Archives 2023//r : 2023 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre -
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Le moins que l'on puisse dire, c'est que le TBZ est béni des Dieux. Après cinq jours de pluie et de météo exécrable dans la région (et même ailleurs) l'éclaircie est donc venue en ce premier dimanche de novembre. Résultats des courses, un beau soleil, un peu de boue mais pas trop et puis tout de même pas mal de vent. Une météo quasi idéale donc pour un traileur. Aussi pour cette sixième édition, le Trail de Baziège nous prouve une nouvelle fois, si l'on en doutait encore, que c'est la course toulousaine de référence de l'automne. Plus de 1000 dossards distribués, des parcours joueurs et pas si évidents aux portes de la ville rose et puis une ambiance vraiment familiale pour couronner le tout. Le quota de participants a de nouveau été atteint et Joan Grenet et toute son équipe d'organisation ne peuvent que se réjouir. Le succès est là et ne se dément pas. On notera aussi toute l'application et la passion que met l'organisateur en personne pour maintenir l'actualité sur son épreuve (nota : son petit bébé) tout du long de l'année. On ne s'ennuie jamais sur le mur du TBZ et les traileurs apprécient volontiers. Bref une histoire d'amour qui perdure. Cette année, au niveau des résultats, on retiendra que sur le 14km, ce sont des habitués qui l'emportent. Mylène Bacon et Eric Rivals. Sur le 21km, Nicolas Miquel ne l'emporte pas cette fois et laisse la place de leader à Baptiste Coatantiec. Sur la petite distance de 8,5km, ce sont Cyril Roques et Emmanuelle Moillard qui inscrivent leurs noms au palmarès ! Enfin Sophie Pourcel, décidément très en forme, gagne elle le 21km.
L'équipe de Sandrine Laurent, articulée autour du club d'athlétisme de Castelginest, a de quoi se réjouir. Sa petite course ne cesse de progresser et de s'étoffer au fil des ans et déjà, pour une troisième édition, on a passé la barre des 600 dossards distribués. Entre courses et marches. Il est vrai que l'organisatrice est passionnée et attentionnée. Elle ne laisse aucun détail de côté et chaque concurrent pourra témoigner que là-bas, dans l'ouest toulousain, tout est carré et impeccable. Ce sont des conditions premières pour tenter de performer sur une distance quelqu'elle soit. Et les coureurs ne s'y trompent donc pas. Avec cette météo idéale de fin octobre, les parcours proposés, aussi bien sur 5 que sur 10, sont mesurés et homologués. On sait donc à quoi s'attendre. Depuis peu d'ailleurs, le club de Castelginest a rejoint l'entente Grand Toulouse Athlétisme, ce qui lui permettra sans aucun doute de tutoyer d'autres sommets ou de se fixer de nouveaux objectifs. Pour l'heure, on retiendra que sur le 10km, c'est bien Julia Bruni qui ,s'impose en 39'10''. Mais que derrière elle, Sally Onn n'est pas si loin, à une poignée de secondes, elle qui venait de remporter quelques minutes plus tôt le 5km de la course en 18'36''. Juste le temps de souffler quelques minutes entre les deux départs. 9h15 pour le 5km et 10h pour le 10km. Eric Rivals sur cette distance n'a pas eu à forcer son talent. Il gagne en 32'38'' avec près d'une minute d'avance sur son dauphin. C'est un peu l'homme en forme du moment puisqu'en juste deux mois, il a engrangé pas mal de lauriers ici ou là aussi bien sur route qu'en trail. Enfin pour être complet, on notera que Joshua Couteaux gagne, lui, la petite distance. Assez aisément aussi. En tout cas les 10km de Castelginest semblent bien ancrés dans le paysage local. Comme une belle classique d'automne ! Rappelons en conclusion que la course vient une nouvelle fois en aide à deux associations caritatives, Histoire de Coeur et Handy-Sitter !
