belle matinée du dimanche 17 avril, 180 coureurs ont décidés de ce dégourdir les jambes 101 pendant 14km et 79 sur 8lm. Une randonnée était aussi organisée avec un parcours de 8km qu’une trentaine d’amateurs ont voulu découvrir. Le 14km comptant pour le challenge départemental voit s'imposer pour la 6eme fois sur 7 éditions Sébastien Nodari en 50"16, Olivier Laloux laisse quelques centimètres sur la ligne d’arrivée et finit second dans le même temps, Alexis Rodriguez complète le podium en 52˝24. Chez les filles c’est l’habituelle et chaleureuse Maryam Resseguier qui monte sur la 1ere marche avec un temps de 1h03˝33, Sylvie Bach suivi de près par Valérie Galtie ferment le podium.
La Trans Oasis du Sud Tunisien (TOST) est une épreuve sur piste de 126 km en 6 étapes de 21 km, soit un semi-marathon par jour ; départ et arrivée à Djerba avec une boucle dans le désert (Douz) en passant par Tataouine et Matmata.
ns se sont trompés de chemin malgré un balisage bien fait. On se connaît déjà pratiquement tous dans le groupe du fait du petit nombre de participants et l’ambiance est très bonne ; tous les arrivants sont encouragés, notamment la dernière concurrente Myriam à qui ses enfants ont offert l’inscription à l’épreuve (un beau cadeau mais un peu empoisonné tout de même pour elle qui n’a que très peu d’entraînement).
Tous les concurrents terminent cette belle épreuve et l'émotion est palpable sur la ligne d'arrivée : c'est un curieux mélange de joie et de tristesse, joie d'avoir bouclé ce périple de 126 km (certains ont souffert soit à cause de douleurs, soit à cause d'un entraînement un peu léger et ont donc terminé au courage), tristesse que l’aventure se termine. Pour ma part, je termine sans blessure ni douleur (à part 3 petites ampoules); j'ai apprécié cette formule de course par étapes où la gestion de l'effort et la récupération sont primordiales pour bien finir.
Et oui, c'est un nouveau record d'affluence qui a été battu dimanche 10 avril au SATUC pour fêter comme il se doit le 10ème anniversaire de la célèbre épreuve toulousaine. Il est vrai que les conditions météos étaient vraiment propices à la performance, le soleil caniculaire de la veille, ayant laissé place à une douceur toute printanière. Quelques nuages, pas de pluie et un léger vent, rajouté à un parcours réputé pour être hyper-plat et puis aussi une date bien choisie avec peu de concurrence dans le coin, et le record de dossards délivrés a donc été battu. On a même passé la barre des 800 coureurs pour atteindre officiellement les 813 partants. C'était du jamais vu et le dirigeants du SATUC, tous sur le pont depuis le début de la matinée, Alain Lanjou en tête, lui l'emblématique président du club étudiant, pouvaient donc se réjouir. Sur le 10km où plus de 90% des coureurs étaient inscrits, c'est une nouvelle fois Nicolas Fernandez qui a fait parler la poudre. Il part tout seul et tout de suite. Il finit donc en 30'43'' (chrono officiel !) et a dû batailler un peu dans le vent. Il devrait être au départ du semi d'Albi dans quinze jours... Il devance un garçon que l'on a pas trop l'habitude de voir dans le coin. Tout juste arrivé en fait, il s'agit du Montalbanais, Damien Bevenot. C'est lui qui crée un peu la sensation. Même si il a fini tout de même deuxième sur le 10km de Montauban, premier à Moissac... Bon deuxième en 31'48'' au SATUC donc ! . Jérôme Bellanca est un peu plus loin... sur le podium tout de même. Les Aveyronnais Régis Lacombe et Nicolas Vacquier (notre star de la télé enfin de retour sur le bitume !) finissent côte à côte en quatre et cinquième place. Chez les féminines Nawal Pinna gagne une nouvelle fois. Elle descend aussi sous les 37'. C'est la seule dans ce cas. Car Salomé Lecoq, bonne deuxième, est créditée de 37'26''. ON a aussi apprécié la belle course de la jeune prodige du SATUC justement : Iris Ferreira, troisième. Enfin sur le 5km, on retiendra surtout les vcitoires de Guillaume Clénot qui améliore son chrono sur le distance en 15'16'' et Carine Grand en 17'46''. Beau succès donc du 10km du SATUC avec un accueil très convivial sur le stade Daniel Faucher et une organisation sans faille. Le SATUC est un des plus grands clubs du département avec une forte action envers les jeunes... Cela a toujours été ainsi et se doit d'être souligné. 
Il y a une épreuve qui est fort originale en Ariège et elle se nomme le trail de Vers Luisants. Organisée depuis deux ans maintenant par une association locale, l'A. val d'Erp Animation, elle se déroule donc tout autour du petit village d'Erp. Cette année, les organisateurs déploraient la baisse de participation sur l'épreuve phare de 14km qui partait à 20h30 précises, un petit quart d'heure avant la nuit noire... "Mais heureusement que nous avons les marcheurs qui sont venus en nombre" précise tout de même Cyril Boineau, responsable de l'organisation. "Cela nous permet tout de même d'avoir pas mal de monde sur le site et nous récompensent de tous nos efforts... 
La petite ville de Saint-Sulpice sur Tarn aime vraiment beaucoup la course à pied. C'est le moins que l'on puisse dire. On s'y retrouve au moins deux ou trois fois par an pour une course ou l'autre... C'est vrai qu'il y existe deux associations hyper-dynamiques. Cette fois ce sont les Cloche-Pieds qui nous ont donné rendez-vous pour leur traditionnel "Pieds en Fête" avec cette distance un peu bâtarde de 8,6 km sur un mélange de chemins et de route. Aussi pour tous ceux qui voulaient se faire plaisir en ce dimanche matin, sans forcément penser au chrono comme du côté du SATUC, l'occasion était bonne. Et ils furent tout de même près de 200, rien que dans la catégorie des adultes, à prendre le départ. C'est déjà pas si mal et Christian Durand, le principal organsiateur, avait de quoi se réjouir. Laurent Maurel également mais pour une autre raison. Il l'a tout simplement emporté et semble retrouver quelques belles sensations. Notre ami de Carmaux s'impose en 30'02''. Juste devant Thierry Augade qui lui revenait du semi de Montauban où il finissait troisième, on s'en souvient encore. Nouredinne Marjouane et Stéphane Gesset ne sont pas loin non plus. Cela s'est joué dans un mouchoir de poche. Nathalie Freund était, elle, plus à l'aise chez les féminines... 
"Même si le soleil n'a pas été de la partie, les coureurs ont apprécié le parcours qui leur a permis de découvrir ou redécouvrir St Sulpice, une des premières Bastides albigeoises, le magnifique Pont Suspendu, Couffouleux, ses vignobles et son église classée. La musique de l'accordéon de Christophe," concluait l'organisation. "Le stand de bière des Trois Brasseurs sur le stade, les pizzas concoctées par les résidents de la Maison de retraite Chez Nous ou encore les fleurs offertes à toutes les féminines sur la ligne d'arrivée ont contribué à l'ambiance conviviale qui tient tant à coeur aux Cloche Pieds. L'an prochain, en mars 2012, l'association fêtera ses 10 ans."
Dernière minute:
Le Challenge des courses d’Ossau regroupant 4 courses démarre le samedi 14 mai ! Ces « transhumances humaines » se veulent sportives, ludiques, accessibles, mais aussi conviviales! Les épreuves sont ouvertes aux coureurs et aux marcheurs avec des parcours, distances et dénivelé variés. Plus de 500 bénévoles se mobilisent chaque année pour accueillir les participants, assurer les ravitaillements et sécuriser les parcours.
