Archives 20212021 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre -
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J’avoue que je ne saurai dire avec exactitude quelle édition nous organisons aujourd’hui lâche un dirigeant de l’ACM. On ne compte plus… Peut-être bien la quinzième, ou la seizième…. » Il y avait pourtant au départ des dizaines et des dizaines de coureurs qui comptaient sur l’épreuve reconduite cette année pour leur plus grand bonheur. Le cadre est tellement sublime autour de Gargas. Et si le ciel maussade n’était guère prometteur quelques heures avant le départ, le soleil s’est aussi invité pour briller, le temps de l’épreuve. 6 ou 15 km, il fallait choisir. Ils étaient 120 aux deux départs. Si la petite distance paraissait plus avenante, le 6 km a réservé à ses participants de belles surprises. Le galop à travers bois n’était pas aussi lisse qu’on pouvait l’imaginer. La succession de toboggans a exigé de réels efforts, se hisser à la force des bras aux branches pour gravir les écueils. Le Tarbais Valentin Moliner a d’abord pris la course à son compte et son cavalier seul aurait pu le couvrir de lauriers sans le retour, dans la dernière partie plus roulante de Sébastien Trinel qui, à force d’essayer, est parvenu à le déborder dans les derniers hectomètres. Antoine Semaneuch est troisième. Toujours à l’aise sur ce type de parcours, Marie Gorgues, bien secondée par son mari Sébastien signe une nouvelle et facile victoire. Ses dauphines sont Clémentine Grisat et Jocelyne Gardes. Sur la distance reine, finalement plus roulante, surtout dans sa première partie, les routards ont d’abord pris les commandes. De par leurs facilités Ludovic Dasque, Mathieu Bertos se sont échappés. Mais quand il a fallu pénétrer dans la forêt, sur des sentes pentues, feuillues et glissantes, le local Jonathan Garcia est revenu du diable vauvert pour prendre la tête de la course à la sortie du bois. Jusqu’au boutiste, Ludovic s’est accroché, bataillé épaule contre épaule jusqu’à la ligne d’arrivée pour finalement s’incliner. Mathieu Bertos est beau 3ème, Romain Marrot 4ème. « Allez Coralie ! Allez Coralie ! invectivait une dame à quelques mètres de la ligne d’arrivée…. C’est ma fille ! Je n’imaginais pas qu’elle pouvait gagner…. « Coralie Roul a autant surpris qu’elle a ravi sa maman. La jeune femme devande Marie Lalmant et Manon Raas sur la ligne d’arrivée.
Bon finalement, entre des passages pluvieux plutôt dans la matinée, la 3ème Teulatoise s'est déroulée dans des conditions météos pas si mauvaises. En pleine après-midi en effet, le vent chassait un peu les nuages et les traileurs pouvaient donc en profiter à souhaits. Mais évidemment les abords du lac de la Balerme où les courageux se retrouvaient plusieurs après quelques montées et descentes, la monotrace par endroits était particulièrement glissante. On s'en doute bien. Aussi tout ce beau monde, une fois l'effort et les prouesses d'équilibriste accomplis, pouvait à souhaits au chaud devant une bonne bière se remémorer tout ça. La Teulatoise a une nouvelle fois accueilli pas loin de 200 passionnés de course nature mais le plus important pour ce petit village du Tarn était de pouvoir se retrouver autour d'un projet commun et de garder une certaine authenticité avec le groupe de rock local (Le Farmer Teulat Club) pour animer la remise des prix, avec des produits locaux pour récompenses et dotations, avec un bon aligot en soirée pour reprendre des forces. Bref une course de village où on a essayé de stopper un peu le temps malgré la morosité ambiante actuelle... Côté résultats, Perrine Vernooij a résisté au retour de Célianne Junca tout du long et passe la ligne en tête avec une poignée de secondes d'avance. Vivien Portes, par contre, a été impressionnant et remporte la course avec quasiment trois minutes d'avance. Vivement donc la quatrième édition. 
C'était du côté de Cadeilhac et c'était une première. Le Trail des Vignes qui porte bien son nom est né de l'envie d'un agriculteur qui a voulu ouvrir son domaine. Et cela a bien fonctionné puisqu'ils furent deux cents à avoir répondu à son invitation. Grâce à l’enthousiasme des participants, la pluie a laissé place à une météo clémente permettant un top départ agréable et énergique pour affronter le parcours atypique et surprenant. Courses (6km et 12km), randonnée pédestre et parcours enfant ! Au programme : passage dans tout les cépages, traversée de 2 bois, un(gros) fossé, des prairies,... et le ravito’ vigneron ! De jolis temps pour les coureurs : sur la course de 6km : Adam Chloé (28,37) et Maxime Larrieu (25,02) et sur la course de 12km : Nadia Thoreau (57,36) et Max Massat (49,57). Et pour se réconforter après l’effort : dégustation des vins du domaine, planches de charcut’ et de fromage histoire de rattraper tout ce qui a été perdu.