Jonathan Albon a fait une véritable démonstration de force sur cette édition 2023 des Templiers. Sur l'épreuve phare de 80km en tout cas qui se déroulait le dimanche matin en apothéose d'un long week-end de trail. Pour autant cette année et pour la première fois depuis que l'épreuve existe, soit 1995, la course a été endeuillée dès le vendredi. En effet sur l'Endurance Trail de 100km une athlète, Charlotte, a fait un arrêt cardiaque à mi-course et n'a pu être réanimée. Yannick Noël et Béa Vézinet remportent cette distance mais bien sûr la fête était gâchée. On ne notera pas tous les lauréats de toutes les distances. Il y en aurait trop pour ce compte-rendu léger mais évidemment les parcours de l'Aveyron restent sublimes et marquent à jamais les mémoires de ceux qui y viennent courir !
Il est toujours plaisant pour un coureur régulier ou même occasionnel, de découvrir une nouvelle épreuve près de chez lui. 
Qu'il faisait bon courir ou marcher ce matin entre Montégut et Lussan dans le Gers. Ce ne sont pas les quelques 500 participants au Trail des Mousquetaires organisé par 
Une belle météo du côté de cette nouvelle édition de l'Escuroise dans le 09. Et donc, quand tous les regards se tournaient vers les Templiers durant ce week-end d'octobre, ils furent presque deux cents à avoir opté pour cette solution ariégeoise. C'est vrai que là-bas l'accueil y est sympathique et sérieux. Tout pour plaire et passer un bon moment entre deux distances proposées, un 20 et un 10km. Sur le long, Elliot Philippon a été royal et Valérie Jubault chez les dames. Sur la courte distance, ce sont Yann Rouch et Pauline Montariol qui s'imposent !
Cette année le semi a connu une affluence incroyable. Deux semaines avant le jour J, les inscriptions étaient closes sur le site de chronométrage. Du jamais vu. Près de 1200 dossards sur chacune des distances proposées. Le 10km d'un côté et le 21 de l'autre. Avec ce même départ du côté du stade et puis un parcours qui bifurque vers le 4ème kilomètre. Plus de 2500 coureurs en tout pour un spectacle de folie en banlieue de Toulouse. C'est vrai que les parcours sont réputés roulants et performants. C'est vrai aussi qu'ils sont mesurés et donc propices aux qualifications. Et puis c'est vrai aussi que la date est plutôt libre, pour une fois, au calendrier. Seul les Templiers font office de concurrent mais c'est du trail et pas vraiment à côté. Bref le succès de Tournefeuille ne s'est jamais démenti et c'est tant mieux pour l'athlé 632 qui a toujours su mettre les petits plats dans les grands pour satisfaire tout le monde. Sur le pavé, on notera cette année que Simon Prady a été le plus rapide sur le 10km en 30'10'' alors que Mariane Dano l'emporte en féminines en 38'. Sur le semi, Aziz Farjani inscrit son nom au palmarès en 1h09' et Sophie Pourcel chez les dames en 1h21'. 