2h32'09"" ! Et non, vous ne rêvez pas. Le record du marathon de Montauban a littéralement explosé en ce dimanche 3 avril sous des conditions météos particulièrement propices à l'exploit, il est vrai. A 9h30 précises, le départ donné tout près de l'Esplanade des Fontaines, véritable point névralgique du marathon, était donné, lâchant d'un coup plus de 2500 concurrents. Là-aussi, on devait noter un nouveau record... A croire que l'année 2011 sera à marquer d'une pierre blanche ! En effet sur les trois distances proposées, donc, un 10km, un semi et un marathon, ce sont environ 400 coureurs de plus qui ont opté pour Montauban cette année. Et si on y rajoute les 400 enfants de la veille, les 350 marcheurs et les 80 relayeurs (en UNSS), cela fait tout de même, vous l'aurez vous même calculé, plus de 3300 sportifs en tout genre. C'est assez phénoménal pour attirer l'attention. D'autant plus que ce n'est que la quatrième édition. Mais revenons à la course, ou plutôt aux courses. Sur le 10km, en l'absence d'Arnaud Bessède qui a plusieurs fois gagné sur ses terres, c'est un autre local, Laurent Bares qui s'impose sans souci. Il l'emporte en 30'37'' et réalise, seul, un vrai petit exploit. Là aussi le record a été battu. Carine Grand gagne chez les filles. Sur le semi, Elie Lesueur, le guadeloupéen de l'Athle 632, a longtemps été talonné d'un coureur de Villenave d'Ornon, le Marocain Mohamed Bouquartach. Celui-ci verra ses chances s'envoler pourtant juste après la mi-course et surtout partir Elie. Ce dernier signe un beau 1h13', sur un parcours donc pas des plus faciles à apréhender. Virginie Larnicol, pour sa première participation ici, l'emporte haut là main en moins de 1h30'. Mais c'est donc sur le marathon, épreuve reine, qui a donc donné son nom à la course montalbanaise, que le spectacle va être total. Car si le Marathon de Montauban attire de plus en plus de monde, il est vrai que cela est surtout dû aux courses annexes, disons-là. Et les 42km voient toujours un peu moins de 400 courageux s'élancer. Ce qui n'est pas énorme et le parcours, plutôt dur avec tous ses petits "coups de cul", toutes ses relances et ses virages en ville, a souvent été cité comme le principal fautif. On ne vient pas à Montauban pour améliorer son record ! C'est ce que l'on entend ici et là assez souvent dans l'année. Pourtant cette fois, un homme va défrayer la chronique et prouver 
que tout est possible, comme toujours, sur cette distance. Il s'agit de Arnaud Lavendomme, le Drômois de Roman. Véritable héros de la cité en ce dimanche printanier. Il va lâcher tout son monde après un départ un peu en retrait et à partir du 13ème kilomètre, ne plus jamais être inquiété. Il sera seul face à son destin. Lui qui annonçait un record à 2h34' réalisé à Francfort sur un parcours hyper plat, ne pensait vraiment pas améliorer sa performance ici. "Je suis venu pour me batailler pour la victoire. Je savais que cela serait faisable, vu les anciennes marques réalisées ici, "explique le futur vainqueur. "Mais je ne pensais pas aller aussi vite..." Autant dire que si le parcours avait été plat, le chrono serait nettement descendu sous les 2h30'. La mairie de Montauban invitait d'emblée le champion pour l'année prochaine. Une évidence ! Derrière Patrice Bruel qui enchaîne toujours les marathons, (il a fait toutes les éditions de Montauban par exemple), n'aura pas tenu. Il revenait d'un beau 2h35' à Barcelone. Là il part en tête et craque avant le 15ème. Il finira sixième. Celui qui réussit le mieux à maintenir le cap n'est autre Frédéric Lastinères, le gars de Tarbes. Il est parti vraiment en dedans, en passant par exemple sixième au 16ème kilomètre, et ne cessera de reprendre les morts. Comme on dit. Il finit deuxième. A dix minutes tout de même du vainqueur. David Lorain complète le podium. Florence Guillauma, qui avait promis de revenir l'an passé suite à sa victoire, gagne encore dans un super chrono de 3h10'. Là aussi record tombé. Restait plus qu'à tout ce beau monde à aller récupérer la petite cagette avec les bons permettant de s'offfrir toute une série de lots (vin, gâteaux, tee-shirts...) comme un petit tour au village ! C'est cela aussi qui fait toute l'ambiance et la différence du marathon de Montauban. Un Marathon vraiment à part ! Et une année 2011 de tous les records. 
Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'était pas la foule du côté du Décathlon Escalquens pour les deuxièmes foulées Kalenji. Pourtant aussi bien sur le 4,2 km que sur le 7,5, l'inscription était grauite et cela aurait pu motiver les foules. Mais le week-end étant très chargé en courses en tous genres, ils ne furent finalement qu'une vingtaine à tenter leur chance. C'est vraiment peu... Surtout que l'an dernier, ils étaient tout de même une soixantaine en tout. Bref, malgré la "pêche" de Christian Reina au micro, il fallait être mtoivé pour s'élancer en plein vent du côté d'Escalquens. Valentin Marsan habite juste à côté. Ce jeune athlète de 14 ans s'impose sur la courte distance et fait donc honneur à ses couleurs du CA Balma. Sur le 7,5 km, Julien Bonilla a juste fait une petite séance d'entraînement. Il gagne en 30'36'' et déboule sur la ligne pas vraiment essouflé. Repartant même faire quelques kilomètres dans la foulée. Isabelle Rolland est première féminine. Peut-être qu'un peu plus de promo pour l'an prochain, ce serait bien pour qu'il y ait plus de monde. Car à Décathlon tout le monde était tout de même largement récompensé et ce, donc, malgré une inscription gratuite. C'est pas mal non?
Thomas Moreau a la pêche en ce moment. Et dire qu'il nous avait dit l'autre jour à Saint-Juery, après sa victoire sur le 30km, qu'il allait lever le pied quelques semaines avant de repartir d'attaque sur le mois de mai. Et bien, les jambes le démangaient sans doute déjà un peu trop. Il est donc allé s'aligner sur le Trail de Saverdun qui était également une manche des Trails du Sud-Ouest. Moralité, il est allé taquiner les locaux sur leur terre. Et il s'en est fallu d'un cheveu pour que ces derniers ne conservent leur suprématie sur une épreuve qu'ils affectionnent tout particulièrement... Mais reprenons depuis le début. Deux distances sont au programme à Saverdun. Départ 16h. Il fait chaud mais pas autant que la météo l'annonçait. La cause à un vent assez fort qui va d'ailleurs considérablement durcir la course. Un 10km donc et un 23. Sur la petite distance, ils sont 150 au départ. Nicolas Fernandez qui n'habite pas si loin continue sa marche en avant sur des courses assez faciles pour lui. Il finit en 36'53'' nettement devant donc un Francis Da Cuhna qui réalise actuellement un très bon début de saison. On se souvient de sa victoire en février à Montlaur. Christophe Marcaillou complète le podium. Anne-Elisabteh Florin l'emporte chez les femmes. Sur la longue distance, trois hommes vont se livrer à une belle bagarre. Ils sont également 150 au départ. Deux gars se détachent rapidement : Thomas Moreau donc et Jean-Robert Flory, la star local. Difficile à battre à domicile. Malheureusement vers le 12ème kilomètre, ils se trompent de parcours. Ils se retrouvent alors propulser dans les 6 ou 7ème place et sont obligés de se mettre dans le rouge. Le seul qui résiste encore n'est autre que Cyril Chanu, tenant du titre. Bref les deux costauds le reprennent sur le plateau, face au vent, à trois bornes de l'arrivée... Et le lâchent dans la descente vers Saverdun. Thomas garde un "boyau" sur la ligne après un sprint de folie face à Jrean-Robert. Cyril est juste derrière. Louisa Gireaudeau est logiquement vainqueur en féminines... L'aligot-party pouvait alors débuter alors que la bière coulait à flots. C'est vrai que l'été semblait enfin arrivé... Et un dixième anniversaire, ça se fête !!
Sur la photo de gauche à droite et de haut en bas les Coureurs 
Le 2ème Trail des Cazelles s'est disputé dimanche dans des conditions météos pas vraiment au top. La pluie annoncée durant toute la semaine était belle et bien au rendez-vous. Elle a commencé à tomber sur le coup des 10h30. Juste le temps pour deux épreuves de se disputer mais pas pour les deux plus longs parcours... On retiendra surtout donc la main mise du nouveau Team Trail Running-Olivan sur la course. En effet Sébastien Goulmot, l'organisateur des Cazelles, lui aussi membre du nouveau Team, ne pouvait pas tremper le maillot cette fois, puisqu'il est fort bien occupé par ailleurs, mais il se réjouissait en tout cas que tout le reste de l'équipe fasse le déplacement jusqu'à chez lui. Ainsi sur le long parcours de 42km, malgré, il faut bien l'avouer, quelques petits soucis de balisage qui auront désorienté pas mal de favoris, c'est une nouvelle fois Sébastien Perrier du Team Running-Olivan donc qui s'impose. C'est sa deuxième victoire consécutive ici. Il aura longtemps été accompagné de Lionel Villeneuve et Hervé Soriano, avant de se faire la belle dans la dernière longue descente. Sur le 25km, Jérôme Amathieu, autre membre du Team, dont ce sont les grands débuts sur la discipline, s'impose assez nettement. Parti d'entrée, il ne sera jamais rejoint. Et même les relayeurs ne pourront le rattraper. Frédéric Bonotto et Rémy Jégard, également de l'équipe toulousaine, s'imposent donc en relais. On notera enfin que le premier relais mixte était composé de nos amis, Patrick Soubrier et Karine Malabre. Il y avait aussi un 10km, comptant cette fois pour le challenge vert du lot, (le 42km débutait lui le challenge des Trails du Sud-Ouest version longue!), et on y retrouvait avec plaisir Christophe De Barros, de retour sur les courses après une petite incartade, habituelle, sur les raids... Tout cela se terminait par un bon repas campagnard, dans les locaux de Cap Nature, malgré la pluie qui s'accentuait de plus en plus... 