Le semi Lourdes-Tarbes c'est une classique d'automne dans la région. Et un rendez-vous incontournable dans les Hautes-Pyrénées. Aussi après la période COVID et l'absence de deux éditions, on sentait bien que ça frétillait d'impatience. Ils étaient en effet plus de 1000 à avoir pris un dossard sous une température idéale pour la pratique de la course à pied. Aussi sur le 21km, la distance reine et ses quelques 900 engagés, c'est une nouvelle fois Nicolas Fernandez qui l'emporte devant Kevin Lasserre. Exactement comme sur la Méridienne disputée quinze jours plus tôt. Comme une répétition. Les chronos se sont emballés tout de même avec 1h05'10'' pour le vainqueur. Mais dans le même temps à Lisbonne, le record du monde de spécialité était une nouvelle fois battu mais cette fois en 57'30". Bref... Chez les dames, ce fut une belle bagarre. Mylène Da Costa l'emporte en effet en 1h17'26'' mais les écarts sont minimes. Et ces deux poursuivantes, dans l'ordre, Mathilde Sagnes et Jocelyne Pauly sont à quelques secondes derrière. Cette dernière battant son record au passage sur la distance. Il est vrai qu'elle est surtout spécialiste de longs ultra-trails. Enfin, on notera que sur le 12km, Benoît Chalu et Marion Barbest ont marqué de leur empreinte cette édition du renouveau !
Jean-Yves Bruel, l'organisateur de la course, était un peu inquiet en début de semaine. Les inscriptions à sa course, cette première édition donc du Trail Nocturne en Pays du Saves, avaient du mal à décoller. Et pourtant en quelques journées seulement, il a bien failli atteindre les 200 coureurs. Et avec 175 partants en tout, répartis sur un 11 et un 22km, il n'a pas à rougir car tous les concurrents en repartaient ravis. Sûrement la météo, très clémente pour cette période, y était pour beaucoup mais les parcours tout en relances et virages, tout en montées et descentes ont enchanté le plus grand nombre. Il tarde déjà la deuxième édition. Côté résultats, c'est donc Stéphane Cavalca, en voisin, qui inscrit son nom le premier au palmarès. Benoît Sentost est bon deuxième...L'association VTT trail et trek en pays de Garonne vous attend pour 2022!
Après la belle victoire d'Anthony Jelonch, parrain de l'association "Pour Corentin" avec l'équipe de France face aux All Blacks, Jean Michel SAJAS et son équipe étaient heureux ce matin de recevoir à Montadet 74 coureurs venus arpenter les beaux sentiers du Samatanais. Sous une météo idéale, chacun a pu apprécier le travail de préparation effectué et souffrir aussi, un petit peu, sur la dernière côte. A ce petit jeu, Ronan PIERRE des Coudous de la Save l'emporte en 41'24", lui qui a participé la veille au Mile de L'Isle-Jourdain. Il est suivi de près par Jérôme ALLENE-TEN d'Oxygène 32 qui, lui aussi avait couru la veille le Trail Nocturne du Savès. Comme quoi on peut faire 2 courses dans le week-end. La troisième place est prise par Lilian MORVAN de Lombez. Jessica WARG d'Astarac Fond Club l'emporte chez les féminines devant Marlène GREBIL et Margaux MILHET d'Oxygène 32. La remise des récompenses, simple et rapide a aussi félicité les deux groupes les plus représentés, le COVS et Oxygène 32.
Quel plaisir non feint que de retrouver les courses du Confluent du côté de Portet en ce dimanche frais mais ensoleillé. Cela faisait un moment en effet que les courses avaient été mises en suspens pour les raisons que l'on sait et en 18 ans d'existence, il a été très rare qu'il n'y ait aucune organisation de ce côté là. Bref les passionnés coureurs du PAC (Portet Athlétic Club) avec leurs blousons reconnaissables entre tous étaient vraiment au taquet pour accueillir de nouveau tout ce beau monde du mieux possible. Petit café de bienvenu, courses enfants incroyables, remise des prix sur-dynamisée avec des lots à n'en plus finir, apéro qui va bien et puis bien sûr toujours ces parcours agréables et roulants avec possibilité d'aller vite. Très vite même. Ils étaient donc un petit millier, en gros, à avoir pris un dossard pour l'événement de l'automne. C'est sans doute moins que les années record mais c'est aussi la période post-covid. On se comprend. Pour ce qui est des résultats, Adrien Latestère s'impose une nouvelle fois. C'est sa deuxième victoire à Portet. Il signe 32'05'' malgré une autre course la veille du côté de l'Isle Jourdain. Maxime Pribilski aura tenu quasi jusqu'au bout dans sa foulée mais il termine au final à dix secondes. Katia Raoult de Castres est la première féminine en moins de 40'. Sur le 5km, les plus véloces ont été Sally Onn et Hugo Pasquier. 15'52'' tout de même pour ce dernier...