"J’avais choisi un dossard blanc qui m’engageais à couvrir les 1600 mètres en moins de huit minutes. Je suis certainement parti trop vite, raconte Gabin. Je passe le premier virage en tête et là, mon maître qui nous regardait passer, m’a conseillé de ne pas m’emballer. Avec mon copain Alexis, on a laissé un groupe nous devancer. On est resté longtemps ensemble. Le passage des buttes était très difficile. A mi-course, je sais qu’on est huit et neuvième. Dans la seconde partie de la course, je me suis senti capable d’accélérer, j’ai vu des garçons devant moi faiblir. J’ai jeté toutes mes forces et, sur les 300 derniers mètres, au sprint, j’ai réussi à aller accrocher la troisième place. 8’12 ! C’est pour moi un pari manqué. Seuls les deux premiers ont dû réussir à faire moins de huit minutes….» Ils étaient plus de 800 écoliers issus de douze écoles de la circonscription, mardi, à Sède venus courir en matinée ou l’après midi le cross scolaire qu’organisent chaque année à cette période les conseillers pédagogiques rattachés à l’inspection départementale de l’Education Nationale, un événement annuel en partenariat avec le Service des Sports de la mairie, très impliqué. Chaque élève, de la grande section au CM2, avait consciencieusement préparé cette épreuve à l’école, avec son enseignant. Les cours d’éducation physique spécifiques se sont succédés depuis plusieurs semaines. Apprendre à courir longtemps, gérer son effort, donner le meilleur de soi-même. Les plus petits devaient parcourir 1300 mètres, les plus grands 1600 mètres sur un parcours tracé autour des terrains, sur le chemin qui borde le lac pour finir sur la piste d’athlétisme. Et, en fonction de ses propres disponibilités, chacun pouvait choisir une couleur de dossard, blanche, jaune, verte ou bleue, chacune correspondant à un contrat choisi préalablement: couvrir la distance en moins de 8’, 10’, 12’ ou plus. Graines de champions et goût de l’effort. Les différentes courses se sont déroulées dans la meilleure ambiance. Les gamins sont arrivés essoufflés, exténués. Et beaucoup d’entre eux sont repartis la voix cassée, ravis de s’être tant égosillés pour encourager les copains.
Le Festi'Trail c'est le petit trail des familles. Celui où il fait bon vivre, bon venir se dégourdir les jambes. Un petit village au fin fond du Tarn, sans autoroute pour d'y rendre, et où l'on aime prendre son temps et respirer un grand bol d'air frais. Marzens organise depuis trois ans son épreuve nature et la recette a bien pris. Les parcours sont champêtres à souhaits, le pot de l'amitié qui suit met du baume au coeur de chacun. Cette année en plus la température y était vraiment idéale. Juste un peu de fraîcheur qui fait tellement de bien après tant de chaleur... En tout ce sont près de 400 dossards qui seront distribués courses et marches comprises. Sur le 19km, épreuve reine, Anne Trempot et Samuel Hubert ont été les plus rapides. Sur le court de 12km, avec tout de même ses 350m de D+, Marie Pierson a été impressionnante. Jonathan Dintilhac n'a pas eu, non plus, à forcer son talent pour l'emporter. Le Festi'Trail en est déjà à sa troisième édition mais quelque chose nous dit que ça devrait durer un bon moment encore !
L’énergumène ne perd jamais, ni sa bonne humeur, ni la course. Sur la ligne d’arrivée, pulvérisant de 14 minutes le record de l’épreuve, Nicolas Miquel semble plus frais que les spectateurs qui le félicitent. Et il leur adresse un « ça va ? » comme si lui aussi n’avait fait aucun effort. Le 26 km du trail des Aurigines à Aurignac compte 1250 mètres de dénivelé positif, une succession infernale de pentes montantes et descendantes au pourcentage impressionnant. D’un départ donné à 16h47, l’objectif, pour les premiers, était de terminer avant que le soleil ne se couche. Nicolas est arrivé en plein jour. Plus fort que tous les autres, il relègue son premier poursuivant, Sébastien Laffitte, à plus de 17 minutes. Rémy Wagnon termine troisième, Benoit Fori quatrième. Tiphaine Muller, Alexia Guiraud et Agathe Hantraye forment le podium féminin.* Sur le 12 km, Julien Durtaut bataillera longtemps avec Benoit Sentost. Le second n’aura jamais lâché la semelle du premier qui termine beaucoup plus fort dans les dernières difficultés de l’épreuve, un escalier en colimaçon descendant avant de s’attaquer à la paroi du piton sur lequel est perché le château. Et là, il faut se hisser avec des cordes. Un finish infernal Jonatahn Parenti complète le podium. Radieuse, Célianne Junca est aussi auteure d’un cavalier seul. La Toulousaine devance Emma Guevel et Audrey Bataille sur la ligne d’arrivée. Le trail des Aurigines, qui puise son parcours sur un site préhistorique, est une course vraiment particulière, exigeante. La 5ème édition est une nouvelle réussite. 400 participants se sont répartis sur les courses réservées aux enfants, aux adultes, sur la randonnée. Et si le soleil a précédé bon nombre d’entre eux à l’arrivée, la nuit a uni tout ce beau monde autour d’un festin servi dans la cour du château.