Deux épreuves étaient au programme de ce week-end du 27 mars, deux épreuves qui ont retenu notre attention. Car ce sont aussi deux épreuves dont nous connaissons bien les organisateurs. Mais si l'un pouvait se réjouir après avoir fait le plein, l'autre ne pouvait que se désoler un peu de n'accueillir chez lui qu'une poignée de courageux. Aussi commençons par ce dernier. Jacques Donnat, puisque c'est de lui qu'il s'agit, se donne beaucoup de mal pour que perdure dans sa petite commune de Saléchan, sa petite course à pied. Il est vrai que c'est un petit coin de paradis... Mais il nous avait avouer la semaine précédente qu'il n'attendait pas la foule. Il avait déjà eu quelques soucis pour la mettre sur pied l'an passé, on s'en souvient encore. Ils ne furant donc pas même cinquante à répondre présents. Et Nicolas Fernandez, bien sûr, n'a pas eu à forcer son talent. Il s'impose sans souci, venu en voisin en quelque sorte. Et avec un bon chrono de 32'19''. Lastinères, deuxième, ne peut que constater des dégats en 35'. La première féminine se nomme Marie-Laure Chanfreau. L'autre épreuve, et bien, c'était tout simplement les 10km de Castres. Nous avions rencontré son organisateur, Eric Albert, ancien athlète de haut-niveau du côté de Saint-Juery, et il nous disait qu'il espérait dans les 300 concurrents. Comme d'habitude en sorte. Et malgré la météo, qui en aura refroidi plus d'un, ils furent tout de même 333 en tout. Même si il faut compter avec une centaine d'enfants tout de même. Gaétan Cals, bien remis de sa saison de cross, est le seul à descendre sous les 33'. Mais Maxime Durand, le traileur (du club organisateur de Castres), n'est vraiment pas loin. Deuxième en 33'16''. Avec une telle vitesse de base, pas étonnant du coup, qu'il soit un des meilleurs français dans sa spécialité. Mamoud complète le pdoium. Et Marlène Privé gagne chez les filles. On aura noté la 12ème place au passage de Nicolas Jalabert, venu lui aussi en voisin... Eric Albert était donc un organisateur heureux, déjà la tête pointée vers de nouveaux projets de course. Mais chut, on vous en reparlera bientôt ! 
Ce ne sont pas moins de 95 équipes de 3 coureurs (à quelques exceptions près) qui ont pris le départ du relai du Sicovale en ce dimanche 27 mars 2011. Record archi battu et le parking improvisé d’Aureville qui affichait complet pouvait en témoigner. Quelques belles pointures de la région étaient donc venues se frotter à cette épreuve conviviale. Il fallait donc être motivé, matinal et surtout bien réveillé pour faire parti de la fête, le passage à l’heure d’été dans la nuit n’a pas facilité la tâche. C’est donc à 9 heures que les festivités ont pu commencer sous un ciel menaçant mais indulgent pour le moment. Au programme de la journée, trois parcours à enchainer pour finir sur une petite boucle commune. Les 2 premiers parcours se passeront essentiellement sur bitume et le dernier sera plus axé trail … mais le point commun aux 3 circuits sera le dénivélé, les parcours seront loin d’être plats. Niveau course, l’équipe « Running Mag » composé du trio inédit (Barthelemy / Dubois / Miquel) a occupé la tête du début à la fin. Fred sur son 1er relais a vraiment imprimé un tempo impressionnant et placé Xavier sur une très bonne rampe de lancement (avec 2 minutes d’avance), Xavier continue sur cette dynamique et passe le dernier relai à Nicolas qui n’aura presque qu’à assurer mais devra faire son parcours avec la pluie qui fait désormais son entrée dans la compétition. L’équipe « Running Mag » s’imposera au final avec 3min30 sur la deuxième « ASEAT 5 » (Deluguin / Sopensen / Tinevez) La dernière équipe à compléter le podium sera les dénommés « les crèmes saucisses » (Bordaz / Laganne / Ginestet) qui n’ont pas voulu dévoilé le secret de leur nom. La première équipe mixte n’est autre que l’équipe « ASEAT Crédit mutuel composé du trio Zuppeli / Cordary / Redon. Chez les féminines ce sont les « Trolles des clochers » (Rivière / Dusseau / Marty) qui s’impose. L’organisation, quoiqu’un peu débordée par leur succès, aura donc proposé une matinée conviviale avec des parcours, aux dires de tous, très ludiques et loin d’être monotone. 
Dimanche 20 mars se déroulait le Printemps des Kiwis à Villefranche de Rouergue. Trois épreuves étaient proposées. Le team 12 saluait une organisation sans faille orchestré par toute l’équipe de Jean-Pierre Belveze et surtout se rendait une nouvelle fois en terrain conquis. L'an dernier la razzia fut belle sur toutes les distances avec notamment une victoire du che defile, Jean-CHristophe Batut. Et cette année encore, re-belote: sur le 10 km victoire de Jean-Christophe Batut en 34 mn 41 s, Cyril Estivals 5e place au scratch en 37 mn 23 s, Yannick Bosch 6e place au scratch en 37 mn 39 s , Frédéric Bec 10e place au scratch en 39 mn 57 s , Maryline Marty 7e place en V2 en 1heure 10 mn 47 s. Sur le semi-marathon victoire de Laurent Gely en 1heure 17 mn 01 s ,Laurent Issaly 10e place au scratch en 1heure 27 mn 07s ,Michel Debaisieux 3e place en V2 en 1heure 29 mn 50 s ,Sylvain Rives 18e place au scratch en 1 heure 33 mn 46 s, Joëlle Debaisieux 2e place en V1 en 1 heure 47 mn 40 s , Christian Pons 9e place en V2 en 1heure 52 mn 59 s. Sur le trail victoire de Christophe Soulié, Lionel Cazes 20e place au scratch. Difficile donc de faire un plus joli tir roupé pour une équipe. Et tant mieux pour le Printems des Kiwis qui regroupait en tout près de 200 coureurs... .jpg)
Seissan-Auch, c'est une vraie classique dans la région. Parcours plat, départ à un point et arrivée à un autre donc pour une épreuve réputée hyper-rapide car légèrement descendant. Cette année, en plus, les conditions météos étaient parfaites. Bref à l'heure du retrait des dossards, on se sareit cru revenir à la belle époque de l'épreuve, quand plus d'un millier de personnes venaient tenter leur chance pour un bon chrono. Aussi l'un des plus anciennes courses de la région a tenu, une nouvelle fois, toutes ses promesses, et il faudra même retarder le départ d'une demi-heure à cause de l'affluence record et donc du coup d'un petit problème de cheminement des navettes mises en place pour rallier le départ. Plus de 300 sur le dix bornes, encore plus sur le semi ! Par contre, ce qui ne change guère dans le Gers, outre bien sûr le légendaire accueil, c'est qu'à Seissan-Auch, ce sont rarement des Français qui l'emportent. Ainsi cette fois encore, sur le semi, c'est le Burundais Jean-Claude Niyonizigiye, vainqueur du 10km de Blagnac il y a quinze jours, qui l'emporte devant Yannick Dupouy, le Lot-et-Garonnais de Bordeaux et Sadik Balha qui aime bien venir courir dans le coin. Nawal Pinna l'emporte, elle, en un très temps de 1h22' devant Christiane Roux. Sur le 10km Richard Hobby, l'Anglais que tout le monde connait bien maintenant, lui qui avait gagné le championnat midi-pyrénéen de cross, s'impose contre toute attente en 31'07''. Il bat tout de même, ni plus ni moins que Benjamin Bellamy, la star locale, troisième donc et le Kenyan Dieudonné Gahungu de l'Atheg qui monte aussi sur le podium en deuxième place. C'est allé vraiment vite. Sophie Mazenc, pour être complet, gagne chez les filles. 
Ce dimanche 20 mars, jour du Printemps, se déroulait également les traditionnels 11km d'Odars. L'épreuve, chère à Eric Pouzet son responsable organisateur, avait fort à faire avec une grosse concurrence, et de Seissan-Auch et du Trail des Forgerons, deux épreuves pas vraiment toulousaines mais pas si loin non plus. Malgré tout plus de 150 coureurs se sont donc retrouvés sous un beau soleil et dans une ambiance très bon enfant. Le parcours, sans grosse difficulté, a permis à des jeunes de se mettre en évidence. Aussi sur le 11km, épreuve reine qui a regoupé près de 120 participants Maxime Tinevez de l'ASEAT, réalise un beau 42'33", gardant une minute d'avance sur un Aurélien Jean toujours combatif. Pascale Marty, quant à elle, sera la plus rapide chez les féminines. Elle devance Nikolinka Natanska. Sur le 5km, épreuve annexe donc, c'est un Aquitaine qui est venu jouer les trouble-fêtes au plus grand dam de Patrick Vial et Hervé Delagiclais qui auraient bien aimé s'expliquer entre eux. Mais Thierry Merland, le Villeneuvois du Lot-et-Garonne, spécialiste de cette distance, ne l'entendait pas de cette oreille. Il l'emporte en 19' tout rond. Christiane Jeannin a été la plus rapide chez les filles...