Didier DELAGNES, président de Tracks Athlé et son équipe peuvent être fiers de leur création. Le premier Mile de l'Isle, même si peu de coureurs ont répondu présents, a plu à tout le monde. Imaginez un tour du lac de l'Isle-Jourdain à fond, afin de se retrouver dans les 5 meilleurs temps et donc de pouvoir disputer la finale sur le même parcours de 1609 mètres, soit 1 Mile. Et pour commencer, l'après-midi, ce sont les enfants qui réalisent, selon leurs catégories, un demi-tour (800m) ou un tour complet "comme les grands" à partir des benjamins. Un joli moment pour les parents, mais également pour les athlètes adultes qui regardent la relève avec plaisir courir, pour certains, plus vite qu'eux. Les qualifications adultes peuvent ensuite commencer et ce sera donc deux séries de 5 femmes suivies de 4 séries de 4 hommes qui s'élancent autours du lac. S'en suivent les finales... Chez les féminines, la première vient du SATUC en la personne de Carmen RAMOS-DELGADO qui réalise le tour du lac en 5'53. Les deux poursuivantes sont elles du club organisateur, il s'agit de Julie LAURENT (6'07) qui fait deuxième et Marjorie FILHOS (6'16) qui complète le podium. Côté garçons, le plus rapide est Adrien LATESTERE des magasins Foulées en 4'41. Il est suivi là aussi de deux athlètes de Tracks Athlé, Hervé ROGEON à 3 secondes et Martin DEQUEKER à 5 secondes. Carmen et Adrien auront donc leurs noms inscrits sur le trophée réalisé pour l'occasion et qui trônera à la mairie de l'Isle-Jourdain pour, chacun le souhaite, le plus longtemps possible car de l'avis de tous les participants, cette épreuve est belle et elle mérite de grandir et de perdurer. Déjà les organisateurs ont écouté les acteurs du jour pour améliorer les quelques points qui le méritent.
On attendait cela depuis tellement longtemps que l'on aura douté quasiment jusqu'au dernier moment. Mais les championnats de France de cross ont bien eu lieu à Montauban au mois de novembre. Repoussé deux fois déjà à cause du COVID, ils ont donc été programmé en décalé par rapport à une saison normale (les prochains auront bien lieu dans cinq mois en mars) et tout le monde était vraiment content de pouvoir enfin tester ce fameux parcours sur l'hippodrome tarn-et-garonnais. En plus la pluie du week-end rendait le tout encore plus "cross" si l'on peut dire et même si la boucle était jugée plutôt roulante, du moins les parties glissantes permettaient de se faire plaisir. Côté résultats, on ne va revenir ici sur le descriptif de toutes les catégories, d'autant plus que les championnats commençaient déjà le vendredi avec des courses entreprises, mais on retiendra deux moments forts en ce qui concerne les régionaux. Tout d'abord, l'Albigeoise de l'ECLA, Alexa Lemitre s'impose sur le cross court de très belle manière. Ensuite Sophie Duarte, sur le long, semble revenu à un très bon niveau et garde un oeil désormais vers les sélections à venir. Elle finit sixième au général mais remporte le titre en masters. Les reines ne meurent jamais ! Le CA Balma est également titré en féminines dans sur le cross élites. (Kkadija 16ème et Emeline 47ème et Meriem 49ème) 
Les Zinzins des Côteaux sont tous des passionnés de course et cela faisait longtemps qu'on ne les avait vu. COVID oblige. Aussi c'était du côté de Pechbonnieu et de Saint-Loup Cammas que ça se passait et ils ont fêté dignement leur 25ème anniversaire. Quasiment 300 personnes réunies sur cette Boucle avec un 11 km au programme avec faire soit en solo, soit en relais en deux parties et puis aussi un 5km pour satisfaire tout le monde. Bref les conditions météos étaient plutôt cléments et la matinée restera dans les mémoires de ceux qui étaient là surtout depuis le tout début. Un quart de siècle, ce n'est pas rien. Même si la petite côte qui ramène sur l'arrivée, elle, n'a pas changé et casse toujours autant les pattes. Ce n'est pas Jean-Philippe Pereira qui dira le contraire même si il l'emporte à nouveau sur le 10km et renforce donc sa position de leader au challenge Lévy. Il a su gérer parfaitement son effort. Brice Vigier termine à une trentaine de secondes. Chez les féminines, c'est Karine Lopez qui gagne et là l'écart avec sa dauphine est encore plus conséquent. Sur la petite distance, Virginie Villette et Florent Castex ont été les plus véloces. Enfin le Taco l'emporte sur le relais. 