Mauvezin, Mauvezin, tout le monde descend. C'était donc la trentième édition de la Ronde du Foie Gras et le moins que l'on puisse dire c'est que la fête fut à la hauteur de la réputation de l'épreuve. Les dossards, près de 2000 comme chaque année, se sont arrachés comme des petits pains et la Ronde était pleine bien avant la date échéance. Et en plus quand la météo s'en mêle, cela nous vaut une ambiance de folie pour une édition anniversaire inoubliable. Les ravitos au foie gras, le parcours champêtre qui traverse une poignée de fermes partenaires qui ne demandent pas mieux que d'accueillir tout ce monde, un repas d'après-course grandiose sous les halles du village et puis ce petit truc en plus qui fait toute la différence. Sûrement la bonté des gens du Gers ou si vous préférez le bonheur qui est dans le pré. En tout cas; tut ne fut que fête et joie de vivre, entre efforts consentis et dégustations approuvés. Bref les résultats passent vraiment au second plan, seul compte ce moment pris au temps. L'instant d'une 25ème ronde. Inoubliable !
Le Trail des Bosses, c'est avant tout l'histoire de passionnés auterivains. Bien sûr il y a la famille Sentost que l'on ne présente plus. Tous, toujours d'attaque pour concocter un parcours digne de ce nom. Une quinzaine de kilomètres pas facile avec des relances partout, des petits coups de cul qui font mal et puis quelques endroits bucoliques qui eux laissent des traces dans les mémoires. Mais il y aussi un équipe de bénévoles de l'Athlétic Club Auterivain qui ne lésine pas sur les efforts à consentir pour accueillir les traileurs le jour J. Aussi avec plus de 500 dossards distribués, toutes épreuves confondues (la course + les marches), le succès était bien au rendez-vous. Et le soleil aussi. Il ne restait plus qu'à récompenser Nicolas Urien qui l'a emporté après une belle bagarre face Corentin Cambonie et Laurène Vercellone chez les féminines !
La Buzétoise, c'est un trail comme on les aime. Un petit village tout acquis à la cause de la course à pied durant tout un dimanche. Avec les trails le matin et puis un repas sur la place centrale l'après-midi... Et bien sûr pour ceux qui veulent faire traîner et profiter du soleil de l'ambiance jusque tard dans la soirée. Mais il y aussi ces parcours pour le moins "ludiques". Entendez par là qui tournicotent dans tous les sens, qui n'arrêtent pas de monter et descendre dans les bois, qui ne proposent aucun moment de repos entre descentes virevoltantes et montées souvent raides. Bref deux distances au choix, un 10 et un 20km, et puis la marche qui va bien... sans oublier les courses enfants avant la remise des prix. En tout ils furent près de 500 à avoir choisi la Buzétoise en ce dimanche matin alors que le calendrier était de nouveau particulièrement chargé dans le coin. On retiendra donc la magnifique bataille pour la victoire sur le long entre Jean-Phi Pereira, en pleine préparation pour le marathon de Valence et Romain Barthès. Le premier cité gardera au final trois secondes d'avance sur la ligne. Chaud devant ! Chez les féminines, c'est Marie-Hélène Bidart qui l'emporte. Plus aisément elle !