Incroyable mais vrai ! La Cadursienne, course excluivement réservée aux féminines, a une nouvelle fois battu son record de participantes. Et ce n'est pas peu dire quand on sait que l'an passé déjà on avait frôlé la barre des 2000 inscrites. Cette fois c'est donc fait et bien fait. La nouvelle présidente des Extrapédestres du Quercy, Mireille Crouzet, un peu fatiguée hier sor à l'heure de tout ranger, était aux anges. Cela fait neuf ans, en effet, qe l'épreuve existe et tous les ans ce sont trois cent femmes supplémentaires qui viennent pariciper à la grande fête de la course à pied. "Nous faisons cela pour la bonne cause et ce sont beaucoup de femmes du coin qui viennent nous voir. Tous les bénéfices sont réservées à la Ligue contre le cancer du sein. Ce fut une grosse journée mais la satisfaction est au bout." Mariame Rességuier, la locale, pour la petite histoire, s'impose en 24'48'' sur les six kilomètres du parcours rapide. Elle est suivie d'Anne Florent à une dizaine de secondes. Et de la première vétérane 2, Laure Blanc, juste un peu plus loin. Mireille Crouzet, président très active, a donc plein de projets dans son sac à main. Notamment relancer le fameux site internet qui a toujours si bien focntionné dans le 46, mais aussi reconduire les 10km du Valentré, après le départ de notre ami René Martinez, ex-président du CDCHS 46 aussi, qui a souhaité prendre un peu de recul après tant d'années au service de la course à pied locale... Mais chut on reparlera très bientôt de tout cela. Bien sûr...
Bon d'accord, ce ne fut pas la foule à Montrejeau pour la traditionnelle Flamme Occitane, mais ce sont tout de même 120 coureurs qui se sont retrouvés sur les deux distances proposées au programme du jour. Un 7 et un 15 kilomètre pour un départ unique à 15h. Pas évident donc de se mobiliser pour un samedi après-midi pourtant ensoleillé. Et autant le 7km était plat et assez roulant, autant le 15km lui était beaucoup plus dur à négocier avec des bosses en veux-tu, en voilà ! Sur la courte distance, on retiendra surtout le retour en forme de Nathalie Olasagasti. Elle l'emporte une nouvelle fois. Chez les garçons, Sami Hijazi a été le plus costaud, juste devant Guillaume Dupin et Patrick Vial, notre Toulousain motivé. Sur le grand parcours, là ce fut vraiment plus serré et le spectacle était au rendez-vous. Car Jean-Jacques Rives et Fred Lastinières n'auront pas assez de toutes les difficultés du parcours pour se départager. C'est donc au sprint que cela se jouera et JJ (pour les intimes) aura su garder un peu de fraîcheur. Il gagne en 55'50''. Soit quatre secondes mieux que Fred. Antonio Dos Santos, un peu plus loin, est le dernier à monter sur le podium. Mais bien en forme pour son marathon d'Albi qu'il prépare soigneusement et qui approche à grands pas !Le mot de la fin pour l'équipe organisatrice: "L
Le Calibat Trail, c'est une belle occasion de retrouver notre ami Alex Bouchechiche qui se démène depuis de nombreuses années dans le 65 pour donner à la course à pied ses lettres de noblesse. Mais c'est aussi un des premiers grand rendez-vous au niveau trail dans les Pyrénées. Et les coureurs ne s'y sont pas trompés, puisque sur l'ensemble des distances proposées, du côté de Bordère sur Echez, on retrouve près de 500 partants en tout. C'est énorme. D'autant plus que les parcours proposés n'ont rien de reposant. Bref le succès était une nouvelle fois au rendez-vous. Et c'est encore un Anglais qui s'impose dans le coin. On connait bien désormais Richard Hobby (il était d'ailleurs à Saint-Médard en Jalles ce jour-là) et bien on se souviendra de Jon Sharkey. Il était de passage et sur la distance de reine de 33 kilomètres mais tout le monde d'accord avec un chrono de 2h24'. Juste derrière la bataille fut de toute beauté avec plusieurs champions de belle renommée. Patrick Bruni, bien revenu en forme donc, finit main dans la main avec Yves Tabarant, l'éternel. (plus de 60 ans tout de même ! et pui vous avez bien lu...). Bareilles est derrière, tout comme Marc Estève... Bref du très haut niveau. Sur la distance en dessous, Fred Marqué a juste gardé quelques secondes d'avance sur Damien Gardey. Là aussi, ce fut donc chaud !
Bon d'accord, ce n'était pas encore le printemps du côté de Saint-Maurice. Pluie et vent au programme de ces 24èmes Printemps de Saint-Maurice en Quercy, mais bon, il en aurait fallu plus pour décourager Raymond Pourcel, l'organsiateur en chef... et finalement toutes courses confondues, ce sont pas moins de 140 coureurs ou sportifs qui se sont retrouvés pour cette manche du challenge Lot - La Dépêche (retrouvez d'ailleurs le reportage complet de la course sur le site de votre quotidien!). Les Printemps étaient en effet la troisième manche du challenge sur route de l'année. Et Anne Florent, après sa victoire la semaine dernière à Gigouzac, confirme sa forme grimpante du moment. Elle n'a pas rivale à sa poigne dans le coin et l'emporte donc avec plus de deux minutes d'avance sur Marie Resseguier. Chez les hommes, c'est notre ami Jean-Michel Lopez, que nous avions croisé du côté du Confluent en 2010, qui remet donc le couvert pour une nouvelle victoire. Il l'emporte en 39'14'' et laisse Daniel Paujie, autre vétéran, assez loin. Jean-Michel gagne au moins une course par an... Cela deviendrait-il une habitude? 
"Dans les derniers jours de l’hiver, au belvédère de la vallée de l’eau, vous découvrirez une épreuve sportive qui ne manquera pas de vous surprendre. Au cours d’un itinéraire traversant les forges des cloutiers, le massif granitique de l’Arize, royaume de la forêt et des estives, Ganac vous ouvre ses sentiers !" C'est bel et bien en ces termes qu'est présenté sur le site de l'association 
dans les années à venir. Côté course, Jean-Robert Flory, le gars du 9ème RCP, qui affectionne tout particulièrement ce genre de parcours (19km avec plus de 1000m de D+), s'est fait un petit plaisir. Il devance nettement Laurent Brossard, passionné de photos, autre gars du cru. La première féminie n'est autre que Agnès Francastel Mais ce qui vraiment certain, à cette heure, c'est qu'une nouvelle classique est née. Et le mot de la fin pour ntre passionné animateur Patrick Anné : "Vraiment je ne vois que des bons points à retenir : - très bonne participation, - beau temps, - bonne ambiance, - un bon accompagnement avec les Amis de Forges de Pyrénes, - bonne organisation avec l’aide des valeurs vives de la vallée de la Barguillère et au delà, - des cadeaux originaux avec en prime de beaux clous forgés par Zézé de Brassac, une première édition qui en appelle d’autres...et comme nous avons l’habitude de le dire par chez nous un bel essai transformé!"
Le rendez-vous approche rapidement. Le semi de Blagnac fêtera cette année, en effet, son vingt-cinquième anniversaire et les années sont passées sans qu'on les voit filer finalement. Il y a une dizaine d'années, Isabelle Guillot, Madame "Montagne", était la fer de lance du SC Blagnac et se posait en porte-parole du club de la banlieue toulousaine. Depuis elle a déménagé pour retrouver Gap et les Alpes, mais reste toujours dans le coeur de Claude Mounaud, président du club depuis bien plus longtemps que cela et quasiment à l'origine du BSC... Il y a déjà trente ans. Et oui! Nous l'avons donc rencontré au club house du club, du côté de la Zone d'activités d'Andromède à Blagnac. Tout a changé vers là-bas et tout évolue encore très vite. C'est avec plaisir qu'il revient avec nous sur ses trentes années de passion. Car on se doit de le dire, s'il en est bien parmi nous qui est un vrai accroc d'athlétisme dans la région, c'est bien lieu. Ecoutez-le dans la vidéo qui suit... Séquence nostalgie. 