La Méridienne est une classique des Hautes-Pyrénées. Et sur ce 10km rapide et classant, on ne vient pas enfiler des perles. Entendez par-là le chrono est la première obsession de ceux qui s'inscrivent et cette année encore ils étaient quasiment 600 à tenter leur chance. Aussi avec des météos pas si mauvaises, surtout au vue du reste de la région, Nicolas Fernandez s'en est allé quérir un nouveau succès. Pas loin de descendre sous les 30' avec douze secondes en plus. Une trentaine de secondes derrière on retrouve les deux potes de clubs, Kevin Lassere et Matthieu Dorgans dans cet ordre. Chez les féminines, ce fut aussi une belle bagarre. On a cru un moment qu'Elise Guillot, la traileuse en pleine saison de cross, allait créer la surprise mais Aurélie Guérin a bien géré son effort et s'impose en 38'05''. Quinze secondes devant Elise donc !
Le froid est revenu mais avec lui les courageux qui aiment courir sur les sentiers malgré les conditions. Aussi le Trail de Baziège, plus connu désormais sous le diminutif de TBZ, a enfin pu se dérouler sans encombre. Tout d'abord reporté l'an dernier une première fois puis annulé toujours à cause du COVID et encore une fois reporté, il a donc attendu comme beaucoup que la situation sanitaire soit plus propice pour pouvoir se dérouler. C'était donc la quatrième édition et le plein était fait avec 900 coureurs au total sur les trois distances proposées, le jeu des reports de dossards oeuvrant en ce sens. Pour autant, Joan Grenet, l'enthousiaste organisateur et tout son équipe, n'ont pas chômé durant cette période d'accalmie forcée. Le souci du petit détail est le leimotoiv de notre homme passionné et aussi bien les parcours tracés avec le coeur que l'accueil des coureurs reçus comme des rois, rien n'est laissé au hasard. Joan a déjà expliqué qu'il mettait sur pied en janvier prochain une toute nouvelle épreuve qui devrait, par son originalité, attirer les foules... Mais pour l'heure, revenons au TBZ. Sur la petite distance, Jean-Pho Pereira continue sur sa lancée de victoires et l'emporte avec quelques secondes d'avance. Nelly Guibbert est lauréate chez les filles. Sur le 14km, on a pu revoir une Mylène Bacon bien fringante, de passage donc pour quelues jours dans la région. Bien sûr elle a toujours la forme et finit même sixième au général. Devant c'est Grégory Bé qui est allé le plus vite. Sur le long de 20km enfin, Arnaud Bellaîla confirme qu'il a retrouvé de bonnes sensations et l'emporte assez nettement. Isabelle Perrenot, pour être complet, gagne chez les féminines sur cette distance !
Cette année, le marathon d'Albi n'a pas pu avoir lieu, la faute au COVID qui a trop perturbé le calendrier en début d'année. Pour autant les organisateurs de la célèbre épreuve tarnaise, n'ont pas voulu baisser les bras si facilement et ils ont pu constater l'an dernier qu'il était possible d'organiser une épreuve sur route sur le circuit automobile d'Albi. Du coup la date était programmée depuis belle lurette, seule les 42km n'était pas tenté et on comprendra bien pourquoi avec une boucle de 3,4 km en gros à effectuer trop de fois. Il y avait donc en ce dimanche matin un semi et puis en début d'après-midi un 10 et un 5 km. Ils furent plus de 500 à avoir pris leur dossard, heureux de pouvoir courir tranquille d'une certaine manière, seul le pass étant réclamé, bien sûr, à l'entrée du circuit. Et au niveau des performances, on retiendra que sur le semi, Mathieu Bru et Cécile Kempf ont été impériaux. Mathieu, le Périgourdin, s'impose en 1h09' malgré un léger vent qui s'est levé et en menant la danse de bout en bout. Cécile, elle pour un retour à la compétition, faiblit un peu sur la fin mais gagne en 1h22'50'' tout de même. Lionel Calmejane, le cycliste professionnel d'AG2R, ne démérite pour un essai sur la distance, avec un Top 10. Sur le 10km disputé lui en début d'après-midi, c'est Angel Galant qui aura le dernier mot après un beau duel face à Mohamed Hachemi pourtant favori. Il franchit la ligne en 31'15''. Lucie Raynal, elle, a été seule de bout en bout en féminines. Elle s'impose en un peu plus de 40' ! On pourra noter aussi que certains, comme Laurent Michelier le local, ont décidé d'enchaîner les trois distances au programme. Une belle prépa marathon ! Enfin la journée se terminait par la 5km, juste avant la pluie. Là la grosse sensation est venue de Camille Laurent du CA Balma qui en 17'01'' bat le record de France juniors de la distance (en attente d'homologation !). Sa précédente marque était de 17'08''. Les courses albigeoises terminaient donc en beauté !