Le succès de Cap sur Grenade ne se démentit pas. Malgré le changement de date mis en place l'an passé à cause de la canicule de juin 2022 et qui s'est donc logiquement poursuivi cette année, les coureurs se sont très vite habitués. Et désormais c'est au mois d'octobre que tous se retrouvent du côté de Grenade, un samedi soir, pour suer d'abord et puis en profiter ensuite. L'équipe organisatrice qui a pris un coup de jeune également n'en doutait pas une seconde. Avec plus de 700 dossards distribués, on est dans les meilleures éditions et pas si loin du record. De quoi mettre la banane à tous les bénévoles qui oeuvrent pour que cette épreuve perdure. Et avec six courses au programme, il y avait vraiment le choix. Deux trails, deux courses sur route, deux courses enfants... bref une grande et belle soirée de course à Grenade avec le départ grandiose sur la piste de roller et l'arrivée à côté de la célèbre hall du moyen-âge. Magnifique. Côté résultats, on retiendra que c'est Simon Danieli et Florence Guillaume qui remportent le 10km route et Isabelle Molles et Moulay M'Tir le 17 km nature !
Ils étaient plus de 1800 participants, tous venus pour la bonne cause, samedi, dans le centre-ville de Saint-Gaudens. En partenariat avec la Communauté de Communes et la municipalité, l’association Sein Go Rose organisait la 6ème édition d’une manifestation caritative dévolue à la recherche et aux malades du cancer. Randonnées et courses à pied d e5 ou 10 km au programme, on retrouvait sur la place quelques célébrités comme Maëlle Millet, championne de France de gymnastique ou Romane Calmen, la miss Haute Garonne 2023. 
Ces dernières éditions, l'Ekiden d'Albi avait pris l'habitude de jouer un peu avec la pluie. On se souvient encore d'une grosse averse qui s'était abattue il y a deux ans juste avant le départ. Mais cette fois, pour la 25ème édition donc, tout est bel et bien rentré dans l'ordre. Une météo bien estivale avec une température se rafraîchissant juste au bon moment sur le coup dès 20h pour le grand départ et puis surtout près de 400 équipes inscrites cette fois. Comme à la belle époque, diront certains. Le record n'est pas si loin. Cela fait tout de même presque 2500 coureurs en tout et sûrement autant d'accompagnateurs venus fêter l'Ekiden dans les rues d'Albi. L'ambiance était une nouvelle fois de feu et toutes les terrasses autour de la place Sainte-Cécile prises d'assaut. Avant, pendant et surtout après la course. Ou après que chacun est fini son relais. Bref ce fut une belle fête pendant près de 6 d'affilée. Comme seul l'Ekiden d'Albi permet d'en vivre. A part quelques équipes que l'on ne présente plus, la grande majorité des autres était surtout venu entre amis ou en famille pour vivre ce moment magique. Côté résultats, on retiendra donc que pour marquer ce quart de siècle, ce sont les garçons des Sapeurs Pompiers de Toulouse qui s'imposent au final mais ça s'est joué à une poignée de secondes puisque le SATUC termine juste derrière en 2h22'36'' contre 2h21'19''. 
Dans la Haute-Garonne ce dimanche, et plus précisément dans le sud, il y avait aussi le Trail des 6 Collines. Du côté de Saiguède. Et malgré le fait que le week-end soit très chargé en gros événements, cela n'a pas empêché cette épreuve conviviale de regrouper presque 500 concurrents en tout. Pas une mince affaire à la plus grande joie des organisateurs qui voyaient ainsi leur travail de longue haleine récompensé. Il y avait donc trois distances au programme. Sur la petite de 8km, Thomas Brugel et Louise Gondeau s'imposent. Sur le 14km, distance intermédiaire, ce sont Fredéric Barguil et Virginie Dominguez qui montent sur la plus haute marche du podium. Enfin sur le long de 22km, Boris Beaupère et Malagui Alquier semblaient intouchables. Sinon il a fait chaud aussi vers Saiguède. Forcément !