Le Toulouse Tri organisait ce dimanche à Sesquières son désormais traditionnel Bike and Run de début d'année. Robert Moreau, dit roro pour les intimes, était donc une nouvelle fois aux commandes. Même si un peu malade... Plusieurs distances étaient au programme: un découverte de 12 km lancé à 10h30, un courtes distances de 24 km, véritable épreuve reine de la matinée parti lui à 10h et puis deux autres courses pour les plus petits dans l'après-midi: un "Ours" et un "Izard". Tout le monde était donc de la fête. La météo, quant à elle, annoncée pourtant très mauvaise, n'était pas aussi difficile que ça. Quelques éclaircies faisaient même leur apparition en milieu de matinée. Même si le vent froid et la grisaille devaient sûrement en démotiver certains... En effet il y eut une quarantaine d'équipes sur le long, une vingtaine seulement sur le petit pour un total de moins de deux cents coureurs, toutes distances confondues... En tout cas tous les licenciés du Toulouse Tri étaient sur le pont comme bénévoles d'une journée mémorable pour le club. Et le terrain, surtout en bordure de Garonne, était vraiment humide et proche des conditions de trail. Sur l'épreuve phare de 24km, où chaque coéquipier devait donner son vélo de main à main et non comme c'est parfois le cas, le laisser de côté pour que l'autre le prenne au passage et reparte derrière, la formation du TUC composée des deux potes, Laurent Marquez et Anthnoy Rosselet, deux spécialistes du genre, n'ont jamais pu être inquiétés. Ils sont en tête de suite et gèrent leur avance. Derrière c'est plus serré. En effet trois ou quatre équipes pourront longtemps prétendre à la deuxième place. Et finalement le jeune Blagnacais, Benjamin Michot, associé cette fois à Arnaud Baus du TOAC, réussit dans les deux derniers kilomètres à prendre le meilleur sur Nicolas Miquel et Rémy Jégard, victime d'une chute pourtant dans le premier tour. Vincent Gaubert et Martine Latger s'en sortent bien en mixte... Le tout sous l'oeil du président de la ligue, Michel Serradell, toujours aussi actif pour la région Midi-Pyrénées. 
Osmosea (
Les championnats de France de cross avaient lieu dimanche en Bourgogne du côté de Paray-de-Monial. Presque 3000 coureurs coureurs, tous qualifiés suite aux Interrégionaux, s'étaient donc donnés rendez-vous pour le plus grand rendez-vous continental de la discipline. Côté midi-pyrénéen, on attendait surtout beaucoup de deux de nos représentants. Et l'on peut dire sans rougir, qu'ils n'ont pas déçu. En effet Sophie Duarte (CA Balma)remporte le bronze en catégories élites. Il lui a manqué une poignée de secondes pour parvenir à son rêve ultime dans la conquète du titre. Daunay et Bardelle étaient encore en embuscade. Le jeune junior Djilali Bedrani (Athlé 632) dont on vous parle depuis quelques mois maintenant puisqu'il a tout râflé des régionaux en passant par les inters, échoue aussi de peu. Quelques 18" seulement pour le titre. Il se classe aussi troisième. Anne Lonjou du SATUC est également allée au bout de son chemin dans cette discipline. On attendait beaucoup de la talentueuse toulousaine et elle n'a pas déçu non plus puisqu'elle se classe troisième en espoirs élites. Bref tous ceux qu'on attendait au plus haut-niveau ont bien répondu présents. On retiendra aussi pêle-mêle la 5ème place par équipes du CA Balma sur le cross court féminin, la 5ème de l'Athlé 632 en cadets. Et la 8ème place en cadets d'un autre sociétaire du SATUC, Daniel Delattre, sûrement l'un des plus bels espoirs de la région. A surveiller dans les années à venir donc ! Par contre ce fut plus dur sur le cross élites hommes. Celui qui a réussi à tirer le mieux son épingle du jeu, habitué des grands rendez-vous, et surtout de retour en grande forme, c'est encore Pierre-Laurent Viguier. Le sociétaire du CA Balma rentre dans le TOP 50. Cédric Pélissier et Sébastien Beltran, tous deux ex-toulousains, et que l'on connait fort bien dans le coin, n'étaient pas à ces championnats. En effet après leur résultats obtenus aux Frances militaires, ils s'étaient qualifiés pour les Europes et ont préféré honorer cette sélection. Bien leur en a pris puisqu'ils ont été sacrés champions d'Europe par équipes. Ouf !
Cela ne fait que deux ans que cette épreuve existe. En effet la première édition avait bien lieu en 2009, mais l'année passée la neige tombée en abondance en cette période n'avait permis l'organisation de l'épreuve. Aussi c'est avec une certaine joie que Fabienne Andréan, présidente des Foulées Sévéragaises, association organisatrice, remettait le couvert cette année. "Cette fois la météo a été avec nous " explique-t-elle d'emblée. "Du soleil et pas trop froid, c'était presque idéale. Nous avons accueilli près de 250 personnes. C'était au-delà de nos espérances. Il y en a eu beaucoup, c'est sûr sur le 11km, mais nous avons aussi compté plus de 50 marcheurs. Je suis satisfaite même si je sais qu'il y encore quelques petits détails à revoir. Je veux que tout soit parfait et par exemple au niveau des résultats, ça a un peu coincé. Nous avons oublié une catégorie. Tout cela devrait être régler pour l'an prochain..." Il est vrai aussi que ce n'est que la deuxième édition donc... Au niveau compétition, c'est un gars du Cantal qui a mis tout le monde d'accord et de belle manière. Le record de l'épreuve a été littéralement explosé. David Guilchet met 2h24' pour couvrir les difficiles 30 kilomètres du programme. Un quart d'heure de mieux que l'ancienne marque. Et le second du jour, Robert Bonnefous est à 13' tout de même. La première féminine n'est autre que Véra Sukhova. Sur le court, cela a été très, très serré. Nicolas Rambier et Daniel Camalet finissent ensemble, mais Christope Soulié, troisième, est à quelques secondes seulement. Pareil pour les féminines où Catherine Maurin l'emporte mais avec 9'' seulement de mieux que Audrey Carrière. 
C'était le 20ème anniversaire et cela se fête. Donc pour l'occasion, le TACO Aucamville qui organise depuis toujours cette sympathique épreuve en relais de trois (5 km) avec un parcours commun final de 1,5 km, avait décidé de changer un peu de site et de se diriger vers Fonbeauzard et surtout ce sont près de 170 équipes qui se sont inscrites. Pour marquer le coup donc ! Et ainsi exploser l'ancien record qui était de 130 formations. Philippe Soulandon, le président des TACO, n'en revient toujours pas... D'autant plus que la météo pour ce dimanche 20 février, annoncé couvert, a été plutôt clémente et le soleil a même largement fait son apparition. En ce qui concerne la compétition, ce sont une nouvelle fois les gars de Blagnac qui ont fait la différence. Benoît Rouzaud donnait son relais avec quelques secondes d'avance seulement sur Habib Bennama de Carmaux, mais dans la foulée Frédéric Bergin accentuait un peu l'avance sur Olivier Foissac et Jérôme Bellanca parachevait l'oeuvre globale en finissant lui avec carrément une quinzaine de seconde d'avance. Il y avait plus qu'à assurer le coup dans le parcours commun. Carmaux se classant donc logiquement deuxième. Et l'autre équipe de Blagnac complétant le podium ! On retiendra aussi que la formation Aseat de Molinier, Chabal et Tanguy finit deuxième vétérane (derrière Carmaux bien sûr) et que les premiers mixtes sont ceux du Crédit Mutuel avec Redon, Vandesteene et Cordary... (les deux gars avaient gagné en relais le Trail du Pastel). Tout cela se finissait par une gigantesue remise des prix orchestrée par Miss Toulouse, en personne, tout juste couronnée... et un superbe buffet.
Pour une première édition, on peut dire que le succès était bien au rendez-vous. Le Forest Trail a donc attiré près de 600 concurrents répartis sur trois distances: un 21 km, un 46 km et un relais. Mais ce que l'on retiendra surtout c'est qu'il fallait vraiment être costaud pour aller au bout de cette aventure tout à fait nouvelle dans la région. Car avec la pluie qui était tombée en abondance dans l'après-midi du samedi 19 février, le parcours était véritablement détrempé et les appuis de tout le monde, chaussures trail ou non, relativement fuyants. Bref la frontale n'était vraiment pas de trop et si les départs étaient donnés encore avec le jour, très vite on se retrouvait en pleine nuit et donc avec des repères totalement faussés. Ce qui donnait à l'épreuve une toute autre dimension. On comprend mieux pourquoi les organsiateurs ont refusé plus de quatre cents demandes d'inscription. C'est une épreuve qui demande vraiment à grossir dans les années à venir. En tout cas pour la première, c'est un trio, trois potes en vérité qui se connaissent bien, qui s'impose sur le long. Il s'agit de Sébastien Perrier, du Team Running, de Xavier Geay, tous deux avaient fini main dans la main on s'en souvient au Trail du Pastel en troisième place, et donc de Vincent Rivoire, auteur d'une chute spcetaculaire à dix kilomètres de l'arrivée. En relais, c'est l'équipe de vieux briscards, Régis Labro et Eric Maire qui l'emporte haut la main. Rémy Jégard avait passé pourtant le témoin en tête à l'abbaye Saint-Cécile après les 21 premiers kilomètres, mais son coéquipier Patrice Bruel, en chaussures "slik" a eu beaucoup de mal à éviter les chutes... Sur la courte distance enfin, Nicolas Miquel, très en vue en ce début de saison, s'impose assez facilement. la première féminine n'est autre que Magali Alquier....
Les 10km de Grauhlet sont une référence dans le département du Tarn. D'une part parce que le parcours est tout plat et mesuré. D'autre part parce que l'organisation, orchestrée par le SC Graulhet Athlétisme, est sans faille. Aussi ce n'est pas étonnant si chaque année, ils sont quelques poignées à venir y tenter leur chance pour obtenir un bon chrono. On se souvient de la balle bagarre entre Boucif et Fernandez en 2010 et bien ce dernier a décidé au tout dernier moment de tenter une nouvelle fois le coup. Et cette année, il n'a pas eu à trop forcer son talent comme on dit... Il s'impose assez nettement malgré un "petit vent de derrière les fagots" qui n'a pas permis de performance extraordinaire. Laurent Maurel assure bien derrière la deuxième place devant un autre gars du Team 12, Régis Betrand. Le Team 12 était d'ailleurs venu en force sur cette épreuve voisine pour eux et Jean-Christophe Batut, le chef de file prend une belle cinquième place. Sur la courte distance, d'un peu moins de 5 kilomètres, c'est Lilian Médus, que l'on prenait plaisir à retrouver, qui l'emporte. 160 coureurs se sont alignés sur le 10 contre une quarantaine sur le 5 km.... Ensuite pouvait débuter le fabuleux tirage au sort, marque de fabrique de l'organisation de Grauhlet.
Les Interrégionaux de cross, autrement appelés aujour'dhui demi-finales du championnat de France, se sont disputés ce week-end du côté de Rodez. Ils regroupaient donc toute la partie sud-ouest de la France avec les régions de Midi-Pyrénées, mais aussi du Limousin et d'Aquitaine. Après avoir suivi de près les régionaux qui se déroulaient eux quinze jours plus tôt à Castres, il nous tardait de savoir commet se comporteraient les midi-pyrénéens dans cette dernière manche qualificative avant les Frances qui auront lieu, eux, en plein centre de la France.... Aussi on peut être satisfait côté régionaux car de nombreux garçons ont confirmé. Mais le plus gros exploit est à nouveau à mettre entre les mains de Djelali Bédrani. Le jeune sociétaire de l'Athlé 632 est une véritable perle. En juniors en effet il met tout de même son second à plus de 45''. Quand on connait le niveau des compétitions sur cette discipline, on se plait à rêver à un éventuel titre national très bientôt. Le deuxième est Julien Detre d'Albi. La plus grosse surpise est tout de même venue de la Primaube. Elle avait surpris son monde en gagnant les régionaux et bien elle a remis cel sur le cross long. Même si en individuels, les gars ne sont pas tout devant, en équipes en tout cas, ils sont très groupés. C'est Benjamin Malaty qui l'emporte sur cette distance dite reine. On reiendra que Sébastien Beltran de Balma est quatrième, Romain Courcières de Caussade (6ème) et Mathieu Lonjou (10ème). Sur le court, Kamal Saïdi, évidemment, l'emporte mais Maël Alric confirme sa belle prestation des régionaux. Le gars de l'Ecla Albi est deuxième.Enfin après avoir noté que les cadets du SATUC l'emportent par équipes et les cadettes de Balma font deuxièmes. Il faudra félicier Anne Lonjou qui finit deuxième en élites femmes, juste derrière l'intouchable Delphine Ader. Restent donc plus que les championats de France. On y sera !
Alain Despiau, Jean Claude Latour et toute leur équipe ont remis le couvert. C’est du pur bonheur de venir courir ici. La troisième version du trail gascon s’est montrée tout aussi exigeante que les deux premières, à la hauteur de ce qu’attendent, en fait, les accros de la discipline. Et quand l’organisation est à la hauteur de ses ambitions comme c’est le cas ici, quand le décor et le parcours offrent aux yeux et aux sens ce que l’hiver impose à la nature, la manifestation est vite couronnée d’un succès populaire croissant et amplement mérité. Si vous ajoutez l’accueil que vous réserve toute l’équipe des foulées gimontoises et que, sportif averti, vous surmontez l’effort que requiert l’épreuve, vous passez assurément un beau et bon dimanche. Confronté à vous-mêmes, vous vous réconciliez avec le monde et sa nature. Effort et réconfort. Sentes sans flaques cette année, floc et saintes saucisses pour s’en remettre...
A Gimont, Monsieur « dix sept kilomètres à l’heure » s’est vite et naturellement retrouvé aux avants postes, avec Hervé Arribe et Henryk Sobinski. Même si le départ des deux épreuves fut donné en même temps, seul Fred Bergin, mandaté sur le dix, parvient à suivre leur train, assez facilement. Faute de concurrence à son niveau, le Blagnacais ravit la petite distance. Laissant Fred à ses lauriers, les trois autres, bien échappés, ont poursuivi. La spécificité et la difficulté du terrain de cross donneront raison au plus fort. Henryk paie les efforts fournis sur son VTT le week-end dernier. Victime de crampes, il pêche. Hervé relance assez bien sur les talus, mais sur les crêtes, au sortir des toboggans, là où la relance nécessite encore du jus, la locomotrice Patrice, au train, décroche les wagons et s’en va tout seul ravir la couronne du roi de Gimont. Gentillesse et humilité sont chez ce coureur à la hauteur de son talent. Chez les dames, les vraies, Madame Houria Fréchou, tout sourire, a vaincu. Houria est venue accompagner son mari Patrick, convalescent. Sans pression, sans objectif de victoire. Faute de concurrence, elle gagne pourtant....
On l’annonçait comme le grand favori de l’épreuve et il n’a pas déçu. Mais il s’est est fallu d’un rien que Julien Rancon ne puisse doubler la mise du côté de Gruissan et de son massif de la Clape. En effet le Montpellierain David Laget a réussi cette année le petit exploit de le pousser dans ces derniers retranchements…
Il n'y avait pas que la Ronde Givrée de Castres ce week-end du 6 février en Midi-Pyrénées. En effet à Cazals, on fêtait déjà la 8ème édition des 10km de Cazals. Cette épreuve 
Finalement ce sont près de 270 équipes de quatre coureurs qui se sont donnés rendez-vous en ce dimanche particulièrement ensoleillé (et ce malgré un début de matinée marqué par un brouillard à couper au couteau!) du côté du parc des Expos de Castres pour participer à la 29ème édition de la Ronde Givrée. Traditionnelle et incontournable épreuve en relais du début d'année. Cela réprésente tout de même plus de 1000 coureurs et la Ronde reprend du poil de la bête après une année 2010 un peu morose et une baisse d'effectif. Michel Moiroud, lorganisateur en chef, expliquait que cela était sûrement dû au remplacement de l'étape longue de 20km par une plus petite, donc plus abordable, de 10km. C'était la grosse nouveauté de cette année d'ailleurs en attendant bien sûr l'anniversaire de la trentième et déjà plein de surprises au menu avec notamment quelques unes des plus anciennes formations lauréates invitées pour l'occasion. Cela peut toujours faire plaisir de retrouver des Gonzalez ou autre Lévisse... Qui sait? 
Running Mag partait prudemment avec Sébastien Sarda, Patrice Bruel reprenait du temps et Xavier Sanchez réussissait même à passer deuxième, suite à un erreur de parcours d'Eric Cordeiro de Conduire Juste. Toute la pression retombait sur les épaules de Rémy pour le dernier relais. Et si Richard Hobby le passe sans souci. Il faudra quasiment un sprint pur qu'il conserve la troisième place donc au profit de Géant Casino bien revenu pourtant avec un Andrieux, hyper affûté ! On peut noter aussi qu'en mixtes, c'est Capo Payrin qui s'impose avec une 14ème place au scratch et qu'en féminines, l'équipe Irlandaise de Wakefield Ladies, habituée du rendez-vous castrais depuis quelques années aussi, a réussi un bel exploit. Enfin en vétérans, le TACO d'Aucanville était vraiment au-dessus du lot. Septième au général tout de même avec un superbe dernier relais de Dos Santos.....jpg)
Finalement la météo était à peu près clémente du côté de Castres pour ces régionaux de cross pour le moins attendu dans la région. D'autant plus que c'était la seule épreuve du dimanche dans toute la région, mis à part bien sûr l'épreuve de la veille au soir dans l'aveyron, l'Enfer de Palanges. Aussi la foule des coureurs était bien au rendez-vous avec plus de 1000 coureurs classés dans toutes les catégories. Pourtant d'entrée, on pouvait regretter l'abscence d'un des grands favoris, Nicolas Fernandez, pas remis donc de sa douleur derrière le mollet. Par contre, le jeune David Gosse, que l'on avait tout abord pas annoncé, suite à son stage prévu avec l'équipe nationale en préparation du 800m, était bel et bien de la partie. Et il a bien eu raison de prendre part au cross court car il se classe finalement deuxième de l'épreuve, à une petite seconde, tout juste de Maël Alric, impitoyable donc sur ce genre de sprint. Tous deux sont encore espoirs! Cela promet. Sur l'épreuve phare, la plus attendue en tout cas, le cross long garçon, sur la distance de 9235 mètres, c'est finalement le club de la Primaube qui va tirer les marrons du feu. Si l'on peut dire. Car si Richard Hobby sera bien lui le plus rapide, tout cela se jouera en tout et pour tout pour quelques secondes. En effet entre le vainqueur et le sixième, Pierre-Laurent Viguier, de plus en plus en forme donc, il n'y a même pas vingt secondes... Ce fut chaud. Romain Courcières est deuxième de la course et donc champion régional. Mathieu Lonjou est sur le podium et a une petite seconde du titre. Aurélien Lescure, le triathlète ailée, complète le tout, lui aussi à à peine trois secondes du titre. Bref le spectacle fut vraiment au rendez-vous ! On notera aussi qu'en vétérans, c'est Régis Lacombe, le roi du cent bornes, qui s'impose devant Albderkader 
Mamou et que Thierry Ennebeck, malgré son emploi du temps très chargé actuellement, prend la cinquième place et revient peu à, peu à son meilleur niveau. Enfin pour en finir avec les masculins, le plus impressionnant de tous, fut une nouvelle fois, Djlali Bedrani. Le jeune athlète de l'athle 632, a survolé les débats en juniors. C'est de la graine de champions ! Chez les féminines, on aura vu que Sophie Mazenc de Rodez a réussi, assez facilement, à prendre les devants. Anne Lonjou est deuxième. Nawal Pinna complète fièrement le podium. On regrette juste l'absence de Sophie Duarte sur la distance. Mais elle rentrera en lice le tour prochain. Car on le répète les demi-finales du championnat de France ont bien lieu à Rodez cette année. Dans tout juste deux semaines ! Sur le cross court enfin, Coralie Bez devient championne régionale devant Charlyne Diaz. ON notera pour être complet que le CA Balma a réussi à râvir le plus grand nombre de titres, avec toutes les catégories confondues, et les jeunes en avant... Mais bien sûr des clubs comme la Primaube, ont eux aussi fait parler d'eux avec les catégories plus âgées. Finalement ce fut de très beaux régionaux cette année.
Près de 500 traileurs, c'est finalement le nombre qu'il faudra retenir de cette première édition du trail intitulé "Les Chemins du Pastel". C'est donc largement dans les prévisions les plus otpimistes des organisateurs, que ce soit ceux de la Tribu Orange, entendez par là le CA Balma qui avait donc mobilisé pour l'occasion plus de cent bénévoles, ou le magasin Versan Trail qui était donc associé au club en la personne de Daniel Bellon, lui même licencié au CA Balma, mais avant tout grand passionné de trail et course nature devant l'éternel. C'est lui en effet qui a balisé et "trouvé" la plupart des 34 kilomètres de sentiers et chemins qui auront donc été empruntés durant cette matinée. Mais évidemment, comme souvent dans ces cas-là en plein mois de janvier, le grand point d'interrogation, venait donc de la météo. Et si la pluie n'était pas de la partie, c'est bien le froid qui aura joué les trouble-fêtes. En effet, il fallait vraiment être givré, c'est le cas de le dire, en ce dimanche matin, vers 7h du matin (pour les coureurs bien sûr car les organisateurs étaient sur le pied de guerre dès 5h) pour aller oser mettre ne serait-ce que le nez dehors. Les thermomètres affichaient des -5°, -6° voire -7°C, cela changeant juste avec le lieu d'habitation de chacun... Bref à Montlaur en cette matinée, à l'heure du grand départ, il devait bien faire -5° C au bas mot, parole de traileur averti. Et il y a fort à parier qu'une bonne cinquantaine de sportifs, pas encore inscrits, n'auront pas osé franchir le pas. On peut les comprendre ! 
finissant au sprint face à ces deux-là. Derrière lui ceux du 14km en terminent donc. Francis DaCunha, notre solide ami ariégeois, maintenant V2, l'emporte avec quelques secondes d'avance seulement sur Olivier Belgarric du club organisateur. Stéphanie Alias s'impose chez les féminines. Devant c'est la bagarre pour le titre. Emmanuel s'envole. Il vient de passer Rémy Jégard au km 24, après avoir refait le léger retard suite au passage de relais. Rémy ne finira que deuxième par équipes associé donc à Nicolas Miquel. Repris dans les deux derniers kilomètres par un Laurent Redon, toujours aussi hargneux et volontaire, qui ne baisse jamais les bras. Chez les féminines, c'est la paire Brothier-Courday qui fait nettement la différence. Thomas Moreau, en individuels, a lâché un peu prise, mais résistera jusqu'au bout pour finir finalement deuxième. Vincent Rivoire et Sébastien Perrier, les deux autres "stars" régionales finissent sur le podium, main dans la main. 
Pour cette nouvelle édition du cross de la ville d'Auterive, disputée dimanche 23 janvier, dans le bois de Notre-Dame, Elie Lesueur, un des principaux favoris en catégorie seniors, s'est facilement adjugé la première place, en 31'01''. Blessé après les 10 km de Ramonville en décembre dernier, le sociétaire de l'Athlé 632 a signé un joli retour gagnant. Du côté des seniors féminines, Emilie Decamps, sous les couleurs des "Coureurs de fond du conseil général de l'Ariège", a terminé sur la plus haute marche du podium. Malgré un nombre de participants légèrement inférieur à l'année dernière, les organisateurs ont tout de même réussi à attirer 250 concurrents. 
Vendredi soir dans les locaux de la Dépêche du Midi à Toulouse s'est déroulée, comme cela est devenu une tradition donc en tout début de saison, la remise des prix du challenge Raphaël Lévy. Pas mal d'organisateurs de courses de haute-garonne avaient donc répondu à l'invitation une nouvelle fois de Serge Lévy en personne. Et c'est donc avec une grande joie, et aussi une certaine émotion que nous avons retrouvé ce vrai passionné de course à pied. Qui espère rechausser très bientôt les baskets. Voir l'interview filmé ci-dessous ! 
Les championnats de cross du Tarn se sont déroulés ce week-end du côté de Vielmur. Plus de 600 coureurs répartis dans toutes les catégories, mais cette fois on s’attardera sur les plus jeunes avec les deux podiums des cadettes et benjamins ; Une fois n’est pas coutume. Pour tous les autres résultats, rendez-vous dans la rubrique « résultats » du site. 
Il faudra y être car d'une part l'organisation promet d'être parfaite avec une ambiance au bon goût de vin chaud, ensuite parce qu'il y aura tout simplement quelques-uns des meilleurs athlètes nationaux du moment. On a parlé du duel opposant les locaux Bruni et Rivoire à Gaux sur la longue distance de 34 kilomètres (malheureusement Julien Jorro s'est claqué et ne pourra être de la fête !) mais il y aura aussi quelques belles batailles à suivre aussi bien sur le relais que sur le court de 12 kilomètres. Bref ça va chauffer à tous les niveaux. D'autant plus que le dernier trail en date dans le département, les Côteaux Bellevue, on l'a vu donc, a attiré près de 600 coureurs....La tension monte donc du côté de Montlaur. Et Christian Reina affûte son micro, lui qui sera à l'animation et au chrono, ce jour-là... Chaque coureur recevra bien sûr le journal de l'épreuve avec tous les résultats et tous les reportages, comme c'est devenu une habitude. Mais aussi on mettra le paquet au niveau du site avec plein de photos, de vidéos, d'interviews et aussi quelques nouveautés comme une caméra embarquée dans la course. 
On le pressentait depuis quelque semaines déjà et la réalité a donc dépassé les rêves les plus fous des organisateurs: la course des Rois de Villemur a bel et bien battu tous les records de participation. Ils furent près de 400 en tout, répartis sur les deux distances, à prendre le départ du côté du centre Leclerc de Villemur pour cette cinquième édition de l'épreuve. C'est carrément presque le double qu'en 2010. Las Grougnos Longagnos, l'association qui organise la course depuis le tout début, n'en revenait toujours pas. Marc Boyer, son président, était aux anges. "J'espère que tout le monde sera content de l'accueil réservé. Nous avons fait un effort là-dessus, même si je m'excuse pour le petit souci de chronométrage. En fait nous n'attendions pas autant de monde et nous avons été un peu surpris, je dois bien l'admettre. Aussi dans la couloir d'arrivée, cela a un peu cafouillé....On va rectifier dès l'an prochain..." En tout cas c'est sur une température hivernale, -3°C vers 9h sur le site de départ, que les concurrents auront donc récupéré leur dossard en ce dimanche matin. Le petit local de la Base nautique, jouxtant le centre commercial, servait donc de club-house pour récupérer son dossard et une bouteille de Fronton venait donc remplir le sac du coureur dès l'inscription en cadeau de bienvenue. Après l'épreuve tout le monde se retrouvait avant la remise des prix pour tirer les rois avec des galettes à gogo offert cette année par Leclerc et le remise se faisait à l'intérieur même du magasin. Bref le cide coulait à flots et les coureurs étaient vraiment choyés... 
Même si il aura fallu attendre un peu plus que de coutume ces fameux résultats... Sur le 10 kilomètres, extra-plat, (deux boucles de parcours), c'est Noureddine Laaidi qui s'impose devant Mathieu Laporte. Ces deux-là avaient fini six et septième lors de la denrière Ronde du Feu. Cette fois ils finissent quasiment au sprint, mais Mathieu avouera avoir laisser passer Noureddine sur la fin car ce dernier avait été mal orienté vers le septième kilomètre alors qu'il comptait une cinquantaine de mètres d'avance. Guillaume Clémot est bon quatrième. Mais bien sûr Alexandre Brunet, aussi de Balma, sur son fauteuil est loin devant. Lui qui prépare les Jeux Olympiques de Londres. La première féminine Corinne Degois n'a pas eu trop de difficultés à s'imposer. On aura aussi noter la présence de Laurent Jalabert qui finit quatorzième. Sur la petite distance qui faisait donc du coup 5,2 km, Benoît Rouzaud était au-dessus du lot. C'est la jeune pouce de Blagnac qui reste très prometteur...
Le Calendrier des Courses Running Conseil vient tout juste de sortir. Il reprend évidemment toutes les dates des courses à pied en Midi-Pyrénées mais aussi de tous les triathlons. Vous y retrouverez aussi toutes les dates du challenge Lévy ainsi que celle du Challenge des trails du Sud-Ouest. Bref c'est l'outil indispensable pour trimbaler partout avec soi... De format poche, vous pouvez aller le chercher dans les deux boutiques Running, c'est de Toulouse (17 place Olivier) et celle de Balma (4 av. Prat-Gimont). Alors n'hésitez plus et foncez avant qu'il n'y en est plus !
Comme chaque passionné de course à pied le sait bien, la Prom’Classic première épreuve de l’année sur route , un dix kilomètre du côté de Nice sur la Promenade des Anglais, est une occasion unique en France de battre son propre record sur la distance. Pourquoi? Tout simplement parce que toutes les conditions y sont bien souvent réunies. Une météo idéale, malgré la période hivernale, un parcours tout plat et une concurrence de folie… Bref comme chaque année ils sont une poignée de la région midi-pyrénées à y tenter leur chance. Un peu comme du côté de Leucate au 10km de la Corrège deux mois plus tard. On aura donc pu croiser de nouveau Nicolas Fernandez qui y avait établi son record de 30’10’’ en 2009 mais aussi Sébastien Beltran qui lui était descendu sous les 30’, ou encore Cédric Pélissier, revenu donc sur sa distance fétiche, après son essai sur marathon, à Nice également, au mois de novembre. Ils ont connu des fortunes diverses cette année. Nicolas passe à côté. Pour une fois. Mais a tenu à terminer sa course… en 31’30’’. Le gars du Team 12 (qui vient de recruter aux dernières nouvelles Frédéric Lureau) ne se cherche pas d’excuses. Il retentera sa chance sûrement à Leucate sur la distance. Les 30’ lui sont de toutes façons promises. Sébastien du CA Balma, malgré une forme un peu limite, des ses propres dires, s’arrache une nouvelle fois, pour signer un beau 30’08’’. Et Cédric Pélissier, avec qui il aura fait toute la course, finit juste derrière à une dizaine de secondes. On retiendra aussi que Guillaume Lacclergue, autre membre de la tribu Orange, était aussi de la fête… un peu plus loin certes. 
Les championnats départementaux de cross se sont disputés sur des trombes d'eau. La journée était placée sous le signe d'une mauvaise météo. Cela n'a pas empêché plus de 800 courageux de venir braver les intempéries. L'organisation confiée aux soins d'Athlé 632, sous la houlette donc d'Yves Bélanger, à la tête également du semi de Tournefeuille, a été à la hauteur de l'événement. Outre la victoire de Djilali Bedrani, la perle de l'athlé 632 en juniors, celle du jeune Belkacem de Blagnac en minimes et d'Anne Lonjou chez les féminines, on aura surtout noté le superbe retour en forme de Yannick Kerlock. Le licencié du SATUC revient donc sur les devants de la scène au bon moment. C'est vrai que ce sont des conditions qui lui conviennent particulièrement bien. Il aura tout de même eu fort à faire face au talentueux jeune Mathieu Lonjou, qui jouait donc dans la cour des grands cette année. Damien Boudet, le nouveau sociétaire du CA Balma complète le podium, juste devant Pierre-Laurent Viguier qui a donc repris les chemins de la compétition. Même si son coeur va encore cette année pour le marathon. Ce sera au printemps du côté de Paris... En tout le grand vainqueur de ces départementaux aura été le CA Balma et le SATUC justement qui par équipes ou en individuels ont trusté pas mal de victoires...
Qui aurait pu croire, il y a quelques années à peine, qu'un trail réunisse autant de monde en tout début d'année? Personne assurément. Cette période était plutôt réputée pour se régéner, se reposer, voire pour les athlètes purs et durs s'adonner au cross, mais sûrement pas pour se retrouver sur de nouvelles épreuves. Et bien les membres des Zinzins des Côteaux ont bien senti le vent et si l'année passée, la neige avait quelque peu refroidi les ardeurs - c'était en effet une journée particulièrement difficile où beaucoup n'ont pas osé s'aventurer sur les routes enneigées, où la plupart des épreuves de la région étaient d'ailleurs annulées- cette année la météo était vraiment idéale avec une température quasiment printanière. Aussi ils furent tout près de 600 à avoir pris un dossard et Jean-Yves Bruel, le sympathique organisateur en chef, ne savait plus où donner de la tête à quelques heures du départ. Il avait en effet tout calé pour 500 coureurs au maximum et il devait prendre la décision d'augmenter un peu les effectifs pour ne pas laisser trop de monde sur le carreau. Finalement il a dépassé ses espérances les plus folles de plus de 60 coureurs et il n'y croit toujours pas. Bref ce premier rendez-vous de l'année fut une réussite sur toute la ligne ! Deux départs étaient données du côté de Saint-Loup Cammas à deux kilomètres de l'arrivée prévue, elle, à Pechbonnieu et deux distances étaient proposées. Ceux du 21 kilomètres partaient avec quelques minutes d'avance sur ceux du 12 kilomètres. Et le long parcours empruntait pour finir le tracé du court après dix premiers kilomètres comme une boucle autour de Saint-Loup... Christian Reina, plus en forme que jamais, attendait donc impatiemment à côté de la salle Colette Besson de Pechbonnieu que le vainqueur 
du 12km fasse son apparition. Et ce fut le même que celui de l'an passé. Qui avait donc gagné dans la neige. Guillaume Girma fait la course parfaite. Il est parti très prudemment et n'aura de cesse de remonter sur la tête, reprenant Georges Amorin, pourtant très en avance à mi-parcours, à deux kilomètres de la ligne. Le poids plume du trail, qui ne s'entraine quasiment pas, passe pour un surdoué de la course à pied. A 19 ans, la tête bien sur les épaules comme on dit, en deuxième année en école d'ingénieur, il a donc réussi une belle passe de deux. Corinne Dejois est la première féminine sur la distance. Mais bien sûr tous les regards se portaient rapidement sur le long parcours où quelques "stars locales" avaient fait le déplacement. Il y avait Sébastien Perrier, le vainqueur du challenge des Trails du Sud-Ouest 2010, mais aussi les Bériot, Geay et confrères... Pourtant c'est un spécialiste de la route qui va faire la différence et mettre tout le monde d'accord. Patrice Bruel, que l'on ne présente plus donc dans la région, va profiter des quelques portions plus planes du parcours, pour s'envoler vers une belle victoire méritée. Sa première en trail. Il finit en moins de 1h30', mettant ses deux poursuivants directs, Sébastien Perrier et Xavier Geay à 2'. Martine Latger de Blagnac quant à elle n'a pas eu trop de mal à s'imposer chez les féminines. Elle nous avouait être en préparation pour le marathon d'Albi, son objectif principal de la saison....
En course à pied, 
Pour la Spéciale, donc, pas de photos, pas de vidéos.
